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jean-jacques rousseau

Citoyen francais

Tableau de bord

  • Premier article le 19/04/2007
  • Modérateur depuis le 05/10/2010
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Derniers commentaires



  • jean-jacques rousseau 28 juillet 2011 08:19

    Vous oubliez la clé de voûte des combines : la nomination de Peyrol président des caisses d’épargne et banque populaire et la privatisation de la Poste. Suivez l’argent... 



  • jean-jacques rousseau 20 juillet 2011 11:24

    Cet article décevant relève de la fraude intellectuelle. 

    Lorsqu’on pose le terme « systémique » dans un titre on s’impose une certaine démarche intellectuelle : celle d’étudier des processus et leur interdépendance.
    L’entête porte l’indication :«  Les origines et mécanismes de la plus grande crise à venir expliqués simplement » On s’imagine déjà une analyse globale des origines et des mécanismes... qui ne vient jamais. 

    Le premier paragraphe pose d’abord le postulat suivant. (suivant une démarche clairement « dogmatique » ou « idéologique ») : « La crise de la Grèce et de l’euro en général est lié a un simple fait : les Etats empruntent plus d’argent qu’ils n’en génèrent. » 
    Alors là on mélange tout. Rien a voir avec une analyse rationnelle qui distinguerait des acteurs, des objectifs, des moyens d’action, des coûts et résultats. En fait il nous faut relire le subtil « expliqués simplement » pour comprendre que l’auteur par son texte veut nous faire « une explication simple » voir même « simpliste à l’adresse des imbéciles ».
    Peut importe passons au « Fait » d’écrit et abrégé : « les Etats empruntent plus d’argent qu’ils n’en génèrent. » Premièrement rien n’est donné comme exemple, comme chiffre, comme référence pour appuyer une telle affirmation. Et si c’était le contraire ? Si l’on soutenait que : « Les Etats génèrent plus d’argent que ne peut absorber l’économie réelle » ? Et que l’on désignait ce fait pour expliquer l’origine des capitaux flottants et de la crise ? Oui meme dans ce cas cette méthode à la mode dogmatique de bombarder des postulats ; sans précision, sans démarche critique, sans démonstration, reste hautement déplaisante et rappelle trop les scolastiques de la Sorbonne.
    Et puis ce fait lui-méme en admettant par pur principe qu’il fasse unanimité : «  les Etats empruntent plus d’argent qu’ils n’en génèrent. » Comment est-il -lui-même- expliqué ? Qu’elle est son origine, les causes et circonstances qui ont conduit à une telle occurrence ? Silence radio. Parle-ton de l’évasion fiscale, des agences et opérations financières qui ont permis le recyclage des sommes frauduleuses ? Parle-ton de l’assouplissement du contrôle des changes qui ferme les yeux sur la fuite des capitaux industriels vers la spéculation financières ? Évoque t’on l’impact désastreux du processus de dérogation fiscale qui assèche les recettes des Etats sans jamais répondre aux attentes d’investissements, de redistribution en salaires qui en font pourtant la justification théorique ? Le dispositif inventé par quelques maniaques de « financement-spéculation » sur la dette d’Etat par le biais des obligations du Trésor plutôt qu’un simple ajustement de la fiscalité pour équilibrer le budget ?

    Bref amusons-nous un peu ! « les Etats empruntent plus d’argent qu’ils n’en génèrent. » Peut-être. Donc cela veut dire que les Etats sont gourmands en Passifs, ils aiment demander de l’argent à tout le monde, contribuables, opérateurs financiers, etc... et ils doivent avoir quelque part une caverne d’Ali Baba ou stocker toutes ces finances... Non il n’y a pas de Caverne ni de « sésame ouvre-toi » ? Le Tresor public est vide ? Au miracle !!! Tout l’argent emprunté c’est envolé, parti, gaspillé au quatre vents ? Et il en faudrait plus a distribuer au uns et aux autres ? Eh n’est ce pas formidable ?! « L’Etat génére et distribue plus d’argent qu’il n’en dispose réellement ». Oups ! on vient de dire le contraire de ce qu’on affirmait tout à l’heure... 
     
    Bref vous ne cachez plus votre intention « Il faudrait une organisme similaire, plus puissant, et qui puisse prendre des décisions pour le bien de la population mondiale plutôt que sous la pression des profits de tel ou tel Etat ou entreprise » 
    Ce qui revelle votre appartenance à la mouvance ultra libérale qui a organisé la crise des finances publiques selon le fameux slogan « starve the beast » au nom de la liberté et au nom de la science et de l’efficacité vous voulez nous imposer « un Empire mondial » ?
    Bonjour le mégalo irresponsable...

    Je ne parle meme pas de Bruxman qui apporte de l’eau a votre moulin branlant : « Le système capitaliste n’implosera pas. Au contraire, cette affaire va renforcer le dogme libéral vu qu’au final la crise sera causé par la faillite des états. Cela sera donc une faillite de l’ultrakeynésianisme et sera probablement vu comme tel. » 
    Vous faites bien la paire tout les deux. Pourquoi ne pas monter un think-tank, ah c’est déja fait ? vous avez le meme employeur ? Ah tres bien donc j’ai rien dit... 


  • jean-jacques rousseau 28 juin 2011 12:54

    Il semble que ceux qui voulaient calomnier Voltaire, ont utilisé Beaumarchais. En effet, c’est Beaumarchais, qui fait dire par Basile, dans le Barbier de Séville : « Calomnions, calomnions, il en restera toujours quelque chose. »

    Remarquons que Jean-Baptiste Rousseau avait, avant Beaumarchais, versifié la même pensée. Voici comment s’exprime le poète dans sa première épître  :
    «  Messieurs, disait un fameux délateur
    Aux courtisans de Philippe, son maître :
    Quelque grossier qu’un mensonge puisse être,
    Ne craignez rien, calomniez toujours.
    Quand l’accusé confondrait vos discours,
    La plaie est faite ; et, quoiqu’il en guérisse,
    On en verra du moins la cicatrice. » 
    L’origine première semble être ce proverbe latin médiéval cité par Francis Bacon dans : De dignitate et augmentis scientiarum, VIII, 2 : «  Audaciter calomniare semper aliquid haeret » (Calomniez audacieusement, il en restera toujours quelque chose.)


  • jean-jacques rousseau 28 avril 2011 15:37

    Pas du tout. Il n’y a pas lieu de démontrer une corrélation entre prix du pétrole et chomage. Pour qu’il y ait chomage, il faut une baisse de l’activité économique ou de fort gain de productivité. La montée du prix du pétrole ne peut provoquer le chômage que si les devises pour l’acheter ne sont pas compensées par l’exportation et donc la rentrée de devises équivalente. Il y aurait donc, dans ce cas, constriction de la masse monétaire et reduction du volume des échanges. Au contraire la montée du prix de l’énergie n’est pas en soi un frein à l’emploi si la demande est constante et la balance commerciale stable car n’implicant pas de réduction d’activité par diminution de masse monétaire. 

    Par contre les gains de productivité, et toute la notion empirique et la construction de modele autour de ce concept-valise poussent à la reduction de l’emploi (sinon le gain de productivité est impossible puisque p=valeur de la production/quantité de travail utilisé). Il faut produire autant voir d’avantage mais avec moins de travail et aussi moins de salaires distribué.
    Si on suit la logique de Trichet il faudrait moins de salaires distribué, cad autant sinon plus de production (vive la croissance !) avec moins de travailleurs ou autant mais moins payés... 
    Le hic justement c’est que cette course à la « productivité » c’est elle qui entraîne le chômage. Mais avec elle la crise déflationniste puisque moins de demande solvable du fait du déficit de la redistribution salariale et fiscale, moins de circulation monétaire ’utile’ (celle qui lubrifie les frictions entre offre et demande de l’économie réelle) donc baisse du volume des échanges et interruption du cycle de production. 
    C’est aussi ce cycle pervers déflationniste que Trichet entretient et qu’il faut dénoncer comme étant le coeur de la crise économique et financière des Etats occidentaux.. Le texte n’entre pas dans ce sujet macro-économique c’est dommage ! Mais je comprends, quand on veut parler de la dernière bêtise de Trichet on ouvre une mine de type Potosi.
     


  • jean-jacques rousseau 26 avril 2011 09:14

    La transcendance elle est dans l’aspiration du peuple libyen à la liberté et la dignité. Si vous le soutenez dans la lutte, vous soutenez aussi sa cause.

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