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J-J-R

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  • Premier article le 28/07/2010
  • Modérateur depuis le 06/12/2010
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Derniers commentaires



  • J-J-R 8 mars 2012 13:56

    Monsieur Cabanel voyez par vous même à quel point les questions de la souffrance animale et de la transparence alimentaire dérangent. Si après cela vous pensez qu’il s’agit d’une problématique qui ne relève que de l’idéologie politique alors vous êtes bien conditionné et je crains que vous ne soyez irrécupérable.
    L’article ci-dessous que j’ai repris en parti sur le Point.fr, hier en début d’après midi et qui fait état d’un rapport confidentiel émnant du ministère de l’agriculture a été censuré ( on sans doute, suite à de fortes pressions). L’article a été épuré, les chapitres consacrés à la dérive et la cruelle agonie retirés. Le droit à l’information, le droit de savoir est une valeur fondamentale. Céder aux pressions communautaires est une grave atteinte à l’indivisibilité de notre pays. 

    Un rapport confidentiel que Le Point s’est procuré
    jette une lumière crue sur l’abattage rituel tel qu’il est pratiqué en France. Remis aux autorités en novembre 2011, le document, rédigé par dix experts et hauts fonctionnaires du ministère de l’Agriculture, a été soigneusement enterré. Il est vrai que cet audit de 54 pages émanant du Conseil général de l’alimentation contient une vérité qui n’est pas bonne à dire : les Français ont progressivement, et sans le savoir, été mis au régime halal.

    Aujourd’hui, comme l’indique le rapport, plus de la moitié des bovins, ovins et caprins tués en France le sont suivant un mode d’abattage « rituel », halal ou casher. Ce qui signifie que les animaux sont saignés alors qu’ils sont encore conscients. Pour les moutons, la proportion grimpe à 58 %. Une réalité bien différente des chiffres annoncés par Bruno Le Maire, qui, sur le plateau de France 2, le 20 février, expliquait que seulement 14 % de la viande était concernée par l’abattage rituel. « Pour minimiser le phénomène, le ministre de l’Agriculture a préféré communiquer sur le tonnage de viande plutôt que de décompter le nombre d’animaux abattus de façon rituelle », décrypte le vétérinaire Jean-Pierre Kiefer, président de l’Oaba, l’OEuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs, seule association habilitée par les pouvoirs publics à contrôler in situ les conditions d’abattage.

    En fait, dans l’espace de mise à mort des abattoirs, la fameuse « zone noire », tous les animaux sont saignés vivants. Pour que la viande soit consommable et puisse être conservée, il est indispensable qu’au moment où la bête se vide de son sang le coeur batte encore. D’où la solution trouvée d’étourdir le bétail avant la mise à mort. Cette pratique est obligatoire en France depuis un demi-siècle.

    Lire la suite de l’étude sur le Point traitant de

    1/ La dérive

    2/La cruelle agonie



  • J-J-R 8 mars 2012 13:42

    Monsieur Cabanel j’ai toujours apprécié vos articles très pertinents mais alors là, vous ramez dans la mouise. J’ai une conscience envrionnementale très éguisé tout comme vous, partage votre affinité pour Eva Joly en ce qui concerne son souhait de combattre la corruption. Mais effectivement, je regrette qu’on l’entende bien peu sur les grandes questions écologiques. Vous semblez pourtant perspicace, mais je crains que votre sagacité n’entrevoye pas qu’ EELV n’est pas un vrai parti écologique mais une sucursale du PS et des troskistes.
    Comment peut-on passer indifféremment du Modem à EELV pour faire une carrière politique et avoir une vrai sensibilité à l’écologie ? Ouvrez les yeux, soyez réaliste ?

    Pour un écologiste, vous êtes aveuglé au point de ne pas voir que le débat sur les sacrifices rituels ( Halal et Casher compris sans faire de discrimination entre les deux) pose des questions esssentielles d ’ordre éthique, scientifique, écologique, humaniste, juridique et hygiénique ? Vous pensez que nous devons balayer toutes ces questions d’un geste de mépris ? Et non, les faits ne sont pas si simple, vous le savez pertinemment et vous me comprenez très bien. 



  • J-J-R 7 mars 2012 18:39

    Oui le premier ministre François Fillon a lavé son honneur et défendu l’honneur de notre pays. Il a eu un sursaut de conscience inespéré. 



  • J-J-R 7 mars 2012 13:33

    Un rapport confidentiel que Le Point s’est procuré jette une lumière crue sur l’abattage rituel tel qu’il est pratiqué en France. Remis aux autorités en novembre 2011, le document, rédigé par dix experts et hauts fonctionnaires du ministère de l’Agriculture, a été soigneusement enterré. Il est vrai que cet audit de 54 pages émanant du Conseil général de l’alimentation contient une vérité qui n’est pas bonne à dire : les Français ont progressivement, et sans le savoir, été mis au régime halal.

    Aujourd’hui, comme l’indique le rapport, plus de la moitié des bovins, ovins et caprins tués en France le sont suivant un mode d’abattage « rituel », halal ou casher. Ce qui signifie que les animaux sont saignés alors qu’ils sont encore conscients. Pour les moutons, la proportion grimpe à 58 %. Une réalité bien différente des chiffres annoncés par Bruno Le Maire, qui, sur le plateau de France 2, le 20 février, expliquait que seulement 14 % de la viande était concernée par l’abattage rituel. "Pour minimiser le phénomène, le ministre de l’Agriculture a préféré communiquer sur le tonnage de viande plutôt que de décompter le nombre d’animaux abattus de façon rituelle", décrypte le vétérinaire Jean-Pierre Kiefer, président de l’Oaba, l’OEuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs, seule association habilitée par les pouvoirs publics à contrôler in situ les conditions d’abattage.

    En fait, dans l’espace de mise à mort des abattoirs, la fameuse "zone noire", tous les animaux sont saignés vivants. Pour que la viande soit consommable et puisse être conservée, il est indispensable qu’au moment où la bête se vide de son sang le coeur batte encore. D’où la solution trouvée d’étourdir le bétail avant la mise à mort. Cette pratique est obligatoire en France depuis un demi-siècle.

    Lire la suite de l’étude sur le Point  traitant de

    1/ La dérive

    2/La cruelle agonie



  • J-J-R 5 mars 2012 12:59

    En l’occurence non, car tous les faits étaient connus dès la rédaction du papier, en tout cas bien avant sa reprise en des termes très subjectifs. Que pèse en outre quelques sifflets en marge du salon comparés à l’ovation d’un parterre d’agriculteurs ? 

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