- La muraille de Chine ne fut pas si inutile que cela, puisque ne pouvant pas la franchir, les Huns se sont tournés vers l’ouest et c’est l’europe qui se les ait coltinés... On ne peut pas dénier l’utilité de la muraille pour les chinois !
- "Islam est une jeune religion par rapport au christianisme (six siècles
d’écart), et qu’elle évoluera nécessairement d’elle-même« Pardon, mais le christianisme a évolué parce qu’il a accepté la science à contre-cœur. L’Islam n’évoluera pas, des tentatives ont été faites pour y adjoindre un peu de philosophie, toutes finies dans le sang. Vous ne savez pas de quoi vous parlez. Le Coran est parole de Dieu là où les évangiles sont des témoignages. Et »Nul ne peut modifier Ses paroles. Il est l’Audient, l’Omniscient.« Sourate 6, verset 115. Le Coran est incréé, né avec la création. On doit suivre sa loi, point.
- »Je pense même qu’une déculturation trop rapide peut être dangereuse pour
le pays d’accueil, en suscitant des comportements marginaux, tels que
le trafic de drogue". Pardon, mais les talibans sont donc trop déculturés ?
Un bon point cependant : "il est important que la population d’accueil ne commette pas l’erreur de
considérer qu’une attitude unique définit la totalité des croyants
d’une religion donnée." Effectivement, il y a la religion tradition (je crois au père céleste et je fais ma prière avant de me coucher). Religion modérée et tout à fait acceptable parce qu’elle n’est pas doctrinale et s’arrange de
compromis avec le dogme religieux (c’est pourquoi elle est si
tolérante). Le problème c’est que les modérés sont bien silencieux
quand il s’agit de contredire leur camarades extrémistes qui les
confrontent aux textes sacrés qu’ils ne
suivent pas à la lettre alors qu’ils s’en réclament !
M’enfin s’il s’agit des « des lois de fonctionnement de l’univers », alors la messe est dite. Ça me fait penser à la doctrine économique du laissez-faire béat qui nous a mener où l’on sait. Tout va bien dans le meilleur des mondes.
Le désastre est programmé depuis 1996 par un rapport de l’OCDE qui
indique la voie à suivre pour préparer la privatisation du service
public d’Éducation en le ruinant peu à peu discrètement sans susciter
la révolte des usagers
Il est cependant aussi opportun qu’urgent de tirer toutes les leçons que
l’histoire nous prodigue
Le problème c’est que nous vivons une première dans l’histoire : on fait la guerre non pas pour la gagner mais parce que c’est plus rentable que la paix.
On connaissait l’histoire du vendeur de pansement qui investit dans les rappes à fromage. On connaissait aussi les intérêts financiers qui vendent à tous les camps sans qu’il n’y ai jamais de vainqueur (du genre guerre Irak-Iran). Mais cela restait cantonné à une minorité. La vaste majorité des financiers voyant les troubles guerriers d’un mauvais oeil pour leurs affaires. Mais le marché de la guerre s’est étendu. Maintenant le mieux c’est encore qu’il n’y est pas de camp identifiable, que chacun soit susceptible d’appartenir à un camp belligérant... et voilà le boum des produits de contrôle et d’espionnage des états policiers... Et puis il y a aussi aussi les boites de reconstruction comme Halliburton qui fait fortune en Irak. Détruire pour reconstruire (The value of Federal
contracts for construction and security in
Iraq
has grown by half from $11 billion in 2004
to $25
billion in 2006.)... pour détruire et reconstruire... les intérêts à court terme sont exponentiels !
En fait le virement de majorité (intérêts financiers pour ou contre la guerre) c’est effectué lors des attentats de Bombay... En effet, le marché boursier pour la première fois a accueilli favorablement les attentats en cloturant en hausse... C’était le signe du changement de paradigme.