• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Initiative Citoyenne

Initiative Citoyenne

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 24/11/2010
  • Modérateur depuis le 14/03/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 31 83 573
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 8 6 2
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Initiative Citoyenne Initiative Citoyenne 9 avril 2011 22:51

    Voici ce que Lina Moreco, qui a réalisé « Silence on vaccine » a écrit :

    "Avec Silence, on vaccine, j’ai eu l’impression de me retrouver au Moyen Âge entrain de questionner l’existence de Dieu. Combien de fois on m’a dit : « Tu devrais pas parler des vaccins, ils ont sauvé des vies. » ou bien « On ne doit pas remettre en question l’efficacité des vaccins, c’est dangereux… » 

    Quelles sont les conséquences de ce silence ?

    Ne pas avoir le droit de parler d’un sujet peu importe la société où l’on vit empêche toute personne de s’exprimer librement. La discussion n’a pas d’espace. C’est ce qui explique le peu de médecins du Québec, pédiatres ou autres, de médecine traditionnelle dans mon film. Pour ceux avec qui j’ai eu des discussions, ceux qui acceptent de ne pas vacciner selon le calendrier proposé, ceux qui discutent avec les parents sans user de leur autorité professionnelle – eux, ils ne pouvaient pas raconter ouvertement leur point de vue devant la caméra. Prisonniers du tabou.

    Le silence réduit au silence et à l’ignorance.

    Alors quand on me dit que peu de personnes sont atteintes de maladies à la suite de vaccins, je pose la question suivante : comment peut-on connaître la non-existence de quelque chose si on n’a pas le droit d’en parler librement ?

    Les réponses sont : plusieurs études scientifiques démontrent qu’il n’y a pas de liens de causalité entre la vaccination et l’apparition de maladies. Bon, il faudrait aussi rajouter : que toutes les études sont faites sur des personnes vaccinées. Il n’existe aucun groupe contrôle, tel qu’on en voit dans un laboratoire – que ces études sont financées par l’industrie pharmaceutique, que lorsqu’un médecin tel que le Docteur Chérin au sein de mon film, ose écrire sur le sujet, il voit sa crédibilité de spécialiste mise en doute

    Dire qu’il n’y a pas de lien revient au même que de dire : dans le cadre d’une étude opposant un groupe de personnes fumant deux paquets de cigarettes par jour et un autre fumant un seul paquet par jour, on retrouve le même type de maladies du poumon, conséquemment, il n’y a pas de lien entre la cigarette et le cancer du poumon. Une hypothèse comme celle-ci était crédible durant les années 1970. 

    On peut en débattre, je le sais, mais il est évident que de ne pas poser de questions, ou bien, de ne pas vouloir savoir, laisse la porte grande ouverte à un autre malaise qui est bien évoqué par le Congressman Dan Burton au sein du documentaire : « sommes-nous en train de laisser une trop grande place à l’industrie pharmaceutique dans le processus de décisions qui affecte notre vie ? »

    J’aimerais rajouter ceci : sommes-nous en train de laisser le sort de notre immunité naturelle aux mains d’une industrie qui voit dans la production et l’invention des vaccins un simple moyen de faire du profit ? Les enfants qui naissent aujourd’hui pourront-ils survivre ou vivre sans se soumettre à un calendrier vaccinal de plus en plus imposant ? Pourront-ils vivre sans vaccins ?"

    http://linabmoreco.wordpress.com/

    Quand on sait, comme il est écrit dans ce document de 2007 que l’industrie a 450 nouveaux vaccins en développement et quand on sait les enjeux financiers que ça représente, on comprend que des personnes un peu naïves (Annie ?) pourront attendre longtemps avant que l’establishment daigne venir leur dire que les vaccins peuvent faire globalement plus de tort que de bien ou le leur révèle via les grands médias, sur un plateau d’argent !!
    http://www.pharmaceutiques.com/phq/mag/pdf/phq148_54_dossier.pdf



  • Initiative Citoyenne Initiative Citoyenne 9 avril 2011 13:32

    Si vous classez dans « rumeurs » des études et des effets attestés dans une littérature médicale rigoureuse au sujet du ROR, rien ne dit que « vos rumeurs » d’innocuité du vaccin aient la moindre valeur.... (et il faut croire que Tony Blair, qui n’avait pas osé dire que son fils n’avait pas reçu ce vaccin ne va pas aller en nous convaincant davantage)

    En effet, les effets graves du ROR ne sont pas à négliger. En voici quelques uns, issus de la littérature médicale :

    http://www.sante-solidarite.com/effetssec.htm#ROR

    A ce propos, nous vous renvoyons aussi à l’avis des médecins du groupe médical suisse de reflexion sur les vaccins qui estiment, au sujet de cette vaccination que :

    "La vaccination a permis une régression de la fréquence de cette maladie, mais en contrepartie, les cas sont devenus plus graves car ils concernent désormais des catégories d’âges où les complications sont plus importantes (adolescents, adultes, nouveau-nés).
    5 à 10 % des personnes vaccinées ne développent pas une protection suffisante, ce qui rend illusoire toute volonté d’éradication de cette maladie.
    Mais il y a plus grave : en mars 2001, le très sérieux British Medical Journal relatait que des scientifiques indiens avaient averti que l’Inde pourrait être le témoin de l’émergence d’un virus mutant de la rougeole hautement virulent sur lequel le vaccin est inefficace. Une fois de plus, à vouloir éliminer du globe un organisme, on en sélectionne des formes résistantes et l’histoire des antibiotiques pourrait bien se répéter avec les vaccins.
    Plusieurs études démontrent que l’absence d’éruption rougeoleuse (comme dans le cadre de la vaccination) augmenterait le risque de maladies de l’immunité (allergies par exemple) et de certaines tumeurs.
    Le lien entre le vaccin de la rougeole et des maladies inflammatoires du tube digestif (maladie de Crohn, colite ulcéreuse) ainsi que le risque d’autisme suite au vaccin sont fortement débattus dans la littérature scientifique et la question n’est à ce jour pas résolue.

    Nos recommandations
    Afin d’en être protégés toute leur vie, laissons à nos enfants la chance de faire cette maladie naturellement à l’âge où elle est bénigne. Malheureusement la chance de rencontrer le virus est de plus en plus rare. À la puberté, le vaccin peut se justifier si l’adolescent n’a pas les anticorps protecteurs.« 

    http://www.infovaccins.ch/rougeole.htm

    En outre, la »gravité« de la rougeole, sur le plan statistique, a été fortement gonflée au moment de l’apparition du vaccin (comme par hasard). Ainsi, en 1976 dans le Concours médical, on pouvait lire que la rougeole méritait pleinement son statut de maladie bénigne puis en 83, il fallait »sensibiliser le public et les médecins aux conséquences lourdes de cette maladie« . Ce type de manipulation ressemble en fait assez fort à ce que l’OMS a fait en modifiant ses critères de pandémie pour vendre du vaccin H1N1 à tout prix.

    Maintenant, les gens ne sont plus dupes, ils comprennent de plus en plus que quand on leur dit que la rougeole peut entraîner des cas de complications neurologiques, on leur occulte le plus souvent le fait que la vaccination aussi peut engendrer des séquelles neurologiques !
    http://www.initiativecitoyenne.be/article-rougeole-en-hausse-en-belgique-faut-il-s-en-inquieter-71223827.html


    Au départ, votre argument comme quoi les enfants non vaccinés auraient été moins enclins à consulter donc à se voir prescrire des antibiotiques avait une certaine pertinence mais à parti du moment où il ne s’agit pas que de ce seul critère comparé, ça se corse un peu et ça devient limite caduque selon nous. Prenons aussi la différence significative au niveau des troubles du comportement entre les enfants vaccinés et ceux non vaccinés. Ca plaide plus en faveur d’une toxicité neurologique des vaccins que le simple fait de »ne pas voir de médecins" (on sait que le fait de ne pas devoir voir de médecin peut rendre joyeux mais quand même ...)


  • Initiative Citoyenne Initiative Citoyenne 9 avril 2011 13:08

    Visiblement, vous avez envie de dénigrer gratuitement. Les infos qui ont été mises dans la suite de cet article ne sont pas du tout exhaustives (on l’a écrit, cela peut être fait de façon complémentaire aux traitements classiques) mais témoignent de possibilités le plus souvent ignorées par les patients, au détriment de ceux-ci.

    Une maladie comme la tuberculose ne se soigne pas forcément qu’avec des huiles essentielles ! Les H.E peuvent agir de façon complémentaire au traitement classique, seules, selon la gravité de la maladie, ou en association avec d’autres traitements phytothérapeutiques dans les cas de TB multirésistantes aux traitements antibiotiques classiques (dont vous faites peu de cas mais qui pourtant sont de + en + nombreux !)

    Toutefois, nous vous remercions de votre commentaire, quelque peu satyrique car cela nous donne ainsi l’occasion d’approfondir le bienfondé de nos propos, non pas quand à une « pub » pour telle ou telle technique (car nous n’avons aucun lien d’intérêt avec la moindre firme), mais quant aux expériences favorables qui ont été menées dans ce domaines avec d’autres moyens, n’en déplaise à l’idée de monopole que vous vous étiez créée, par conditionnement sans doute...

    Courmont P a pu montrer au cours de tests qu’une solution d’eugénol, issu de l’huile essentielle de girofle, à 0,05% (ce qui est très peu !) était suffisant pour détruire le bacille tuberculeux."

    Par ignorance ou par idéologie, il est cependant regrettable que des médecins privent leurs patients de chances de traitements, d’autant plus quand ceux-ci sont plus efficaces ou tout aussi efficaces mais mieux tolérés !

    Par exemple, la plante Lantana Hispida s’avère efficace dans le traitement de tuberculoses multirésistantes (MDR-TB) :

    Jimenez-Arellanes A, et al. “Activity against multidrug-resistant Mycobacterium tuberculosis in Mexican plants used to treat respiratory diseases.” Phytother Res. 2003 Sep ;17(8):903-8.

    Jiménez-Arellanes A, et al., « Antimycobacterial triterpenoids from Lantana hispida (Verbenaceae). », J Ethnopharmacol. 2007 May 4 ;111(2):202-5.


    La plante Amborella Trichopoda, une des plus vieilles plantes à fleurs du monde s’est avérée, elle, aussi efficace, que deux traitements anti-tuberculeux de référence (pyrazynamide & ethambutol) dans une étude menée par des chercheurs attachés à l’Université de Paris Sud et au CNRS :

    

    Billo M, et al., « Screening of some New Caledonian and Vanuatu medicinal plants for antimycobacterial activity.” J Ethnopharmacol.2005 Jan 4 ;96(1-2):195-200



  • Initiative Citoyenne Initiative Citoyenne 31 mars 2011 16:29

    « Sinon sur la dangerosité des vaccins, si vous n’avez pas fait de mauvaise réaction la première fois vous n’en ferais pas la seconde ;) 3 piqûres de ROR dans une vie, c’est pas la mort. » dixit Ulysse.


    La encore, cette affirmation est une contre-vérité scientifique totale.
    Au contraire, à chaque dose de vaccin, il existe un risque. L’auteur confond sans doute les réactions de types allergiques (les seules que les médecins connaissent car ce sont les seules que l’on daigne leur enseigner !) avec toute la palette d’autres réactions. Ainsi, des gens peuvent faire un grave purpura thrombocytopénique après une deuxième dose et pas forcément après une première,

    Des réactions sévères, dues à des phénomènes de « complexes immuns » surviennent par exemple surtout chez des gens déjà vaccinés qu’on revaccine. Ainsi, plus le taux d’anticorps résiduels contre le tétanos, dûs à une précédente vaccination sont élevés, plus la vaccination de rappel entraînera un grand risque d’effet secondaire (vascularite, arthrite etc). Les effets graves des vaccins, incluant le décès ou des cas de mort subite surviennent souvent après la deuxième dose de vaccin, pas forcément la première.

    Le problème du cercle vicieux des rappels c’est que ce n’est pas juste « 3 Doses de ROR dans une vie » c’est aussi des dizaines et des dizaines d’autres valences, tout au long de la vie, les vaccins annuels contre la grippe, les rappels de ceci ou cela, les vaccins du voyage. Et si, cette survaccination peut entraîner des maladies graves, très lourdes de conséquences et surtout très chères pour la collectivité sur le plan financier.

    « Je suis d’une famille de médecin et aucun n’a encore vu un cas de complication grave suite à une vaccination. » dixit Ulysse

    Cette affirmation mérite d’être prise avec beaucoup de prudence car :

    - les médecins ne sont pas formés à reconnaître les effets des vaccins, en gravité et en fréquence et donc il existe une sous-estimation notoire (seuls 1 à 10% des effets sont réellement rapportés d’après les données médicales)

    - Comme expliqué dans le British Medical Journal par le Pr Georges Dick en 1971 : « Les médecins sont peu disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu’ils ont eux-mêmes recommandée et en laquelle ils croient. »

    - les médecins ne peuvent pas facilement avouer qu’un vaccin a causé du tort pour des questions de responsabilité civile et d’assurance. (craintes de poursuites de la part des patients)



  • Initiative Citoyenne Initiative Citoyenne 31 mars 2011 16:18

    La majeure partie des décès par rougeole surviennent dans des conditions socio-économiques et d’hygiène bien précises !
    Si la majeure partie survient dans les pays pauvres, cela n’est pas pour rien.
    Des enfants dénutris, des carences (en vitamine A notam.).

    Vacciner avec des vaccins à virus vivants des enfants déjà dénutris et affaiblis est un scandale sur un plan médico-scientifique car de l’aveu même des fabricants de vaccins, on ne donne PAS de vaccins viraux aux immunodéprimés ! Or pour votre info, les dénutris sont de facto immunodéprimés.

    Toute vaccination ayant un effet immunosupresseur, vacciner à l’aveugle chez des enfants dont on ne dépiste même pas des déficits immunitaires particuliers (un enfant sur 500, même dans nos pays nait avec un déficit immunitaire primitif) c’est aggraver cet état et faire courir un risque mortel et morbide d’infections opportunistes bien supérieur au risque d’une rougeole naturelle si elle survenait.

    Des tas d’enfants vaccinés sont porteurs du HIV ou ont un sida or même le Pr Saliou de l’Institut Pasteur avait un jour dit dans la presse que vu cet état de chose avec le sida, il faudrait repenser le bienfondé de vaccinations à virus vivant comme celle de la rougeole !

    Venir donc prétendre qu’on évite des cas de rougeole avec la vaccination, oui, peut-être MAIS l’envers du décor c’est que beaucoup de ces enfants, vaccinés à l’aveuglette, meurent dans les jours ou semaines qui suivent d’autres infections et ne sont donc pas repris dans les « statistiques glorieuses » de l’OMS sur l’évolution des décès par rougeole. Alors que si l’UNICEF avait inversé ses priorités financières pour plus d’eau et moins de vaccins, ces enfants auraient pu être sauvés tout court. Car chaque enfant décédé est un mort de trop, que ce soit par la rougeole ou une autre maladie. Pour les partisans de vaccins, ils ont souvent « leurs oeillères », seules comptent les cas évités de maladies « vaccinables », sans préoccupation de savoir si ces cas de décès « évités » ne sont quand même pas survenus en post vaccination via des maladies pour lesquelles aucun vaccin n’existe, mais néanmoins facilitées par l’effet immunosupresseur de la vaccination magique.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv