L’UE est un système autobloquant, dit « stratagème des chaînes », dans lequel les décisions sont prises au mieux sur la base du plus petit dénominateur commun, au pire selon la volonté d’un « syndic extérieur », en l’occurence les Etats-Unis. De Gaulle l’avait dénoncé dès 1967.
Le système est autobloquant parce que, et contrairement à la propagande rabâchée, les intérêts des pays sont très divergents entre eux. Tropisme méditerranéen vs. espace vital à l’est ? Monnaie forte vs. monnaie faible ? Délocalisations vs. dumping fiscal ? Americanophilie vs. americanoscepticisme ? Francophonie/Commonwealth/monde hispanique vs. le club catho-blanc de l’Europe des 27 ?
Ce système est conçu pour n’avoir comme seule solution à l’engrenage que la sortie pure et simple, et de rendre cette dernière idéologiquement impossible. Nos politiques biberonnés à l’Europe (quand ils n’en sont pas les salariés) nous ont menti toutes ces années. Le référendum de 2005 a au moins eu pour mérite de révéler la mascarade au grand jour. Traité simplifié ? C’est le même. Un président fort ? Herman Von Rompuy. Une diplomatie efficace ? Catherine Ashton. Plus de démocratie ? Toujours moins.
En attendant, Bruxelles interdit les médecines douces, impose les OGM, contrôle nos budgets et donne les clés de nos systèmes d’information bancaire aux américain via les accords Swift.
L’agenda mondialiste prend forme petit à petit. Union Nord-Américaine, Union Transatlantique, Attali qui parle à chaque apparition d’un gouvernement mondial, les évènements s’accélèrent car le temps presse : bientôt les Etats-Unis ne pourront plus justifier leur position de coeur d’empire. Le dollar va mourir, et avec lui la domination états-unienne depuis 60 ans. Si d’ici là les travaux de leur tour de Babel sont achevés, ils pourront donner le change. Sinon...
Bon article ! Effectivement c’est l’article 104 de Maastricht (article 123 de Lisbonne) qui interdit aux pays de battre monnaie. Dans les faits ils ne s’agit pas d’une suppression de la planche à billet (cf. l’argument foireux de l’inflation) mais d’une PRIVATISATION de la planche à billet.
« l’inflation oui, mais j’veux ma commission ! »
La Grèce doit sortir de l’Euro. Mais elle est un vassal ! DSK venait voir Merkel pour évoquer la Grèce, dans son dos ! Institutionnellement rien dans les traités ne permet la sortie de l’Euro. Rien !
Donc la seule vraie solution est l’article 50 du TUE : sortie pure et simple, et unilatérale de l’Union Européenne.
Et tenez-vous bien : la France souffre du même problème insoluble, toutes proportions gardées et en différé, mais c’est le même problème exactement ! Et la solution est la même : sortie pure et simple de l’UE ! Oui, il faut y croire !
Rochant, en bon admirateur d’Israël (il a quand même réalisé Les Patriotes, avec le très mauvais Yvan Attal), est complètement perdu puisque son cher DSK qui devait assurer le poste tout nouveau de président de la France / d’Israël / du monde n’est plus en état de le faire. Balot ! Il pourra peut-être nous parler des moeurs de Moshé Katsav, s’il les connait mieux... Mais c’est vrai que devant cette émission il m’a rendu fou par son incohérence. De toute façon c’est simple, sur le plateau ce soir-là les seules personnes sensées étaient C. Autain (pour la première fois de sa vie sûrement, comme quoi tout arrive) et Daniel Scheidermann, le seul qui a assumé franchement la réputation de harceleur de DSK que visiblement tout le monde savait sauf nous !
Skyrap est une radio de merde, ça c’est une évidence, elle a pour mission d’abrutir la jeunesse en la coulant dans le moule bien commode du sous-prolétaire américain à moitié analphabète.
Cependant l’autre vrai problème c’est qu’on trouve toujours la même pléthore de tiers mondains et autres politiques navrants pour défendre le pédocriminel de service.
Lui et sa clique dépravée (notamment un certain producteur de spectacles, un humoriste qui commence à se faire vieux, un patron de maison de disque, et il en reste) font la loi sur la « musique » en France (toujours mettre des guillemets).
D’un autre côté, certains politiques fréquentent aussi ce petit milieu interlope où l’on cotoie gaiement la jeunesse du pays (et d’autres pays aussi, j’ai cru comprendre que les petits marocains ont la cote, sans parler du pays de coeur d’un certain Fred Mitrand, la Thaïlande), alors je comprends cette solidarité. Je te tiens, tu me tiens !
Comme qui disait « j’ai des photos de toi à poil en mauvaise posture, alors tu la fermes et puis c’est tout ».