@Lampion Attention, attention, « La volonté de puissance »n’est pas un livre de Nietzsche, mais une oeuvre machiavélique de sa soeur qui a pris des textes du grand Friedrich (certains non publiés et encore à l’état de brouillon) et les a assemblés, coupés, triturés de façon à en faire un livre pour complaire à celui à qui elle a eu l’audace d’offrir la canne de son frère : Adolf !
Quelle écriture ce Rakotoarison ! La question de mon titre mérite d’être abordée écrit-il. Je crois que si elle ne méritait pas d’être abordée, il n’aurait pas fallu en faire un titre. Cette figure de style est très étonnante. Le rédacteur qui dit qu’il a bien raison d’écrire ce qu’il écrit.
Ça fait penser au fameux : « quand on voit ce qu’on voit, quand on sait ce qu’on sait on a bien raison de penser ce qu’on pense ».
Introduction de dissertation qui indisposerait n’importe quel correcteur.
Je ne lis pas plus loin. Trop d’incompétence me font douter du contenu possible.
Pas ce temps à perdre.
Mais forcément, quand on pratique l’écriture au « maître », on ne peut pas toujours être très fin ni dans le fond, ni dans la forme.
En 2012, le collectif audio visuel Synaps faisait un film puissant : Mouton 2.0 La puce à l’oreille
sur, entre autre, la résistance de certains éleveurs de moutons à
l’obligation de « pucer » leurs animaux. Le film débute par un carton
sur lequel on peut lire : demain commence aujourd’hui.
Ce film, très critique, donne cependant tous les arguments du pouvoir
en faveur de ce puçage et fait comprendre, ce qui a été évidemment
accueilli avec ironie et force objurgations, que du mouton à l’homme, le
chemin pourrait être court et la distance rapidement franchie. C’était
il y a neuf ans.
Ce film peut être diffusé gratuitement et est magnifique d’actualité aujourd’hui.