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hal2001

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  • hal2001 4 juin 2007 21:12

    Base élève est également un outil de gestion administrative a la fois pour le directeur d’école, pour les IENS et les Inspections Académiques aucune information pédagogique (telles que notes apréciations etc) ne figure dans les dossiers des élèves.

    L’applicatif a été développé suivant les recommandations de la CNIL (qui ont toutes été appliquées sans exceptions) et a forcément fait l’objet d’une déclaration.

    Personnellement la seule chose qui m’étonne c’est que cette déclaration ne soit pas accessible au grand public en téléchargement (même de la part des syndicats enseignant premier degré qui en font leur cheval de bataille pour mobiliser leurs troupes en ces temps troublés).

    Moi aussi je suis contre la généralisation des solutions à partir de quelque cas d’espèce. Sauf que dans ce cas précis rien ne sépare sconet de be1d d’un point de vue théorique. Que les informations stockées jusqu’a présent dans les deux applicatifs servent uniquement a gérer administrativement un élève.

    Que tout le débat autour de be1d n’est que spéculation avec des et si on est plus dans un état démocratique et si on croise les fichiers et si ....

    Que ce débat a été débuté par des syndicats enseignants connus pour leur militantisme de gauche en pleine période pré et électorale (après on se demande pourquoi les syndicats ne sont plus représentatifs ils se discréditent eux même).

    Que certains arguments sont totalement érronés de bonne ou de mauvaise foi et le plus souvent de mauvaise (par exemple votre fameuse date d’entrée dans le territoire et la langue d’origine).

    Que le vrai débat devrait porter sur le renforcement des pouvoirs de la CNIL et non pas sur que fera t on de ce fichier si dans 10 ans la france est devenue une dictature.



  • hal2001 4 juin 2007 16:51

    Je rajoute juste que l’application base élève est une application qui est faite uniquement pour gérer de façon informatique les élèves chose qui est inévitable de nos jours et qu’elle a été réalisée sur l’ensemble des recommandations de la CNIL (je ne vois pas comment dans un commentaire on peut dire qu’elle était contre).

    Qu’on ne condamne pas cette application sur ce qu’elle est mais sur ce qu’elle pourrait être avec dans un univers parallèle.

    Je rapelle ici que la STASI n’a jamais eu besoin d’un fichier informatisé, que de fichiers papiers et de l’avis de tous cela a été le fichage d’une population le plus efficace jamais réalisé.

    Il faut savoir également qu’une multitude de fichiers papiers (voir informatiques) existent que c’est l’anarchie et qu’il n’est pas possible de garantir leur sécurité ni leur confidentialité.

    Lors du régime de vichy les allemands n’ont eu besoin que des français pour réaliser leur besogne pas d’un fichier informatique.

    Si un jour notre pays n’est plus une démocratie on se retrouvera (base élève ou pas) avec d’un coté des démocrates et de l’autre coté des ... pas démocrates ?

    Mais ce jour là si la base élève n’existe pas on la fabriquera.

    De plus, que pensez vous donc alors du fichage généralisé des élèves dans le secondaire et dans le supérieur ? Pourquoi aucune action militante n’est elle entreprise contre Sconet etc ?????



  • hal2001 4 juin 2007 16:29

    Le maire de votre petite commune si il le désire vraiment peut connaitre toutes les activités péri-scolaire de votre enfant sans la base élève.

    La plupart des activités péri-scolaires sont directement financées par votre commune (cantine, crèche, garderie, transport scolaire) ou indirectement subventions aux associations culturelles et sportives.

    De plus encore une fois la gestion des activités périscolaires sous base élève se fait par le biais de case à cocher pour les informations suivantes :

    Restaurant scolaire (financé mairie) Etudes surveillées (financé mairie) Déplacement domicile-école (gestion directeur d’école) Garderie matin (financé mairie) Garderie soir (financé mairie) Transport scolaire (géré mairie financé conseil général)



  • hal2001 4 juin 2007 16:15

    Il y a deux possibilités concernant les interactions entre la mairie et cet applicatif base élève.

    Soit la commune est déjà équipée d’un logiciel de gestion de scolarité et à ce moment là elle n’a aucun besoin des données de base élèves pour réaliser elle même ses ghettos.

    Soit elle est si petite qu’elle peut se permettre de gérer la scolarité avec une version papier crayon, et donc le maire à une parfaite connaissance de sa commune et de ses administrés (y compris en situation irrégulière).

    Il faut savoir que le fait que les mairies alimentent elles même base élève est tout à fait normal, puisque l’inscription d’un enfant dans une école EST DU RESSORT DU MAIRE !!!!!!

    Le fait est que dans certaines communes rurales les directeurs d’écoles inscrivent directement les élèves la mairie ne désirant pas réaliser l’opération. C’est un droit coutumier on dira.



  • hal2001 4 juin 2007 16:07

    Il est assez ahurissant de voir qu’un article puisse être écrit sans connaître le sujet que l’on aborde.

    L’auteur de cet article ne connait manifestement pas l’application base élève et ne l’a pas vu fonctionner sinon celui-ci n’aurai pas laissé trainé de ci de là ces énormités que l’on peut lire.

    En premier lieu on a l’impression que cet applicatif a été développé en plus grand secret et débarque dans nos écoles comme un cheveu sur la soupe. Or ce logiciel est en test depuis au moins deux ans à ma connaissance si ce n’est 3 (je ne vois aps passer les années). De plus à son développement ont participé des directeurs d’écoles et je doute que le ministère n’ai en aucun cas averti les différents intervenants habituels de ce genre d’opération (syndicats enseignants, de parents d’élèves).

    Je cite : « Sur le premier point, à savoir le contenu du fichier, les champs standards sont présents, nom, prénom, adresse, nom des responsables légaux, derniers établissements fréquentés. Ce qui est moins »standard« par contre, c’est l’apparition de champs sans rapport direct avec le système éducatif, à savoir le pays d’origine, la langue d’origine, la date d’entrée en France, les suivis spécialisés. Interrogés sur la question, les services de l’académie nous informent que ces champs alimentent des études statistiques. Le fichier est donc partageable, consultable par d’autres intervenants que l’IA, les écoles, et les données vont être archivées par d’autres services que ceux de l’Education nationale »

    De tous les champs non standard (pour reprendre l’auteur) le seul champs effectivement présent est la nationalité c’est à dire effectivement le pays d’origine. Ceci dit c’est un champs qui n’est pas si non-standard que ca puisque présent dans quasiement tous les formulaires administratifs.

    Quand à la date d’entrée en france, la langue d’origine, ce n’est que désinformation.

    Les suivis spécialisés ne se résument qu’en une case à cocher permettant uniquement de se rendre compte qu’effectivement l’élève à un problème sans spécifier la nature de celui-ci.

    Ces informations ne sont nominatives qu’au niveau départemental et sont annonymées ensuite.

    Les intervenants sur cette application ne voient pas les mêmes informations en fonction de leur domaine de compétence. Par exemple le maire ne verra pas le champs nationalité alors que le directeur si ! (a savoir que ce champs si contreversé peut prendre la valeur inconnue)

    Je tient d’ailleur à préciser que les mêmes personnes qui s’émeuvent du champs nationalité sur ce logiciel n’avaient aucun scrupule à remplir cette même nationalité sur une enquête papier renvoyée au ministère pour statistique (Desproges aurait dit : « étonnant non ? »).

    Les données peuvent être effectivement archivées par d’autres services que ceux de l’éducation nationale mais c’est déjà le cas pour les archives papiers on appelle ca les archives nationales ou départementales qui sont un service de l’état.

    Il est fortement dommage que sous prétexte de préserver l’intimité de nos chers têtes blondes en france, on s’exite plus sur un fichier géré par une administration (qui le fait dans le secondaire depuis plusieurs années maintenant sans charter ni descente de police) que sur les fichiers clients des entreprises privées qui elles offrent effectivement beaucoup moins de garanties.

    J’en veux pour preuve les multiples jeux promotionnels que l’on propose à nos chers bambins.

    Il faut savoir que le remus ménage sur base élève qui est fait en ce moment c’est à dire en pleine période d’élections (présidentielles et législatives) semble plus lié à du militantisme politique politicien qu’a un réel soucis de préserver nos libertées individuelles.

    Cet article relève pour moi de la désinformation (volontaire ou pas ?) chose qu’hélàs qu’on trouve de plus en plus sur internet.

    De plus je pense personnellement que si l’on doit s’inquiéter de la mise en place de fichiers il vaudrai mieux commencer par le domaine privé où motivations pécunières occultent souvent les motivations éthiques.


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