Graal

@Jonas, bonsoir
Pas fâché de trouver enfin quelqu’un qui partage mon point de vue sur les primaires.
Mon article http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/plaidoyer-pour-un-nouveau-186858 n’avait pas rencontré un grand écho.
Sur la question des primaires, je ne m’étendais guère. Vous développez davantage votre position, et le faites très bien.
Mais force est de constater que beaucoup trouvent le procédé (quasiment de la télé-réalité) satisfaisant, hélas. Les candidats désignés ainsi croulent ensuite sous les critiques, mais tous les critiqueurs semblent ravis de ce mode de désignation.
A nous, peut-être, d’être plus convaincants sur un mode de sélection/désignation plus respectueux des électeurs.
Mes propositions valent ce qu’elles valent. Peut-être en avez-vous, vous aussi.
Elles m’intéressent.

@rosemar
Là, je suis bien d’accord. Mais ça, c’est encore de la pollution de l’air (particulièrement préjudiciable pour les viticulteurs qui ne se protégeaient pas).
Les effets des pesticides dans l’alimentation elle-même sont un autre problème. Mais ce n’est pas moi, c’est vous (à 17h32) qui mélangez tout « Une pollution présente partout dans l’air, la mer, l’alimentation ». Relisez-vous.

@rosemar
48000 peut-être ! mais morts de quoi, au juste ?
Une blague qu’on se racontait quand j’étais potache :
C’est l’histoire d’un mec qui a été blessé trois fois, à la guerre, à la cuisse et à Verdun.
PS1 : Où avez-vous vu que je nie l’impact de la pollution ?
PS2 : La pollution de l’air et les pesticides dans l’alimentation sont deux problèmes différents (même si j’admets qu’ils peuvent nous mener tous deux dans la tombe). Pour être crédible, soyez claire.

Et c’est parti ! Encore un article, bourré de clichés, qui n’apporte rien, sur un sujet mille fois ressassé, et dont l’auteur ne connait pas grand chose.
Déjà, la photo de la Tour Eiffel : n’importe quelle photo de lointain, prise au (petit) téléobjectif et non retouchée, produit le même effet.
Mais parlons de la vallée du Mont Blanc : « Même en montagne où l’air devrait être indemne de pollution, cette plaie des temps modernes sévit » dites vous, chère Rosemar. Or figurez-vous que c’est justement en montagne que les vallées sont le plus encaissées et, donc, que la pollution se concentre dans leur fond ...mécaniquement.
Pour la « vallée du Mont Blanc », vous confondez avec la vallée de l’Arve, certes proche. Une petite visite sur les sites Air Rhône-Alpes ou TransAlp’Air vous montrera que l’impact de la pollution n’y est pas tout à fait le même. Pour être crédible, soyez précise !
Quant à la vidéo, cette mise en scène d’écoliers affublés de masques à deux sous me fait sourire. Pour leurs cerveaux, je crains, hélas, une pollution d’un autre ordre.
Il n’empêche que la pollution dans la Vallée de l’Arve est, indubitablement, un énorme problème. C’est, je crois une des zones les plus polluées de France. Mais l’imputer au seul trafic des poids lourds est singulièrement réducteur. C’est, d’abord, une région où beaucoup de gens vivent (et donc se chauffent) et travaillent (la tradition industrielle y est particulièrement forte). Ceci explique cela, en grande partie.
Je préfère enfin, ne pas relever les raccourcis hasardeux avec la durée de vie et l’age de la retraite.

Pour ceux qui sont particulièrement sensibilisés à la problématique environnementale, je les invite à lire l’article récent, sur ce site, de Daniel Martin http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-bombe-d-demographique-est-187032 . Je ne partage pas forcément toutes ses positions, mais lui, il connait son sujet. Accrochez-vous : là, c’est sérieux.

@Piere CHALORY
"La couleur de la poussière ici est blanche comme du coton, contre noir charbon à Marseille. J’ai re-trié ma collection de vinyls après mon déménagement et en ai profité pour dépoussiérer les pochettes avec une éponge humide que je rinçais dans un bol en plastique rempli d’eau. Une poussière dense, noire et lourde accumulée des décennies durant à Marseille, collait au fond du bol comme de la vase, vous imaginez le résultat sur les poumons..."
Alors, celle-là, je la retiens. Décidément, la légende des galéjades a encore de l’avenir !