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김정일(金正日, 1942년 2월 16일 )[1]조선민주주의인민공화국(북한)의 국방위원장이며 조선로동당의 총 책임자이다. 1994년 아버지 김일성 북한 주석이 사망하자 권력을 이어 받았고, "절대 군주"로 비유될 정도로 그에게 권력이 집중되어 있다. 김정일은 조선민주주의인민공화국 내부의 정치적 발언권과 다양성이 심각하게 위협받을 정도의 절대권력을 행사하는 것으로 알려져 있으며, 300 만의 사망자가 발생한 북조선의 식량난과 지속되는 외부 영향에 대한 폐쇄성, 그리고 국제연합(UN)의 반대에도 불구하고 강행해온 핵실험은 김정일의 주요 실책으로 국제 사회에서 평가받고 있다.

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  • hareng hareng 22 mars 2009 15:53

    Il semble qu’une partie de mon message ait sautée.




  • hareng hareng 22 mars 2009 15:31

    Ceux qui affirment que les persécutions et les guerres ont compté pour des prunes dans la propagation de l’espéranto montrent le degré de leur ignorance. Or, l’espéranto a eu bien d’autres obstacles à vaincre, et la connerie humaine, dont nous avons eu ici un échantillonnage, n’a pas été le moindre. L’historien Jean-Claude Lescure a travaillé sur ce sujet, mais un travail encore plus approfondi devrait voir le jour dans un temps encore indéterminé. Finalement, comme il faut parfois savoir tirer parti de la connerie humaine comme le jardinier sait tirer parti du fumier, je pense que citation du maréchal Lyautey qui définissait ainsi une langue : Une langue, c’est un dialecte qui possède une armée, une marine et une aviation. !!!

    L’espéranto, lui, repose presque entièrement sur le bénévolat, des cotisations, des associations très diverses. Il n’y a pas d’impôts, il n’existe pas une autorité reconnue de tous les locuteurs et comparable à ce qui existe pour des États ou certaines religions., Notes attribuées à partir des critères suivants par le professeur Gaston Waringhien à (dans l’ordre) l’Espéranto, l’Ido, l’Occidental et l’Interlingua ; les notes globales respectives sont 34, 26, 28 et 25:I Simplicité du vocabulaire fondamental 5 2 1 1 II Simplicité de la grammaire 1 3 5 5 III Régularité de la formation des mot 4 3 3 1 IV Clarté 5 4 3 3 V Stabilité de la langue 5 1 2 3 VI Facilité de l’utilisation passive (c’est-à-dire la lecture) pour les polyglottes 1 3 5 5 VII Facilité de l’utilisation passive pour les non-latins unilingues 4 3 2 1 VIII Facilité de l’utilisation active (parole, écriture) pour les polyglottes 3 2 3 3 IX Facilité de l’utilisation active pour les non latins unilingues 3 2 2 1 X Valeur esthétique 3 3 2 2 Par exemple à propos du niveau de facilité de l’espéranto par rapport aux autres langues vivantes. Quand un nouveau, venu par Internet, est capable, depuis mai 2007, et ceci depuis plusieurs mois (février 2008), d’écrire des articles longs et documentés pour la version en espéranto de Wikipedia, c’est déjà assez éloquent. Quand des enseignants d’espéranto voient avec quelle rapidité des enfants en comprennent et en appliquent les règles, avec quelle rapidité ils savent lire, écrire, compter et calculer en espéranto (tiens, voilà un point sur lequel devrait se pencher notre ministre anglolâtre de l’Éducation nationale !) et quel profit ils en tirent dans l’apprentissage ultérieur ou parallèle d’autres langues, ça aussi, c’est éloquent, pas les théories développées par quelques individus de l’acabit de Asp Explorer (sic !). Beaucoup de personnes qui ont un vécu particulier de l’espéranto ont déjà témoigné dans le cadre de commentaires. De tels cas pourraient être cités en grand nombre. L’espéranto est peut-être la seule langue au monde pour laquelle il soit possible d’indiquer une date et un lieu de naissance. Le premier manuel de cette langue a en effet vu le jour à Varsovie le 26 juillet 1887, d‘abord en langue russe, puis, la même année, en polonais, allemand et français. Il aura donc 119 ans cet été et il fait partie des langues jeunes telles que le néo-norvégien ou nynorsk, officialisé deux ans plus tôt en Norvège, et l’indonésien, officialisé en 1945 en Indonésie. Il y a un trait commun entre l’espéranto et ces deux langues créées à partir d’une sélection de mots et de formes grammaticales issus de divers dialectes. C’est d’ailleurs ainsi que Dante avait procédé, beaucoup plus tôt, pour l’italien. Dante avait en effet rédigé, en 1303 et 1304, un traité intitulé De l’éloquence en langue vulgaire. Il y avait exposé sa vision d’une synthèse des meilleurs éléments des dialectes italiens et il l’avait réalisée. Dans l’ordre chronologique d’apparition, l’italien, le néo-norvégien, l’espéranto et l’indonésien sont donc nés d’une démarche comparable et ont connu un même processus d’évolution, à la différence près que les éléments de base de l’espéranto, souvent d’origine grecque et surtout latine, ont été sélectionnés non point dans des dialectes, mais en fonction de leur internationalité, de leur diffusion dans d’autres langues telles que le français, l’allemand, l’anglais, le russe… Quoi que l’on en dise, la question de l’espéranto est toujours d’actualité. Polyglotte, licencié de grec et de latin, agrégé en langues modernes, lecteur à l’Université d’Uppsala, en Suède puis professeur au Lycée Henri IV et à l’École des Sciences Politiques à partir de 1893, Théophile Cart, avait adressé un rapport au ministre de l’Instruction Publique, le 3 septembre 1906, voici donc bientôt un siècle. Il attirait l’attention des autorités de l’éducation en des termes que l’on pourrait fort bien transposer à la situation actuelle :
    “Le malaise résultant d’un tel état de choses est si réel, qu’on s’efforce d’y apporter remède, en tous pays, par la place, de plus en plus grande, qu’on réserve, dans l’enseignement public, aux langues vivantes, alors que, d’autre part, la somme des connaissances générales qu’il convient d’acquérir, va, elle aussi, en augmentant.
    Il n’y a aucune témérité à prédire que la solution par l’étude des langues étrangères, toujours plus nombreuses et mieux apprises, aboutira à la faillite. Vainement on s’efforce de la retarder par de fréquents remaniements de méthodes. Elle est fatale, parce que la mémoire a ses limites. Le nombre de personnes capables d’apprendre ‘pratiquement’ deux ou trois langues étrangères, avec tant d’autres choses, en outre est infime ; or c’est à un nombre d’hommes continuellement croissant qu’il importe de communiquer avec des nations de langues différentes, de plus en plus nombreuses.“
    En plus d’être une langue, l’espéranto est une école de logique et aussi une école d’humanisme et de civisme sans frontières, ce dont le monde a le plus besoin. Il peut constituer la base d’un enseignement d’orientation linguistique et d’un enseignement préparatoire à celui des autres langues. Un grand nom de la recherche pédagogique, Pierre Bovet, fut parmi les premiers à souhaiter son introduction dans l’enseignement : L’espéranto est un des meilleurs moyens de faire trouver, aux enfants, un intérêt très vif aux exercices, si souvent fastidieux, des cours de langues. Quand il abordera l’étude des langues étrangères, cet assouplissement du sens linguistique sera d’une valeur inestimable. L’espéranto se plaçant à mi-chemin entre le français et l’allemand, par exemple, ou le latin, permettra en les fractionnant de réduire considérablement les difficultés. envisageables.


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