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J.F.

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  • J.F. 30 décembre 2012 11:13


    NiveauRisque statistique de cancer mortel d’après l’hypothèse LNT12Dose en une exposition1 000 mSv
    =1 sievert1 / 20Seuil des effets déterministes : apparition de la fièvre des radiations.100 mSv1 / 200Limite de l’effet statistiquement observable des excès de cancers sur les survivants de Hiroshima et Nagasaki3.

    La limite d’exposition des personnels d’intervention est de 100 mSv en cas d’urgence radiologique, voire 300 mSv pour des interventions destinées à sauver des vies humaines (France)13.

    Les systèmes de réparation de l’ADN des cellules sont activés à des doses comprises entre 10 et 100 mSv.

    10 mSv1 / 2000En dessous du seuil de 2 cGy (20 mSv) on ne détecte plus d’augmentation de la fréquence d’aberrations chromosomiques14.

    Un scanner comportant dix coupes (voire beaucoup plus pour un scanner coronaire moderne) entraîne une exposition de 15 mSv15. Un scanner abdominal correspond à 12 mSv.

    Les 0,5 million d’habitants des zones faiblement contaminées aux alentours de Tchernobyl recevront une dose cumulée sur 70 ans de l’ordre de 14 mSv16.

    mSv
    1 000 µSv1 / 20 000Une exposition de l’ensemble de l’organisme à 1 mGy entraîne, en moyenne, la traversée de chaque cellule par un électron17.

    L’irridiation par scintigraphie est de l’ordre de 4 mSv lors de l’étude des os, et 2 mSv pour l’examen de la thyroïde15.

    100 µSv1 / 200 000Une radiographie des poumons entraîne une dose de 0,3 mSv18 à 1 mSv15. Une radiographie dentaire correspond à une dose de 0,2 mSv. L’exposition moyenne due aux retombées des essais nucléaires atmosphériques a atteint un pic en 1963 avec 0,15 mSv19. Une mammographie correspond à une dose effective de 0,13 mSv20.10 µSv1 / 2 000 000Un voyage Paris-New York aller et retour : 0,06 mSv18.µSv1 / 20 000 000Les radionucléides contenus dans une cigarette entraînent en moyenne une exposition aux rayonnements de 7,3 µSv par cigarette21 (outre l’exposition aux goudrons cancérigènes).Voilà Cabanel, je vous reprends à nouveau avec des chiffre faux ! Ce tableau est donc « pour rappel » ou plutôt pour information car je m’attends à nouveau à votre pirouette habituelle - désagréable- qui montre que vous n’y connaissez rien en la matière et aux chiffres et qui clos toute discussion possible avec d’autres membres... 

    Cordialement,

    JF


  • J.F. 23 novembre 2012 18:31

    Une dernière pirouette pour la route ? 



  • J.F. 23 novembre 2012 17:56

    Il est clair que vous n’avez pas compris à qui vous aviez à faire, étant donné votre réponse, et que vous vous amusez à détourner la moindre petite phrase... Outre le fait que vous manquez de respect à ceux qui vous répondent. Qu’importe, ceci semble être un jeu pour vous, pour vous donner de la crédibilité peut-être ? 


    Je ne remarque qu’un seul point : jamais, vous n’avez repris un terme technique dans l’ensemble des messages précédents qui imposerait un vrai débat et qui montrerait surtout, ce que je commence à croire, que vous n’y connaissez absolument rien en la matière... 

    Et je pense qu’à l’issu de cet échange, nos lecteurs l’auront tout à fait compris. 

    Bien Cordialement,

    JF.


  • J.F. 23 novembre 2012 16:58

    M. Cabanel,


     Me voilà à vous reprendre de nouveau sur l’interprétation de vos sources. Cela fait la troisième fois, me semble-t-il, si l’on prend en compte le second article sur lequel je suis également intervenu…

    J’en profite également pour répondre à « l’Ecureuil bleu » dont la question semble être la plus pertinente de ce topic et la réponse est loin d’être évidente. Je vais donc m’y risquer, à titre personnel uniquement.

     

    Avant de continuer, je tiens également à compléter le fait que je ne suis membre d’aucun lobby nucléaire et que ma fonction m’interdit de prendre part pour telle ou telle énergie. Mais, au contraire, pour permette une étude correcte et approfondie, il est nécessaire d’avoir les chiffres corrects, ce qu’il ne semble plus être le cas ici, dans un sens comme dans l’autre, bien entendu.

     

    1. Concernant votre source sur Tchernobyl, cela est un jeu on ne peut plus risqué. Vous savez pertinemment et aussi bien que moi que chaque source donnera une évaluation différente du nombre de morts de Tchernobyl pour la simple raison qu’il est impossible à évaluer. Que prend en compte le chiffre que vous donnez ici ? Je tiens à vous rappeler le contexte, effroyable, dans lequel cet incident à eu lieu. En plein contexte de « guerre froide » qui vous renvoie à nos lointaines années d’étudiants. Dans un contexte dans lequel les recherches pour la bombe H n’étaient soumises à aucun contrôle et dont les rejets, d’une extrême importance, oui, ont causé la mort à de très, bien trop nombreuses populations… Et dont les populations civiles ont été envoyées, sans aucune protection, sur le terrain pour « nettoyer ». Quelle réactivité ! Évitons donc une guerre des chiffres telle que celle-ci qui n’aboutira à aucun consensus…

    J’ai également noté, au cours des formations auxquelles j’ai pu assister, et à ma grande surprise, que cet accident, outre que pour la postérité, n’était plus enseigné. La raison ? Les différences trop importantes entre nos deux technologies et leurs erreurs – dans ce contexte de guerre froide – qui se sont accumulées.

    Cet accident et l’un des plus grands scandales de notre siècle, sans nul doute, mais qui n’est en aucun cas lié à notre énergie actuelle. Et, il ne convient en aucun cas de le comparer à ce que nous vivons aujourd’hui : ni d’un point de vue technique, ni d’un point de vue humain.

     

    2. Concernant Fukushima, à présent. Alors le débat n’est pas ou plus pour ou contre Mediapart, peu m’importe, la question serait plutôt de savoir si vous avez bien lu le rapport que vous pointez du doigt. Plus de 2900 pages ? Combien de pages avez-vous réellement lues ? Je vais être honnête, de mon côté, aucune ! J’ai eu cependant l’occasion de participer aux commissions et études, - notamment avec les exploitants et autorité de sûreté - concernant le retour d’expérience de Fukushima. Prenons la simple période – très courte – d’entre Tremblement & Tsunami.

    Suite au tremblement de terre, il y a bel et bien eu 3 actions : la première fut la chute automatique des barres de contrôle pour stopper immédiatement la réaction nucléaire. Le contrôle de la réaction, première règle de sûreté a donc bien eu lieu. La seconde action fut le maintien du refroidissement du cœur et l’activation des injections de secours, tout s’est normalement déroulé ici, la fonction refroidissement a donc été maintenue. La dernière, le confinement, a été également assurée à tout moment pendant cette période. Si erreur il y a eu, elle n’a impacté aucune de ces fonctions vitales.

    Voilà où nous en sommes et toutes, absolument toutes les commissions, s’accordent sur ce point et sur ces faits de cette période.

    Maintenant, si erreur il y a eu après le Tsunami je vous invite à reprendre, avec moi, l’ensemble de la chronologie des faits – heure par heure ; action par action – après l’accident. Et, alors, votre connaissance me permettra d’y voir plus clair sur l’action inappropriée qui s’est, selon vous, déroulée par les opérateurs et qui serait pointée du doigt dans ce rapport. Je suis convaincu que vous pourrez éclaircir ce point, en détaillant précisément les actions.

     

    3. Sur les coûts du nucléaire, à présent, ils sont plus élevés oui, mais plus élevés que les coûts de production du gaz, du charbon, du pétrole… Mais restent moins que ceux des énergies renouvelables. Je n’ose pas vous renvoyer, problème de sources, à l’une de mes dernières publications lors de la dernière conférence sur le climat. Il est important de tenir en compte, ici aussi, que ces coûts de recherche totaux prennent également en compte ceux de la médecine et, principalement, de la défense pour qui un quelconque arrêt n’est même pas envisageable. Oui, je pense, les coûts de production vont augmenter parce que nous n’avons pas remplacé la génération actuelle qui devient vieillissante.

    C’est aussi un choix, qui semble partagé par les gouvernements successifs, de réduire les émissions en augmentant la part des ENR tout en conservant notre nucléaire afin de palier – au moins dans un premier temps - à la consommation croissante en énergie et au remplacement progressif des énergies fossiles.

     

    4. Enfin, concernant cette prise de médicaments. Il est vrai que ses prises augmentent mais, à nouveau, est-ce que nous en connaissons vraiment la cause ? Alors, oui, vous me trouverez sans aucun doute un rapport à ce sujet… Mais les études partagées par la communauté scientifique montrent bien des causes diverses et variées. Notre industrie, en général, a un impact non négligeable sur notre santé. C’est certain. Je ne doute pas non plus de l’impact que Tchernobyl a eu. Mais de là tout lier à une seule cause en une seule phrase, je suis dubitatif. 

     

    5. Pour finir, et ce sera mon dernier mot, je vous renvoie, vous et vos lecteurs, tout naturellement, aux employés du nucléaire. C’est sans nul doute ce jour ou je suis rentré pour la première fois sur un site et que j’ai « découvert » ces employés qui vivent à proximité des centrales et qui s’alimentent de légumes (que j’ai eu la chance de goûter moi-même) cultivés aux pieds des centrales et par la même bien meilleurs que ceux du marché étant donné leur possibilité des dispositifs de réchauffement lors des grands froids. Ces employés âgés certainement en bien meilleure forme que vous et moi et sans aucune déclaration de maladie cancérigène… Qui prouve bien le non risque quotidien de cette proximité.

     

     

    Alors oui, je me doute d’avoir une réponse d’une telle ou telle source ou connaissance qui se plaint de… qui a vue que… Et bien soit, il en est ainsi, je le redis, je n’ai de mon côté rien à gagner avec cette industrie que je suis de près. Simplement avoir des chiffres corrects, et, surtout, une bonne interprétation, s’il vous plait, tel que je vous l’avais montré dans mon tout premier post (cf plus haut) et qui pointait les trop nombreuses défaillances de votre article. Je le redis, aucun incident de niveau supérieur à 2 n’est survenu en France et dans le monde depuis plusieurs années (i.e. Aucun rejet) !

     

    En espérant vous serez plus prudent dorénavant, tout en gardant l’avis que vous portez qui permet d’alimenter un débat certain auquel je suis le premier à participer mais en gardant une analyse correcte de vos sources qui, dans l’état actuel des choses, n’est pas digne d’une publication sur internet…

     

    Après avoir pris ces quelques minutes, nécessaires, je vous rends l’antenne et vous souhaite bonne continuation sur ce site.

     

    JF.

     



  • J.F. 21 novembre 2012 21:36

    En 1997, le décret est annulé pour cause d’arrêt de Superphénix. Le réacteur passant en phase de démantèlement, EDF n’en a simplement plus la charge de l’exploitation, qui passe aux mains du CEA... 


    A nouveau, M. Cabanel, faites attention à l’interprétation de vos sources...

    Bien à vous.

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