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lunatique

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  • Premier article le 05/08/2021
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Derniers commentaires



  • lunatique 19 septembre 2021 07:53

    Contrairement à ce qu’à dit un toubib sur Cnews, que la décrue de la maladie et les injections soient (un peu) concomitantes n’est pas une preuve de causalité qui montrerait l’efficacité des vaccins.

    A preuve les chiffres ci-dessous :

    Quel rapport avec la vaccination ?

    Source le dauphiné.

    Après une flambée cet été au Maghreb, l’heure est à la décrue

    Finies les images terribles d’hôpitaux débordés de malades du Covid-19. Après une flambée de cas pendant l’été dans tout le Maghreb, l’heure est à la décrue.

    En Tunisie

    Le pic des contaminations s’est produit entre le 7 et 13 juillet avec plus de 55 000 cas, contre sept fois moins aujourd’hui. Les décès sont également en forte baisse avec 342 morts sur la semaine écoulée, cinq fois moins qu’au pic (1 451 morts, du 24 au 30 juillet).

    Plus d’un quart (26,1%) des 12 millions de Tunisiens a actuellement un schéma vaccinal complet (deux doses de vaccins et un délai de quelques semaines après la seconde injection).

    Au Maroc

    Le Maroc, qui déplore près de 13 800 morts du Covid, est le pays du Maghreb le plus avancé dans la vaccination, avec près de la moitié de parcours vaccinaux complets (46,7%).

    Le royaume a connu un record de contaminations début août avec près de 70 000 nouveaux cas, un nombre hebdomadaire divisé par quatre au 16 septembre. Même tendance pour les décès avec 405 morts ces sept derniers jours, près de la moitié des 775 enregistrés lors du pic (du 16 au 22 août).

    En Algérie

    Au 16 septembre, 13,3% des près de 44 millions d’Algériens avaient reçu au moins une première dose mais seulement 9,5% disposent d’un schéma complet.

    Le record hebdomadaire de contaminations a été atteint du 24 au 30 juillet (10 626 nouveaux cas) et pour les décès, entre le 31 juillet et le 6 août avec 268 morts. Au 16 septembre, la décrue était nette avec six fois moins de cas sur 7 jours, et deux fois moins de décès (132).

    En Libye

    Avec près de 7 millions d’habitants, la Libye a connu aussi un net ralentissement de l’épidémie après un pic dans la semaine du 25 au 31 juillet marqué par 24 000 nouveaux cas et 204 décès. Sur les sept derniers jours, le pays a enregistré trois fois moins de nouvelles contagions, et plus de deux fois moins de décès (83). 

    A ce jour, 18,4% des Libyens ont reçu au moins une dose mais seulement 2,1% ont complété leur schéma vaccinal, en raison de retards dus à un rythme irrégulier des importations des vaccins chinois Sinovac et russe Sputnik.



  • lunatique 18 septembre 2021 18:56

    @Mélusine ou la Robe de Saphir.
    D’où vous tenez ça ?



  • lunatique 12 septembre 2021 13:56

    @titi
    Je voulais dire « techniquement » : si le billet sncf intercité et le billet sncf TER région ne peuvent plus être sur la carte voyageur, c’est pour qu’il soit facile de remplacer la SNCF par une nouvelle compagnie. Quant au niveau de service « en dessous de tout », je pratique les voyages en train depuis longtemps et je ne vois pas exactement ce que vous voulez dire.
    Quant à l’ouverture magique à la concurrence, certaines campagnes attendent encore une bonne qualité de téléphonie mobile ou d’internet.



  • lunatique 11 septembre 2021 13:32

    J’avais publié ce texte (un peu long pour un commentaire) sur un blog.

    Je crois qu’il a sa place ici.

    A la fin, c’est quand même assez cocasse.

    Je prends très régulièrement la ligne POLT, c’est à dire Paris - Orléans - Limoges - Toulouse. Une grande ligne Nord Sud qui entrait en Espagne par Portbou. Je dis « entrait » car aujourd’hui cette ligne bien longue s’arrête à Brive, quelques fois à Cahors, depuis que l’on rejoint Toulouse par la ligne TGV de Bordeaux.

    Cette ligne était devenue tellement secondaire que la SNCF l’avait pratiquement laissée à l’abandon. Il a fallu l’accident de Brétigny-sur-Orge dans l’Essonne, le12 juillet 2013 qui fit 7 morts et plusieurs blessés pour que des travaux d’envergure soient lancés.

    Longtemps la ligne a affiché des retards dus à sa vétusté, et à celle des trains, puis à cause des travaux. Mais depuis quelques temps les choses s’étaient améliorées.

    Cette ligne, comme sans doute toutes les lignes, fait circuler des « Intercités » et des « TER ». Les Intercités sont les trains de la SNCF et les TER sont des trains gérés par la SNCF pour le compte des régions.

    Les Intercités s’arrêtent dans les gares les plus importantes, et quelques fois dans les petites gares. Mais les dessertes des petites gares étant plus rares on peut les rejoindre en s’arrêtant à la grande gare précédente et en empruntant un TER qui, lui, fait l’omnibus. Pour mon compte, je m’arrête à Châteauroux et prend le TER qui suit et qui m’amène à Argenton-sur-Creuse.

    Je prends mon billet sur le site de la SNCF qui propose les voyages Intercités plus TER. Mon billet est enregistré sur ma carte voyageur. Jusque là, aucun souci. Mais à mon avant dernier voyage, au moment de montrer ma carte à la contrôleuse du TER pour la dernière partie du parcours, j’apprends que le billet TER n’est plus sur la carte voyageur, car ce ne sont plus les mêmes sociétés. Bien entendu la contrôleuse a la tenue de la SNCF, puisque c’est la SNCF qui opère pour le compte des régions. Elle semble désapprouver cette nouvelle organisation mais m’explique que je dois imprimer mon billet TER à part.

    Mais le plus invraisemblable s’est produit au voyage suivant. J’avais pris cette fois-ci un Intercité qui faisait l’arrêt d’ Argenton-sur-creuse et dont le terminus était Brive-la-Gaillarde. Nous étions partis avec quelques minutes de retard, mais tout se passait bien, or voilà qu’en pleine Champagne berrichonne, nous heurtons un sanglier. Le train s’arrête, le mécanicien regarde les dégâts, puis on nous annonce que l’on va à marche réduite jusqu’à Châteauroux. Là, arrêt prolongé sans que les techniciens puissent dire si l’on pourra repartir ou pas.

    Un TER est annoncé qui vient d’Orléans et qui desservira toutes les gares jusqu’à Limoges. Le chef de bord de l’Intercité invite donc les passagers à emprunter ce TER qui les mènera au moins jusqu’à Limoges, qui est certainement le terminus de plus de la moité des voyageurs. Joyeusement les naufragés du rail montent dans la chaloupe, elle est pleine à craquer, mais semble prête à convoyer tout ce beau monde. Hésitations, allers et venues des uniformes, on sent que quelque chose grippe. Et on redemande aux gens de regagner le train d’origine, leurs correspondances ne pouvant, soi-disant, pas être assurées si ils arrivent par le TER. Je rappelle pour plus de précision, qu’on ne sait pas si l’Intercité va pouvoir repartir. En prenant le TER, les Limougeauds étaient sûrs d’être chez eux une heure et quart plus tard. En fait, ce dont se sont aperçus les responsables du premier train, c’est qu’il mettait sur le réseau régional une centaine, peut-être plus, de voyageurs sans billet, puisque le billet Intercité permettant de se rendre à Limoges n’était pas valide sur le réseau des régions.

    En ce qui me concerne, je restai dans le TER, la gare d’Argenton n’étant qu’à vingt minutes de celle de Châteauroux. Bien m’en prit, car arrivés à Argenton nous avons appris que l’autre train était toujours à Châteauroux et aucun contrôleur ne s’est avisé de demander les billets.

    Pourquoi cet incroyable imbroglio, cet incroyable non sens ? A cause simplement de l’ouverture à la concurrence. Il faut que dès que celle-ci sera en vigueur les régions puissent faire intervenir d’autres prestataires. La chose est amusante, quand on pense que la décision de faire rouler un train Orléans-Limoges devra être prise de concert par les édiles d’Orléans et ceux de Bordeaux, car deux régions sont impliquées. A moins qu’un accord fasse que des trains affrétés par la région Centre aillent jusqu’à Limoges avec une compagnie et ceux affrétés par la région Nouvelle Aquitaine aillent jusqu’à Orléans sous une autre bannière.

    De toutes les manières, l’opérateur SNCF-région doit se distinguer de la Société Nationale des Chemins de Fer pour pouvoir facilement être remplacé.

    Voilà donc la dislocation d’un système qui ne marchait pas si mal. Et ce n’est pas la privatisation anglaise, ni la privatisation allemande qui ont démontré une amélioration substantielle par rapport au service public.

    Non, il s’agit seulement de donner au capital en manque de placements des possibilités de rendement financier. Que le système public disparaisse pour offrir au capital des affaires qu’il n’est plus capable de créer lui-même. C’est juste du dépeçage.



  • lunatique 9 septembre 2021 16:39

    @Francis, agnotologue
    Je ne suis pas sûr que « très joli » soit un véritable compliment. Ce que faisait Bébel (puisque Bébel il y a) pouvait aussi passer de certaine manière pour « très joli ».

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