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jfortains

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  • jfortains 1er février 2015 01:07

    En effet...



  • jfortains 10 juin 2014 15:11

    @George

    Vous n’êtes pas encore tout à fait un véritable auteur, car vous dérangez la lecture par vos fautes nombreuses et diverses : orthographe, ponctuation, grammaire, et ce truc plus fort que vous, comme chez beaucoup de nos contemporains, ce syndrome de Coluche qui vous pousse à truffer votre prose d’expression vulgaires tournant autour des latrines, de peur, sans doute, d’avoir l’air prétentieux si vous ne daignez pas vous montrer près du caniveau...

    Alors, en généreux mécène de la langue française, je vous donne quelques tuyaux :

    Tout d’abord, l’adjectif qualificatif, en français, ne s’accorde avec le sujet que depuis le XVIIe siècle. Mais, malgré cette mutation grammaticale, un certain nombre d’expressions sont restées inchangées, car elles étaient consacrées par un usage fréquent : c’est le cas de la grand messe, ou de la grand mère. Dans un deuxième temps, pour éviter à la grammaire une apparente incohérence, ces expressions se sont vues affubler d’un trait d’union, rendant cohérent l’absence d’accord de l’adjectif, qui prend alors comme une forme de préfixe, d’où l’orthographe moderne : grand-mère, grand-messe. Vous pouviez donc écrire soit grands-messes, c’est admis mais c’est pourtant une nouvelle incohérence, ou de préférence grand-messes qui conforte la valeur de préfixe. En tout cas, votre grandes messes est du plus mauvais effet, car il dénature la langue et constitue une marque d’ignorance, sans compter la laideur phonétique qu’il engendre en sus : [grämes] est beaucoup plus esthétique que [grädmes], la dureté [dm] étant du plus mauvais effet.

    Bon, finalement, je m’arrêterai là dans le mécénat, car si je dis tout ce qui ne vas pas dans votre prose, il va me falloir cinq pages d’explications. Tâchez quand même, à l’avenir, de faire un effort, George ! 

    Quant au fond, c’est beaucoup mieux que la forme, car là je suis plutôt d’accord avec vous, j’ai donc bien envier de vous « plusser »... mais ce n’est pas français, dommage !



  • jfortains 6 juin 2014 13:49

    Quelques points d’accord et quelques objections :


    D’abord, je réfute l’hypocrite qualification de « travailleur du sexe », formule magique moderne qui vise à escamoter le problème moral de la prostitution, raisonnement à la Pierre Bergé, ce vieillard évaporé, introverti et lunatique, qui ne voit pas de différence entre prêter ses bras à l’industrie pour fabriquer une voiture ou prêter son ventre à l’illusion sodomite pour lui « fabriquer » un enfant : Non, la prostitution n’est pas un travail, et c’est précisément pour cela qu’elle est réprouvée.

    Maintenant, il ne s’agit pas pour autant de ne pas traiter humainement la prostituée. Ainsi que son client d’ailleurs : Sur ce point, je vous rejoins pour dire que ce qu’il est légitime d’abolir, ce n’est pas la prostitution, car elle ne peut être abolie, sauf à changer la nature humaine, mais le proxénétisme : Le voilà, le chaînon hideux et parasite entre la prostituée et son client, et s’il disparaissait, il y aurait aussitôt beaucoup moins de prostitution, puisqu’il n’y aurait plus, comme prostituées, que celles qui veulent d’elles-mêmes s’adonner à cette occupation, tandis que toutes celles qui n’y vont que forcées disparaîtraient aussitôt du circuit.

    Dans cette affaire, la pénalisation du client est un point de vue très choquant, qui procède du même esprit contemporain qui trouve toutes les excuses aux voyous, et aucune à leurs victimes, que la justice laisse exposées aux représailles des clans mafieux quand elles ont eu le malheur de porter plainte : 
    Le client n’est nullement responsable de la présence de la prostituée sur le trottoir, et s’il se laisse tenter par cette illusion de relation amoureuse (car cela n’en a que l’apparence) c’est qu’il a peut-être, lui aussi, quelque lourd problème affectif qui l’a mené là où il en est : Pourquoi dans ce cas pardonner à la prostituée lorsque c’est elle qui crée la tentation ? Dans cette situation, la prostituée qui s’offre sur son trottoir est évidemment plus coupable que son client. Le client, lui, n’est coupable que s’il tente à la prostitution une femme qui ne s’y adonne pas, en lui proposant une relation tarifée qu’elle ne lui demande pas : Ce client-là, oui, est coupable, car il cherche à corrompre une femme innocente.

    Quoi qu’il en soit, l’idée qu’une loi puisse « abolir » la prostitution est une stupidité d’autruche, qui revient à croire qu’il suffirait de casser le thermomètre pour ne plus avoir de température. 
    La seule voie pragmatique, dont on sait qu’elle aura une efficacité, est la lutte implacable contre le proxénétisme en aggravant les peines punissant ce crime : la disparition de ce « métier » greffé sur celui de la prostituée diviserait au moins par 3 le nombre de prostituées, ce qui revient à dire qu’elle sauverait 2 prostituées sur 3. Le reste n’est que balivernes...


  • jfortains 31 mai 2014 21:44

    C’est vrai, au fait, d’où sort tout à coup ce diktat de redessiner les régions ?



  • jfortains 15 mai 2014 15:09

    Allez hop là ! L’Ecole coranique amalgamée avec les frères des écoles chrétiennes ! Mais les vigilants gardiens du web ne reculent devant aucun sacrifice pour arrêter leurs ennemis, pas vrai ?

    Dis-moi, ami « perplexe », tu dois avoir un peu chaud : Tu ne veux pas que je t’ouvre la fenêtre ?
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