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Jason

Jason

80 ans, retraité. Du temps pour continuer à découvrir le monde. Vie active passée dans le technique, l’enseignement supérieur et l’industrie. Le tout (près de 40 ans) dans deux pays étrangers. Je redécouvre l’Hexagone.
 Sceptique et éclectique j'apprécie ce qui est écrit clairement et me soucie peu des fautes d'orthographe pourvu que la compréhension n'en souffre pas. J'aime l'humour, le badinage, bref une certaine élégance dans l'expression, mais attention aux précieux et aux pédants. Ecrire pour tous reste un exercice difficile.

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  • Premier article le 08/11/2006
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Derniers commentaires



  • Jason Jason 30 octobre 2007 10:18

    @ Frédéric Lyon, vous parlez « d’une avalanche de lieux communs et d’idées à la mode. » Posons-nous la question de savoir d’où viennent ces idées. Quant aux crétins, mon cher Monsieur, comme chacun sait, le crétin c’est l’autre...

    S’il ne s’agissait que d’un mini-état tels qu’Andorre ou de la république X, ce serait amusant, et j’en rirai de bon coeur. Venant d’un état le plus puissant du monde, militairement et financièrement, on peut se permettre de se poser des questions, non ? La force sans vertu mène le plus souvent à la barbarie.



  • Jason Jason 30 octobre 2007 08:13

    Au Péripate, Oui, d’accord avec vous, tout langage est capable de transporter un grand nombre de sens et donner lieu à différents sentiments, de la logique la plus froide à l’émotion la plus exaltée. Cependant, le contexte est essentiel, comme chacun sait. Le « storytelling » dans un discours politique peut paraître déplacé, hors du registre ou des enjeux du discours à but informatif menant à une formation d’opinion de l’auditeur.

    Je crois que c’est ce décalage, ce hiatus entre le contexte du discours (au sens linguistique large) et les moyens rhétoriques pour influencer l’audience qu’il faut analyser. Ce procédé du « storytelling » va connaître ses limites et va mourir d’usure, comme bon nombre d’autres procédés narratifs et figures du langage. Surtout s’il est démasqué, comme c’est le cas ici.



  • Jason Jason 29 octobre 2007 21:10

    L’usage du « storytelling » dans le discours politique est très intéressant car il montre un rapport particulier, étroit, univoque du locuteur à l’audience. Un rapport de force d’abord, celui qui énonce l’histoire est auréolé de l’attribut du diseur de récit, contant à une audience captive, une fable, une scène, une situation qui enserrent l’auditeur dans le cercle de la morale et de l’émotion. Et de cela seulement. Pas question d’analyse logique ni de recours à des faits extrinsèques. Le « storytelling » est le système fermé par excellence et doté d’un code univoque malgré son aspect protéiforme. Comme le souligne excellemment l’auteur de l’article il vise à l’émotion, et à elle seule. Entre "storytelling, langue de bois et discours théatral ou technocratique, où est le juste milieu ?

    Tout cela est très bien vu. Merci pour cet article.

    Cordialement, Jason.

    PS. Zen, vous citez J Gould ; prenez le livre d’enseignement de l’économie de Phelps (prix de la banque de Suède, etc.) il est truffé d’histoires pour les « ânes et les petits enfants ». Tendance US, certainement, où le citoyen lambda est traité comme un « minus habens ».



  • Jason Jason 24 octobre 2007 20:23

    Alors là, c’est vraiment raté. On n’apprend rien. C’est vraiment très, comment dirais-je ? « trash ».



  • Jason Jason 24 octobre 2007 20:15

    Comme je vous comprends, mon pauvre Chryio. Vous avez fait, hélas, le choix de séjourner dans un pays qui, en 7 siècles d’existence est surtout connu pour son fromage, ses pendules à coucou, son chocolat et... ses banques auxquels j’ajouterai une tradition calviniste peu reluisante. Ca laisse des traces. Qu’espérez-vous d’un pays dans lequel le seul vent qui souffle est celui qui ne mène nulle part !

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