J-J-R

De toute manière l’ étiquetage était voulu par la commission européenne et c’est le gouvernement français actuel sous la pressions des lobbies confessionnels qui a mis son véto. Mais de ça, notre Président ne s’en vantera pas devant l’opinion publique, préférant étouffer la polémique dans l’oeuf pour que rien ne change.

Vous êtes lobotomisés par vos à priori mon cher. L’Ump n’a jamais lancé ce débat. Nicolas Sarkozy a même tenté d’étouffer ce scandale dans l’oeuf en prétendant au marché de Rungis que la polémique n’avait pas lieu d’être et en affirmant du haut de son autorité et de la confiance qu’elle est censée sucité que le Halall ne représenté que 2.5% des abattages des animaux destinés à la boucherie. Ce qui est complètement faux puisque les experts affirment que la viande égorgée selon des rituels religieux représente environ 35% de la consommation de viande au niveau national et quasi 100% en île de france selon la chambre d’agriculture concernée. 

« Or dans le même article de l’express qui vous sert de source, on lit :.... »

Avec un peu de jugeote et d’honnêteté intellectuelle il est facile de comprendre que la source la plus fiable est celle de la chambre du commerce et non pas celle des marchands de ’sommeil« motivés par l’appât du gain. Comme source objective on fait mieux. Entre la totalité et les fameux 2%, le mensonge est tellement gros que je ne m’étonne même pas que vous tombiez dedans. Le motif de votre »aveuglement", je l’ai développé dans l’article : il s’appelle propagande politico-religieuse. Sans autre commentaire.... 

Vous le faites exprès ou c’est inné ? Désolé, je ne suis pas Maître d’école et je ne ne pourrai pas vous faire une explication de texte. En tout cas à voir vos commentaires embrouilés et votre réaction de fanatisé excité, on saisit de suite que dialoguer avec vous serait une perte de temps précieux.

Dans un communiqué repris par Libération et France Soir, l’organisation francilienne des artisans bouchers réclame « que le gouvernement français et le Parlement européen mettent en place un étiquetage obligatoire mentionnant le mode d’abattage afin que les professionnels et les consommateurs ne soient plus victimes d’un système et puissent acheter en toute transparence ». Ce serait la moindre des choses. Mais il ne faut pas se faire d’illusion. Les français attachés au respect du vivant par conviction ancestrale, ou encore attachés au libre choix individuel, cette tradition hérité pour partie du siècle des lumières, ne sont plus maîtres chez eux. Aujourd’hui certaines règles religieuses ont pris l’ascendant sur les lois de la République.