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Héloïm Sinclair

Trentenaire, urbain, européen, engagé dans l’écologie avec un parti pris "socialdémocrate tendance libéral",je m’intéresse bien entendu à la politique et à l’actualité.
Tentation d’avancer vers la philosophie, dans la sagesse d’ici et maintenant, dans un monde néotechnologique qui souffre d’un manque de lacher prise et de réflexion ...
"Toute métamorphose paraît impossible avant qu’elle ne survienne".

Tableau de bord

  • Premier article le 10/10/2006
  • Modérateur depuis le 11/12/2006
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Derniers commentaires



  • Héloïm Sinclair 9 octobre 2006 23:40

    Sans revenir sur le contenu très peu objectif de l’article (orienté ? smiley), je relève juste un bon gros mensonge, concernant le passage sur l’aide à l’export :

    « La France ne dispose que d’un dispositif inadapté car piloté par la fonction publique qui, par éthique, s’oppose à aider le privé à s’enrichir. La conséquence est simple, alors que l’Allemagne accompagne près de 30 000 nouvelles PME à l’export, la Grande-Bretagne plus de 15 000, la France parvient à peine à 500 ».

    UBI France, ’Agence française pour le développement international des entreprises, et qui accompagne et aide des milleirs de PME à l’export est un EPIC, établissement public certe, mais un statut loin du fonctionnariat, et des méthodes dignes d’une multinationale, avec des relais dans tous les pays, un service d’intelligence économique, ... Et sur le nombre de 500, je ne sais pas où vous l’avez inventé, mais de source officielle, ce sont plus de 10 000 qui on été accompagnées.

    OK, 10 000, ce n’est sans doute pas assez, et l’on doit pouvoir faire mieux. Mais pour avancer dans le diagnostic partagé, pour bâtir de nouvelle solution en réponse aux besoins des entreprises, il faut être honnête et ne pas pratiquer le mensonge.



  • Héloïm Sinclair 4 octobre 2006 22:49

    N’en déplaise à certains, l’Europe est partout dans notre quotidien. C’est un projet singulier avec la paix pour ciment, l’intégration économique et politique comme moteurs, et le rêve d’une communauté de destin.

    Il n’y a pas besoin d’être un fin stratège géopolitique pour savoir qu’à l’heure de la mondialisation, il n’y a point de salut dans le nationalisme. Cette insularité confinerait à la marginalité, incapable d’influer sur les problèmes planétaires et continentaux (effet de serre, immigration, sécurité, économie, ...). Il faudrait d’urgence diffuser se message à toutes les démocraties d’Europe, le buzz du blog peut y participer pour propager ce message de vérité dans une Union plus ou moins intégrée.

    Alors, oui, il y a eu les escrocs du Plan B, mais il faut faire avec la réalité, « les faits sont tétus », mais comment faire vivre le projet d’Europe ?

    Car, on le voit bien que la panne ou l’abscence de projet européen, de véritables politiques mobilisatrices (ou projets mobilisateurs pour être plus modeste), laisse un manque, et permet au vents mauvais de redoubler d’effet à nos frontières orientales.

    Comment mettre en place une gouvernance européenne en phase avec les enjeux du monde, dans le vide institutionnel ?

    Pourrait-on imaginer une gouvernance ouverte et dynamique, dans l’esprit des traités, mais qui ne passerait pas nécessairement à 25 et bientôt 27) ? Gouvernance des cercles en quelques sortes, à 3, 6, 12, ou 15 pays pouvant initier des intiatives communes, pour relancer la boite à soutien de projets qu’a été la Commission. Sur la base d’initiatives communes, permettre à la société civile, économique, sociale (et in fine politique) de renforcer l’objectif visé par l’action ...

    Peut être que nous n’empècherons pas les vents mauvais, mais au moins, nous apprendrons à les maîtriser.



  • Héloïm Sinclair 1er octobre 2006 18:48

    Je ne sais pas ce que tout le monde à contre greenpeace, mais j’ai fait un article, pour promouvoir leur campagne (invisible sur le site de greenpeace france), et vais défendre mon point de vue de manière constructive.

    1, pour évacuer le problème Greenpeace. Oui, ils font du bon marketing, oui ils surfent sur la vague médiatique, actions coup de point, ... Mais le marketing serait il interdit au contre pouvoir écologique, car réservé à l’industrie et au monde politico-mercantile ? Les écologistes doivent-ils continuer de seulement se réunir autour d’un feu de bois guitare à la main, pour faire avancer des messages, ou peuvent ils utiliser la communication moderne (masse média, internet, ...)pour toucher le plus grand nombre ? Dans un autre registre, c’est pour ça que Nicolas Hulot est plus efficace pour l’environnement en France que nos « verts français rougissant ». Le postionnement médiatique, la visibilité, un discours clair et audible, sont nécessaires pour une difficile prise de conscience individuelle et collective.

    2, sur le fond des campagnes de Greeanpeace France, se préoccuper de l’énergie et du climat, de l’état des forets, des océans et des ressources en poissons, des OGM, des déchets toxiques, ... est parfaitement légitime, vue l’état de la planète et la réactivité des politiques.

    3, les utilisateurs du web 2 ;0, comme de téléphones portables et autres balises GSM (la communauté d’agoravox et d’ailleurs) devraient se préoccuper de la polution générée pour fabriquer ces produits, et de leur recyclage en fin de vie. La technologie, ce n’est pas seulement plug-and-play, c’est une empreinte écologique dont nous sommes responsables. La blogosphère ne vie pas en vase clos, mais sur terre, dans un écosystème (voir point n°2).

    4, à la base de la campagne « green my apple », il y a une étude et sa publication, pour que le consommateur soit informé des performances des 14 géants de l’électronique, concernant l’emploi de substances chimiques dangereuses et de leurs pratiques de recyclage des déchets électroniques et des produits en fin de vie.

    5, téléphones mobiles et d’ordinateurs, vous pouvez choisir en en étant aussi exigeant sur le respect de l’environnement, que sur les performances et le design. Et comme client, vos pouvez demander aux fournisseurs de se bouger, d’évoluer, de ne pas dépenser des fortunes dans le marketing et le design, si c’est pour au bout du compte polluer sans soucis.

    6, dans une société libérale, il faut savoir utiliser la « boucle retour » pour faire bouger une entreprise, en appuyant là où ça fait mal : l’image. Et si vous croyez qu’Apple ne bougera pas avec cette campagne, c’est que vous ne croyez pas assez à la force des blogs et du web 2.0

    7, pero, ça m’a permis d’écrire à Steve Jobs, pour lui demander de faire un effort. Sans cette campagne, je ne l’aurai pas fait, et Apple penserait encore que tout va bien dans le meilleur des mondes et du profit...


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