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iris

 
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Derniers commentaires



  • iris 30 octobre 2008 09:04

    il n’a pas l’age de la retraite pour laisser la place aux jeunes ??
    Il ne gagne pas le smic ?? Il a un bon fauteuil rembourré de billets ??



  • iris 24 octobre 2008 15:22

    les infos de leon dermayers sont sur le site de la commission ATTALI-



  • iris 24 octobre 2008 15:15

    et encore

    Dans le magnifique rapport de l’Institut Montaigne (membres de l’IM et de la CFLC : Claude BEBEAR, X , Anne LAUVERGEON (X aussi) , Eva PALACIO , François VILLEROY DE GALHAU), il est écrit :

    « Réussir dans la mondialisation n’est possible qu’avec l’engagement de l’ensemble de la société française, autour de deux notions centrales : cohérence dans l’action, interactions plus nombreuses et plus complexes entre acteurs économiques et sociaux. La compétitivité n’est pas le seul domaine des entreprises : celle de leur environnement compte aussi. »


    A mes quelques critiques, je leurs propose donc de lire ce rapport de 150 pages (mais c’est écrit en grand pour que les vieux puissent, aussi le lire, merci) et nous avons déjà tous les éléments de la synthèse qui en découlera.

    Vos critiques contre la mondialisation, n’auront donc pas servi, car concernant ce domaine, je pense qu’ils ne risquent pas de changer beaucoup d’opinion. Ils expriment un fait qu’aucun ne maîtrise plus et le sentiment d’essayer de rester dans le jeu afin de survivre le plus longtemps possible voire de chercher à démontrer une adhésion intellectuelle au « Système » voire d’y trouver des vertus.

    Cependant à l’appui de ce document, je vais exprimer mon idée, et à 71 ans je n’ai vraiment rien à perdre, qui plus est, j’habite en Allemagne autre pays de rêveurs quoiqu’un tantinet plus pragmatique.

    Donc voici ma question : (Je fais tout de suite les réponses supposées à la place de la commission, nous gagnerons du temps)
    Considérez-vous que la France dans son ensemble fait partit des pays intermédiaires (comme la Grèce) ou des pays avancés (comme la Suède). ?

    C’est certainement des pays avancés : « OUI »
    Bien sûr, vu de Paris quart Sud Ouest, lieu de résidence supposé des personnes précitées la réponse est évidente, ils sont, fréquentent, habitent avec, côtoient « les Elites Françaises » et vivent dans l’Hypercentre Européen, si ce n’est pas le centre du Monde.

    Mais à 15 km de là commence la France d’en bas si majoritaire que la réponse est : « NON » plut^t des pays intermédiaires. Et dans votre rapport vous avez donné la réponse qu’il faut.
    J’ai vu tellement d’usines de production en France, en Allemagne et dans tellement d’autres pays, que je peux vous vous répondre avec certitude que vous êtes effectivement déjà dans une mauvaise situation. « Sie sind auf dem falschen Weg »
    Votre industrie est moribonde, et à l’abandon, elle n’est pas soutenue ni de l’extérieur (18 millions de salariés qui n’appartiennent pas à l’industrie) ni même de l’intérieur ( ceux de l’industrie qui n’attendent que la pré-retraite, de décrocher un emploi dans la fonction publique ou en dernier lieu un chèque de départ), je parle des PME (de production) qui font normalement la force d’un pays industriel.

    - Posez-vous la question depuis 7 ans combien de créations d’industries de production ont vu le jour en France : Personne ne sait répondre, bien sûr, mais le plus dur est n’admettre qu’il n’y en presque pas.

    - Sur les 300 000 créations d’entreprises, il y a moins de 10 000 dans la dénomination « Industrie », et dans le secteur si on enlève les NTIC et autres secteurs dénommé abusivement « industrie », c’est quelques dizaines d’industries de production, c’est à dire rien comparé aux dizaines de milliers d’emplois simplement supprimés.

    S’il reste encore moins de 3.7 millions de personnes dans vos industries qui n’ont pas été doté d’investissement depuis si longtemps pour la plupart, je pense (vu l’échantillonnage que j’ai observé) que vous pouvez encore en fermer une bonne moitié. Vous êtes bien, vous aussi en France, dans le scénario du déclin. – Et toujours dans l’insouciance -

    Ceci est la grande différence entre la France et l’Allemagne, l’Allemagne qui a malgré tout a conservé un pôle électromécanique puissant. L’exportation vient des machines vendues à l’export.
    Que reste-t-il dans ce secteur en France ? 6 à 7 fois moins qu’en Allemagne ?

    Remarques sur le rapport de l’IM de 150 pages :
    1) Quand vous écrivez « cependant rien n’est perdu pour notre pays, mais …… »

    - En général qu’en on écrit cela, on le pense déjà.-

    2) Maintenant vouloir labelliser emplois et carrières avec des normes de type ISO ???

    - C’est bien n’avoir pas eu vent des ISO 9001 et de ce qui en reste ! Aucun de cette commission ou cet Institut, n’a certainement pratiqué cette bureaucratie soviétique, sinon à l’heure qu’il est, ils parleraient de ce qui se pratique aujourd’hui aux USA le « Paper LEAN » . ou en slang « paper CLEAN » - Simplification drastique de la paperasserie -

    3) Une délocalisation équivaux à verser 60 % de masse salariale annuelle ( En France un peu plus : plutôt 80 %) en coût de licenciement.

    - C’est sûr qu’avec moins, j’aurais été plus efficace dans mes missions en France. –

    - L’institut Montaigne, n’est pas moins clair que moi-même lors de mon premier commentaire. – L’ IM adhère pleinement à ce « Système » comme je l’ai fait. -

    - A propos, je propose aux membres de cet Institut d’aller consulter à Heidelberg les manuscrits d’un certain Wolffhardt 20 ans avant l’ère Montaigne), et de se rendre compte que déjà à l’époque des « Montaigne » pouvaient s’inspirer des idées d’autres écrivains, juste un peu de traduction et une adaptation à sa langue maternelle.

    - La mondialisation comme décrit par votre Institut, n’a rien d’original, mais cette fois elle semble également d’inspiration Allemande sauf que l’inspiration Allemande est cette fois ci d’inspiration Américaine. Il est toujours plus facile de copier que de réinventer.

    - En Europe on copie toujours les Américains, même le pire on le copie bien.

    Bref vous admettez dans ce rapport que c’est inévitable et qu’une partie reste au bord de la route. –combien de personnes peuvent sortir du circuit de l’emploi, selon IM ? 6 , 8, 12, 25 millions ? -
    Ma remarque est la suivante : inspirez-vous de la genèse de 1929 et des conclusions de 1945, pour moi, année du début de la compréhension de la vie et des conséquences des actions antérieures.

    « Les choses ne sont pas si douloureuses, ni difficiles d’elles-mêmes ; mais notre faiblesse et lâcheté les fait telles », affirmait Montaigne. Ainsi en va-t-il de la mondialisation. Considérée ailleurs comme une opportunité, elle est en France perçue par beaucoup comme porteuse de risques et de désordres, et elle l’est en effet, car la France est un pays « intermédiaire ». Point bar.

    Et si la sagesse populaire était cette fois ci, plus pertinente que la sophistication des analyses des « l’Elites » ?
    Que votre Président Nicolas Sarkozy ne connaisse pas l’Industrie soit, c’est un avocat, mais que tous ces Polytechniciens ignorent ce domaine est stupéfiant !
    Ont-ils seulement mis un pied dans une industrie de produits manufacturés ? Ont-ils seulement idée de l’importance vitale d’en posséder ?
    Airbus Toulouse ne produit qu’une infime partie de l’avion en valeur : L’assemblage de certains avions de la gamme.
    Derrière ce grand mécano, il y a - avait - une arborescence de PME qui avaient un savoir-faire.
    En 2009, l’A320 sera Chinois ! Ce n’est qu’un début de plus !
    Les vêtements, l’électronique, les voitures et bientôt les avions.
    Les Européens ont-ils décidé de ne plus être des consommateurs de produits industriels dans les prochaines années ?

    DERMAYERS Léon.




  • iris 24 octobre 2008 15:14

    Réponse aux critiques « des délocalisations et des responsables-coupables présumés ».



    Je me présente :



    Mon nom est Léon, DERMAYERS Léon, je suis Allemand mais de mère Française, j’avais 8 ans en mai 1945 et je me rappelle des bombardements de ce printemps 45. – Ceux sont mes souvenirs principaux de mon enfance, des souvenirs de fin du monde, de l’apocalypse, de la vision d’un enfant sur de nombreux trépas violents dans l’effondrement de l’immeuble.

    Puis ce ne fut pas la fin, et la vie a repris, ainsi que la frénésie de construire, de bâtir toujours plus, d’oublier cette guerre, d’avoir été à l’Ouest plutôt qu’à l’Est. - Vivre dans la joie. -



    Après les trente « glorieuses » j’ai démarré « l’expatriation », la découverte d’autres mondes.

    Dans une équipe de vente d’infrastructure industrielle en Iran au et Moyen Orient.

    L’entreprise ayant eu quelques difficultés de non-paiement, je me retrouve à 52 ans sans emploi

    Après quelques échecs d’embauches (déjà trop vieux), un Bâtisseur d’Empire dans l’équipement automobile, visionnaire et en avance sur tous ses concurrents, ma confié une mission fort lucrative que j’ai mené d’abord avec professionnalisme puis avec « passion ».


    - Il m’avait surtout embauché pour la connaissance des langues étrangères -





    J’étais devenu un des premiers « délocalisateurs » à la suite de la chute du mur de Berlin.

    Pour devenir un « bourreau efficace », il fallut d’abord être une « victime bien consciente de la nature humaine ».




    - C’était mon cas, et cela été très utile -



    Mais pour répondre aux nombreuses critiques, je ne pense pas faire parti des gens qui manquent de courage, bien au contraire, surtout à fréquenter de si « nombreux lâches » qu’ils soient diplômés ou non.



    Je vais donc vous compter l’histoire d’un « Système », vu par un qui était fortement impliqué (moi-même) puisque j’ai organisé la fermeture de 8 usines en Europe Occidentale, soit 1100 emplois, mais j’ai aussi contribué à la croissance de 12 usines à l’Est Hongrie, Tchéquie, Pologne, Ukraine, Émirats, Turquie, Mexique, Chine, Afrique du Sud, puis Roumanie, Inde, Brésil soit la création de 3000 emplois et plus aujourd’hui.

    Et je n’ai pas l’intention d’avoir des remords ni des regrets, j’ai fait un métier, et je ne me suis pas embarrassé de considérations métaphysiques ou philosophiques.

    Certes mon salaire pour cette prestation était à la hauteur de mes talents qui s’affinaient au fil du temps.

    Les pleutres, les sans-courages c’étaient les employés des entreprises-cibles dans leur grande majorité, des victimes-nés pour la plupart.

    Eh oui, comme disais un de vos « blogeurs » : 10 % de collabos, 80 % de majorité silencieuse ( si silencieuse que je n’ai jamais su s’il y avait un seul courageux dans le tas) et 10 % de rebelles pour qui j’avais finalement le plus d’estime, car ils tentèrent de vaines résistances.

    Résistances réprimandées par mes subordonnés si obéissants, qu’ils anticipèrent des actions sans que j’eusse seulement à les exprimer ni oralement, ni clairement !

    Le plus surprenant, j’ai pratiqué cela dans 4 pays différents avec toujours une résistance faible mais identique d’un site à l’autre, avec peut-être une particulière mollesse en Allemagne.



    En résumé : Tous les 18 mois fermer un site industriel de production en silence mais dans les délais, faire envoyer la production vers un pays ou les gens sont peu rémunérés, donc accroître sensiblement les marges bénéficiaires. – C’est pourtant un but simple et compréhensif : gagner de l’argent « Viel, gut und schnell » -



    Voici la « Méthode » :



    1) Être nommé pompeusement par le « patron de la holding » : CEO de l’entreprise cible.

    2) Vite distinguer les employés des catégories extrêmes : les collaborateurs et les rebelles

    3) Promouvoir les collabos, ménager un peu les rebelles au début, puis les laissez aux mains des directeurs si obéissants.

    4) Communiquer : expliquer la situation économique, mondialisation, coût concurrence, marchés émergeants, Joint-Venture, croissance à deux chiffres, nouveaux besoins, etc.…Bla-bla ….

    5) Choisir soigneusement les employés intéressés par un voyage, une découverte vers un pays lointain : de préférences des « petits chefs ». Les amener vers le pays « d’accueil ».(Ils deviennent importants, cela faisait longtemps que personne n’avait finalement observé leur qualité.)

    6) Placer les quelques rebelles ayant survécus aux « purges » vers les fonctions commerciales avec des ambitions de croissance telles qu’ils se réjouiront bientôt de produire dans les « Low Costs ».

    7) Faire envoyer progressivement une production partielle déficitaire, puis une autre moins déficitaire etc..

    8) Transformer le site de production en « Center of Competence », cela donne de l’importance au Directeur Général promu et favorise le transfert.

    9) Annoncer un déficit chronique du site de production, le provoquer si nécessaire.

    10) Réduire l’effectif par tranche de 15 %, avec la complicité des 85 % momentanément encore en place.. « Kleinmutigkeit der Leute »

    10 bis) Réitérer ceci tous les 4 à 6 mois

    11) Lorsqu’il n’y a plus de production, fermer la « boutique », car un nouveau COC a été mis en place sur le site de production d’accueil. Les Tchèques ayant une grande tradition industrielle, ils se sont finalement vite adaptés à produire, innover et à développer. - Ils travaillent plus et coûtent moins chers -

    12) Déplacer les quelques commerciaux restant vers un site de taille réduite, et vendre le site à des promoteurs immobiliers. - The End -


    - En Europe, l’Allemagne l’a initié, la France a suivi le mouvement. -



    Voici en 12 points, les grandes lignes d’une délocalisation réussie.



    Coût : de 6 mois à 10 mois de masse salariale annuelle + frais liés aux transports et déménagements – vente des terrains de constructions.

    Gain une marge bénéficiaire remontée de 2 à 35 points soit un retour d’investissement (ROI ) inférieur à 18 mois.

    Ceci est valable si vous les premiers à le faire et si vous êtes leste.

    Ceux qui arrivent après les autres peuvent se retrouver rapidement en posture plus délicate et si le processus de délocalisation s’éternise, le « Return Of Inversement » peut se rallonger dangereusement.



    Donc n’est pas « Délocalisateur qui veut », c’est un métier ou la connaissance de la psychologie humaine est primordiale. C’est la gestion de la décroissance d’un lieu et de la croissance d’un autre lieu.



    Bien sûr, j’ai été décrié, mais finalement si peu et surtout rarement en face.

    J’ai eu droit à tous les surnoms, « Le Bosch », en France, « Joé » : allusion à Joé Dalton dans Lucky Luke, Le « Ballafré » ma cicatrice au visage d’avril 1945, « Terminator », « Exterminator », « Délocalisator » , « Special winner, serial killer », « Louis de Funès » en Allemagne seulement parce que je parlait aussi le Français, etc…. Mais tout cela m’était égal.



    J’étais un élément d’un « Système », et je comprenais les motivations de mon « Employeur » qui s’est adapté à la croissance d’un monde en mouvement, qui pensait sincèrement maintenir son empire par la construction de sites de production dans les pays émergeants, et qui avait au fond moins d’empathie pour ses trop « gâtés » compatriotes d’Allemagne que pour les populations d’Asie.

    Et il avait compris que dans ce système, il fallait jouer en premier et rapidement.

    En quoi il avait raison puisque nombreux de ses concurrents qui s’étaient obstinés à faire du « Made in Germany » n’existent plus à ce jour !

    La responsabilité de ce « Système » est collective. :

    La « classe économique dirigeante » : pour un maintient de ses Empires ( un Empire par définition est vaste, et la terre est finalement si petite, - moins d’un jour de voyage d’un endroit à n’importe quel autre - )

    La « classe politique » : pour préserver une illusion d’un maintient du niveau de vie à leurs électeurs. – repousser le problème dans le temps, comme votre « Louis XV ».

    Les « consommateurs-électeurs » qui recherchent le meilleur rapport qualité-coût.



    Et moi bien sûr, qui était doué pour être un acteur de ce « Système »e, - ne soyons donc pas modeste -, qui a vécu très confortablement, qui a goûté la bonne chaire dans tous ses aspects, qui pourra mourir sereinement car si j’ai connu l’enfer des bombes dans ma prime jeunesse, j’ai connu une fin paradisiaque, égoïstement certes, et avec une pointe de cynisme, mais c’était si exaltant.



    Dans votre littérature j’ai retenu deux choses que je cite :



    Élie Wiesel : Il y a des bons et des mauvais partout, ce qui est dangereux c’est l’indifférence de la grande masse qui laisse faire.



    Et



    Les riches sont cyniques … et …. les pauvres sont résignés et pour cause.



    Ou encore une troisième sur notre sujet :



    Le « Système » des délocalisations ressemble à la vente pyramidale, quelques gros bénéficiaires audacieux et lestes et beaucoup de « Loosers » qui subissent individuellement et dans l’isolement ». Avec la participation de la « lâcheté du plus grand nombre, qui s’accrochent à juste encore survivre quelques temps »


    - Rajoutez encore un régime de terreur dû à une situation de guerre qui s’enlise, et vous imaginez ce que cela peut produire. – Rien de neuf sous le soleil, après tout





    Requête :

    Ce qui m’intéresserait, c’est de vous rencontrer, vous, les 43 membres de votre commission.

    J’ai lu vos CV, des parcours fort intéressants, une belle équipe, peut-être un peu éloigné du terrain, trop habitué aux conforts attribués aux « Élites » .

    J’ai eu affaire à tant de personnages et d’en comprendre leurs mécanismes, leurs vrais motivations, leurs peurs profondes si bien dissimulées, que je pourrais faire la synthèse des résultats de votre commission avant même que vous les synthétisés. Cela dépend de vos natures profondes ( si vous êtes courageux et sincères ou si …)

    C’est aussi cela le talent du « Delocalisator ».

    Je vous laisse mon adresse e-mail et me tient à votre disposition.


    - Malgré mon âge je suis alerte et me déplace volontiers -

    Je sais que la probabilité de cette rencontre est très faible, et c’est dans la « normalité humaine ».

    En fait pendant mes missions, j’ai promu tellement de monde à des rôles de direction « Geschäftführer », « Plant Manager » « Diretor da manufatura » « Président Directeur Général », que j’ai une connaissance approfondie de la nature des plus ambitieux.

    Plusieurs années après la fermeture de leurs sites, ils sont restés amicaux avec moi, et me souhaitent une « Bonne Année » et même un « Joyeux Anniversaire ». – Les niais ! -

    Mes « victimes sans grades » se sont retournées parfois contre les cadres collaborateurs, jamais contre moi.

    Comme votre plus célèbre des Français d’aujourd’hui, je disais la vérité dès le départ, et il est vrai que beaucoup ne voulaient tout simplement pas entendre la vérité.


    - C’est quand même extraordinaire -



    Im letzten Monat war ich in einer Fabrik im Osten, und ich habe gehört, was ein Franzose über eurem neuen Präsidenten erzählt hat zu die Mitarbeitern.

    „Unser Präsident ist der französische .... Leon DERMEYERS“ - Ist daß nicht wunderbar ? –



    Bis bald, vielleicht !



    Maintenant, je suis cependant conscient d’un emballement du « système » et de ses funestes conséquences possibles.

    C’est aussi pour cela que j’ai eu beaucoup plus de respect pour les « Rebelles » et ceci très rapidement, dès le début de ma carrière d’ « Exterminator ».




    - Mais est-ce surprenant ? -



  • iris 24 octobre 2008 14:52

    le crédit c’est une question d’éducation !!
    dans ma famille plutot de la calsse ouvrière et employés- peu ont des crédits et des surendettements !!
    ils préfèrent faire des petites économies pour s’acheter leurs électro ménager et autres appareils-et freinent sur les objets inutiles et d’esbrouffE !!et font avec ce qu’ils ont-il y en peu de frustrés sauf 1 ou 2 qui veulent vivre audessus de leur moyen et imiter les riches- et si on ne part pas en vacances à l’étranger on sait s’occuper - 
    ont tils raison ??
    Les personnes surendéttées ont peut etres plus de soucis !! et encore c’est une affaire de tempérament et d’éducation !!et de débroullardise et de courage-
    il faudrait remettre en urgence les cours de bricolage -couture-jardinage pour que chacun se suffise à lui mème-
    il y en a qui vivent très bien avec des dettes alors que d’autres se font du soucis dès qu’elles doivent un sou !
    mais tout monde meurt un Jour les endettés comme les autres !!
    Et i l y a des hauts et des bas dans la vie- des retournements-des choses que l’on ne peut prévoir !!

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