Sarkozy n’est ni enfant ni adulte ni vieux ni (dans un sens figuré mais de mon point de vue une caractéristique fort révélatrice de par le caractère acariatre de ce personnage, voir à ce sujet les témoignages paraissant ces jours-ci de ses proches connaisseurs) mâle ni femelle.
C’est une machine purement hédoniste cherchant à avoir électoralement les suffrages de tous bords pour mieux se coller au fauteuil du pouvoir politique. Et pour celà, il est programmé à utiliser tous moyens d’atteinte du but qu’il s’est tracé, en faisant fi d’un véritable bornage de conscience éthique ou morale pour en tromper autrui par un usage virtuel de cette conscience.
C’est un véritable politicard nombriliste et perversément égocentriste loin de toute sagesse, parce que celle-ci est avant tout l’exigence profonde d’une posture de tous les jours constituant un receptacle des saines espérances d’autrui sur la conscience du sage pour en traduire l’usage dans l’accomplissement de ses devoirs de saine responsabilité quels qu’ils soient dans toutes ses actions envers les hommes.
Il est le clone du président algérien Bouteflika avec pour avantage à sarkozy un niveau d’instruction supérieur.
Errata sur billet ilias 220108A12H49, billet précédent tronqué à ignorer
§4) Au lieu de lire : ...à toutes formes d’influence de l’instinct... ; lire : ......à toutes formes d’influence actionnant les ressorts profonds de l’instinct humain......
§4) Au lieu de lire : ..., et où le choix est entièrement ouvert..... ; lire...., et où le choix des moyens d’atteinte du but poursuivi est entièrement ouvert sans aucune limite par une conscience éthique et/ou morale
Il me parait fort utile de piocher un tant soit peu ce que fukuyama appelle la fin de l’Histoire.Il faut relier ce concept à celui de hegel disant que la raison tend à se réaliser intégralement dans l’histoire avec ce qui caractérise le plus l’époque moderne, à savoir la participation la plus large des citoyens dans la gouvernance des affaires publiques par alternance via une majorité dégagée sur opinion publique par les urnes.
Pour bien saisir ces notions, il faut beaucoup plus raisonner en philosophe du politique et du juridique qu’en historien. Ce dont il s’agit, ce sont les modalités de dynamique de transformation institutionnelle de la prise et l’organisation du pouvoir politique dans les sociétés humaines.
Avec l’avènement de la démocratie qui est au sens plein du terme un mode de gouvernance par des elections libres et dans le principe des électeurs individuellement à droits égaux sans distiction de race , de confession , de sexe,de position économique et sociale, etc., l’on aura atteint les limites raisonnables d’une architecture institutionnelle du pouvoir piloté via des elections libres par une émanation de la société et pour l’intéret de la société entière.
Néanmoins, il faut nuancer aujourd’hui cette modalité de droits égaux ; elle ne l’est que formellement de par l’existence de 3 caractéristiques devenant de plus en plus encombrantes :
1. L’irruption du phénomène aujourd’hui récurrent d’une massification de l’opinion, proie facile à toutes formes d’influence de l’instinct et meme de conditionnement discret des esprits au moyen des médias d’un côté et des lobbies d’intéret de l’autre
2. La prolifération des lobbies et leur compétition acharnée où seul l’objectif de casse de l’autre est omniprésent, et ou le choix est entièrement ouvert sans aucune conscience éthique.
3. De par le changement des croyances en un dieu divin par un dieu fric, les positions économico-sociales ou seulement économiques créent une asymétrie dans les droits réels tout en sauvegardant le principe de façade des droits formels.
La société humaine n’aura pas encore réalisé l’Histoire tant qu’elle ne répondra pas à ces 3 questionnements.
Et c’est là, le grand défi de la civilisation à venir : une civilisation à l’echelle du village planétaire qu’est notre terre, la vivante Gaia.
Il me parait fort utile de piocher un tant soit peu ce que fukuyama appelle la fin de l’Histoire.Il faut relier ce concept à celui de hegel disant que la raison tend à se réaliser intégralement dans l’histoire avec ce qui caractérise le plus l’époque moderne, à savoir la participation la plus large des citoyens dans la gouvernance des affaires publiques par alternance via une majorité dégagée sur opinion publique par les urnes.
Pour bien saisir ces notions, il faut beaucoup plus raisonner en philosophe du politique et du juridique qu’en historien. Ce dont il s’agit, ce sont les modalités de dynamique de transformation institutionnelle de la prise et l’organisation du pouvoir politique dans les sociétés humaines.
Avec l’avènement de la démocratie qui est au sens plein du terme un mode de gouvernance par des e
Keynes disait qu’un bon économiste ne pourrait être seulement qu’économiste. Cette créature médiatique des cow-boys décervelés, n’est qu’avocate d’affaires avec en plus la posture d’une simagrée dans la haine de la pensée et corollairement de tout ce qui est culture et liberté de l’esprit. Goebbels l’attend bien dans sa secte "qu’on j’entends le mot culture ( connotée dans sa vision totalitaire et nihiliste avec liberté d’esprit et par là-même liberté de pensée), je dégaine mon pistolet". C’est une honte pour le peuple français et la république française de 2007, qu’une pareille créature puisse officier un ministère, et encore plus dégueulasse un ministère de l’économie.