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김정일(金正日, 1942년 2월 16일 )[1]조선민주주의인민공화국(북한)의 국방위원장이며 조선로동당의 총 책임자이다. 1994년 아버지 김일성 북한 주석이 사망하자 권력을 이어 받았고, "절대 군주"로 비유될 정도로 그에게 권력이 집중되어 있다. 김정일은 조선민주주의인민공화국 내부의 정치적 발언권과 다양성이 심각하게 위협받을 정도의 절대권력을 행사하는 것으로 알려져 있으며, 300 만의 사망자가 발생한 북조선의 식량난과 지속되는 외부 영향에 대한 폐쇄성, 그리고 국제연합(UN)의 반대에도 불구하고 강행해온 핵실험은 김정일의 주요 실책으로 국제 사회에서 평가받고 있다.

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Derniers commentaires



  • hareng hareng 22 mars 2009 21:20

    Aujourd’hui, il faut du courage pour plaider pour l’espéranto. Pour l’anglais, il suffit de suivre le troupeau : bêêêêê oui, c’est l’anglais la langue internationale, ça ne se voit pas ? Mais le propre de tout troupeau est d’être destiné à l’abattoir par prélèvements successifs de têtes.

    La diffusion des langues dites grandes s’est faite par des corps expéditionnaires, par l’oppression, par des exterminations de populations remplacées par des envahisseurs, donc de façon criminelle.

    Un directeur général du British Council avait déjà pu écrire, dans son rapport annuel de 1987/88 : Le véritable or noir de la Grande-Bretagne n’est pas le pétrole de la Mer du Nord, mais la langue anglaise. Il existe une inconscience totale dans les institutions européennes, et en premier lieu à la Commission, quant à la menace de déséquilibre vers laquelle mène cette politique linguistique qui contraint un très grand nombre d’Européens, essentiellement des jeunes, à se rendre en Angleterre pour y apprendre une langue qui, de par ses dirigeants élus ou occultes, est celle du pays le moins européen de l’Union, à s’imprégner de ses us et coutumes, de ses habitudes, à tomber sous l’influence de ses choix économiques, politiques et sociaux, tout ceci, et même encore plus, au détriment des échanges avec tous les autres pays.
    Donc, que dire de la situation des associations et organisations qui, elles ne disposent pas de l’argent des contribuables pour s’offrir des services de traduction et d’interprétation ? Il y a donc lieu d’enquêter et de comparer, comme l’a fait le professeur François Grin :http://www.ladocumentationfran...

    Le 16 mars 2001, la revue “Science” publiait le résultat de recherches sur la dyslexie. Cette difficulté de lecture touche environ un million d’enfants en France. Elle atteint plus fréquemment les élèves anglophones, un peu moins les francophones et très peu les italophones. Il y a deux fois plus de cas aux États-Unis qu’en Italie. Est-ce un hasard si la dyslexie a été découverte et décrite pour la première fois, en 1895, par un chirurgien-ophtalmologiste anglais, James Hinshelwood ?

    La raison se trouve dans la complexité graphique et phonétique de l’anglais qui a besoin de 1120 combinaisons de lettres (graphèmes)pour obtenir une quarantaine de sons (phonèmes) alors que le français a 190 graphèmes pour 35 phonèmes et que l’italien, langue claire et harmonieuse, se contente de 33 pour 25 phonèmes. Notons en passant que, sur ce plan comme sur bien d’autres, la langue qui se rapproche le plus de la perfection est l’espéranto avec 28 lettres pour 28 sons.




  • hareng hareng 22 mars 2009 21:09

     De toutes façons, quoi que tu écrives, ils se bouchent les yeux. Ce qu’ils voudraient, c’est une censure de l’espéranto.

    Il est inutile de perdre son temps et, le mieux, c’est de donner des informations avec des références car, de leur côté, c’est le zéro absolu.,

    Je reconnais que c’est du gâchis de temps et de forces, quoique, à mon avis, il n’y a pas lieu de laisser souiller une idée. . Ce n’est pas dans ma nature de discuter avec des brouettes. Le niveau de facilité de l’espéranto, c’est sur le terrain que ça se mesure et se constate,

    Ainsi, lorsque Claude Hagège affirme avec une lourde insistance que l’espéranto de facto, c’est l’anglais, il y a tromperie sur l’appellation.
    Il conduit à penser qu’il n’a rien compris de l’idée, du principe et de la vocation de l’espéranto.

    En plus, il se contredit et contribue au renforcement de la position de l’anglais en laissant entendre que la situation est irréversible, qu’il n’y a pas d’alternative. En effet, il a lui-même souligné que l’espéranto est la langue d’aucun État, et qu’il s’agit là d’un avantage important. Or, l’anglais est, lui, la langue d’un certain nombre d’États, et en premier lieu de celui qui mène le monde à son gré.

    L’espéranto propose au monde la langue de non-alignement dont il a besoin. Il est de loin plus accessible à toutes les couches sociales dans quelque zone géographique et linguistique que ce soit. C’est loin d’être le cas pour l’anglais. Même La Voix de l’Amérique reconnaît sa difficulté.

    Aucun espérantiste, à ma connaissance ne conteste la place de l’anglais par le nombre d’usagers natif ou non. Par contre toute personne qui a étudié et pratiqué les deux langues sait pertinemment que l’investissement pour la première est excessif par rapport au service apporté et que l’on pourrait atteindre beaucoup mieux à moins cher. .



  • hareng hareng 22 mars 2009 20:58

     Il ressort d’une enquête publiée par le quotidien italien La Repubblica (5.7.1996) que 11% des accidents aériens (crashes) sont imputables à une communication linguistique défaillante dans la langue qui règne sans partage : l’anglais.
    En se simplifiant, l’anglais a laissé de nombreuses relations grammaticales inexprimées.
    Son intonation a une très grande importance mais demeure insaisissable pour beaucoup. Sa phonétique et son accent sont parmi les plus chaotiques qui soient. Rien d’étonnant donc que le problème susbiste aujourd’hui. Entre un chinois qui essaie parler l’anglais et sarko qui essaie de parler la même langue, il existe heureusement quelques chances d’échapper à la catastrophe :,

    L’évolution des idées et des comportements demande autrement plus de temps que celle de l’évolution des sciences, des techniques, des normes.

    Pourtant, même le système métrique, bien plus ancien, est encore chahuté par les mêmes qui veulent imposer, à leur avantage, leur langue totalement illogique au monde. C’est particulièrement significatif que le BC ait reçu, en 1971-72, avant l’entrée de la Grande-Bretagne dans le Marché Commun (le 1er janvier 1973), 16% de crédits supplémentaires du gouvernement britannique et ceci alors que tout avait déjà été défini dans le rapport annuel du British Council , année 1968-69, page 12 : "Il y a un élément de commercialité dissimulé dans chaque professeur, livre, revue, film, programme télévisé, de langue anglaise envoyés au delà des mers ."

    Si alors nous sommes en train de tirer un avantage politique, commercial et culturel de l’usage mondial de l’anglais, que faisons-nous pour maintenir cette position ?

    Eh bien, non seulement ils la maintiennent, mais ils pratiquent la politique du coucou : les autres langues hors du nid ! 
    Ddémonstration est faite, une fois de plus, et brillamment, que 2 + 2, ça ne peut en aucune manière faire 4. 

    Faire comprendre l’intérêt de l’espéranto à nos autorités de l’éducation n’est pas chose facile car ce que constatait Albert Einstein reste toujours valide : "Triste époque que celle où il est plus difficile de briser un préjugé qu’un atome !".

    Mais nous sommes aujourd’hui à l’époque d’Internet. Il est déjà de moins en moins possible de cacher aux citoyens que l’image négative, dévalorisante, voire méprisante trop souvent donnée de l’espéranto ne correspond pas à la réalité.

    Les sacrifices que fera tout homme de notre monde européen, en consacrant quelque temps à son étude, sont tellement petits, et les résultats qui peuvent en découler tellement immenses, qu’on ne peut se refuser à faire cet essai


    Cette langue est en effet facile et équitable car elle contient ou implique de nombreux effets multiplicateurs du fait notamment de sa régularité et de sa clarté : phonétique, grammaire de base en 16 règles, formation des mots, internationalité, initiation facilitée à d’autres langues etc.. Ces effets accélèrent son étude et donc facilitent la communication internationale..

    De 1907 à 2007 l’espéranto est passé en effet d’une dizaine de milliers de locuteurs en 1907 à environ deux millions aujourd’hui. et a donc connu une progression très rapide avec un multiplicateur de 200. Et ceci après une progression foudroyante les 20 premières années de 10 à 10000 locuteurs, soit un multiplicateur de 1000.

    Depuis 1907 il a donc progressé 40 fois plus vite que par exemple l’anglais. Et pourtant il reste discriminé dans l’enseignement obligatoire et le plus souvent occulté par les média ! Son enseignement facultatif n’est pas reconnu sauf en Hongrie depuis quelques années où il fait déjà jeu égal avec les principales langues étrangères.
     



  • hareng hareng 22 mars 2009 17:18

    Utiliser une langue nationale comme langue internationale est un non-sens. Ce n’est pas à cause que ça se fait que c’est la meilleure solution. Quand certains prétendent que l’espéranto a échoué du fait que sa diffusion n’est pas plus grande après 120 ans d’existence, ils montrent les limites de leurs connaissances, de leurs capacités d’analyse, et démontrent qu’ils n’ont rien compris.
    Compte-tenu de la puissance financière, politique et militaire qui a propulsé l’anglais au niveau où il est aujourd’hui, et ceci depuis bien plus longtemps, son niveau de diffusion est tout simplement minable. Ça fait penser aux quantités astronomiques de bombes déversées sur le Vietnam par la plus puissante armée du monde, et, au bout du compte, c’est une population de petite taille qui a éjecté des colosses puissamment armés.

    La barrière des langues ne doit pas être sous-estimée, et l’espéranto est le moyen le plus économique et le plus accessible pour tous. Bien entendu, il n’exclut pas l’apprentissage d’autres langues pour ceux qui le désirent ou qui en ressentent la nécessité.
    C’est un tremplin dont l’efficacité a été démontrée pour leur apprentissage. Le besoin de parler de culture s’accroîtra naturellement au fur et à mesure que croîtra la communauté espérantophone dont la jeune génération découvre aujourd’hui la langue surtout par Internet. La priorité est de monter que l’espéranto fonctionne et donne satisfaction, y compris pour découvrir d’autres langues et les cultures qui y sont attachées.
    Pour moi, du fait que nul ne peut apprendre toutes les langues du monde, même seulement celles parlées par plus de 50 millions d’hommes, à un niveau suffisant pour en profiter réellement et en apprécier toutes les richesses, l’espéranto doit être un moyen neutre pour y accéder sans l’influence des langues dominantes qui constituent des filtres alors que, à cet égard, l’espéranto donne un maximume de transparence et de fidélité.,

    L’Espéranto est égalitaire. Il permet à de larges couches de la population des différents pays de communiquer sans intermédiaire au-delà des barrières linguistiques et politiques.

    L’anglais, considéré par beaucoup comme la langue mondiale de fait, ne parvient pas à remplir ce rôle même au sein du petit cercle des pays relativement riches possédant un système éducatif élaboré.

    Même si le pouvoir est, et restera provisoirement entre les mains des opposants à l’introduction générale de l’Espéranto, il s’avère en pratique que l’Espéranto est déjà à l’heure actuelle un moyen par lequel certains laissés-pour-compte linguistiques peuvent devenir bilingues et prendre part à une communication équitable au delà des barrières linguistiques.
    Dixit Maxime Rodinson (qui connaissait une trentaine de langues après avoir commencé par l’espéranto) à propos de son initiateur : "C’est vraiment très facile. Zamenhof était un génie."

    L’idée d’un génie ne peut être que... géniale. Les chiffres indo-arabes, qui avaient aussi un côté génial, il leur a bien fallu attendre plus de deux siècles avant d’être admis. Et le système métrique est encore boudé par la première puisssance mondiale (bien fait pour sa gueule : ça lui a coûté une sonde qui s’est écrasée sur Mars .

    De même, l’anglais nous coute des sommes inimaginables.





  • hareng hareng 22 mars 2009 16:43

    l’espéranto a été l’objet d’une multitude de qualificatifs qui visaient à susciter un réflexe de répulsion et de mépris à son égard, à détourner l’attention de la solution qu’il proposait à des problèmes eux-mêmes passés sous silence. C’est finalement une superbe référence que d’avoir été ainsi traité par ce que l’humanité a connu de plus vil.
    Des quantités phénoménales de propos injurieux, calomnieux, diffamatoires ou dévalorisants ont été déversées sur lui et ses usagers, et il est bon que le public puisse s’en rendre compte ici. Une simple étude des bases de l’espéranto ne demande pourtant pas des facultés intellectuelles surhumaines.


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