Et si c’était aussi la marque de l’infantilisme de ces grands « capitaines » qui n’ont aucun sens des responsabilités et qui crient : « maman je veux que tu me les achètes » quand ils sont devant l’étal de chewing gum avant la caisse.
C’est vers 7 ans environ que l’on considère qu’un enfant abandonne l’idée de toute puissance...
Mais pour faire passer la pilule, les présentateurs de la deuxième chaîne publique, que ce soit pour le premier vol ou le deuxième trouve toujours une caution « scientifique ».
Ces guignoleries feraient toujours « avancer » la science.
On comprends mieux ce qu’est devenu la science en question comme nouvelle opium du peuple. Et les conséquences que l’on subit quand on aurait besoin d’un discours scientifique sérieux.
Démonstration d’un mensonge d’état par monsieur Véran car voici ce que dit l’organisme qui a mené cette enquête (p 6 du rapport). J’ai surligné la conclusion qui vaut son pesant. Monsieur Véran n’a pas du tout lire.
A priori, les décisions de se faire tester ne sont pas de même nature
lorsque les personnes sont vaccinées ou non.
En particulier, la mise en place du pass sanitaire devrait conduire
des personnes non vaccinées
(en grande majorité non
symptomatiques) à se faire tester pour des motifs non sanitaires (trajets,
loisirs, etc.), alors que les personnes complètement
vaccinées ne sont pas dans ce cas. Ainsi, un surcroît de résultats négatifs
pour leres patients non- vaccinés
devrait, toutes choses égales par ailleurs, abaisser le taux de positivité (TP)
sur cette population, via un effet qui n’existe pas pour les vaccinés (qui se font tester, a priori, uniquement
pour des raisons
sanitaires).
De fait, la part des personnes ayant reçu au moins une
dose de vaccins dans l’ensemble des tests est de 35 % (respectivement 19 % pour les complètement vaccinés) du 28 juin
au 4 juillet alors qu’ils représentent 51 % de la population (respectivement 32
%). Les non vaccinés sont donc bien surreprésentées parmi les personnes faisant
un test (qu’il soit positif ou négatif).
S’il existe, ce biais affectant la comparaison du TP
des non-vaccinés à celui des vaccinés devrait être atténué en passant de l’ensemble des testés à celui
des seuls symptomatiques. Dans les faits, Ie TP des non-vaccinés est 3,9 fois plus élevé que celui des
complètement vaccinés pour l’ensemble des patients, et ce rapport est en effet augmenté
- mais seulement un peu augmenté - à 4,5 fois sur le
seul champ des symptomatiques.
Pour autant, il est
également possible que les personnes vaccinées, moins inquiètes que les autres,
se fassent moins tester et ce,
même en présence de symptômes. Ceci pourrait expliquer que parmi les personnes
vaccinées qui se font tester, la
proportion de symptomatiques n’est pas plus élevée que parmi l’ensemble des
personnes qui se font tester.
Tous
ces facteurs affectant les résultats agrégés montrent bien qu’il n’est pas
possible d’estimer précisément l’efficacité
vaccinale via de simples statistiques descriptives. Les estimations
d’efficacité vaccinale produites par Santé
publique France sur les cas de
Covid-19 apportent à coup sûr des réponses
plus précises sur ce point.
@Lugsama Je suis passé par quelques entreprises privées, et j’ai vu dans un atelier où l’on faisait fonctionner des gros moteurs (type bateau ou train) pour validation qu’on avait mis un type tout seul dans une cellule, tellement on ne savait pas quoi faire de lui — on appelait cellule les cabines plus ou moins insonorisées dans lesquelles tournaient les moteurs — où on lui demandait de faire des expériences dont on ne se souciait jamais de connaître les résultats. Dans cette entreprise des compagnons reconnus pour leur compétence ne remplissait pas certain soir complètement le carnet des tâches effectuées. Si la journée avait été efficace, productive, ils mettaient des noisettes de côté au cas où le lendemain ils traineraient un peu. Et dans cette entreprise, ça perruquait à mort. Une autre entreprise qui produisait du matériel culinaire avec une grosse vente aux camelots de matériel de deuxième choix produisait du cash comme une imprimerie de la banque de France. Se servaient : le patron pour avoir des fonds de tiroir pour rincer qui devait l’être, le responsable (col blanc) de l’expédition qui s’est bâti une petite fortune, et les employés placés au bon endroit qui trichaient sur le poids en échange d’un bakchich des camelots. Une entreprise du bâtiment, où l’un des directeurs de chantier sortait tôles, sable, ciment, parpaings, tines de peinture par demi-wagon. Et tout ça dans une productivité jamais remise en cause, ah, l’efficacité du privé avec des adeptes des circuits courts...