@Michel DROUET Ben justement, les Antilles, regardez les courbes de Covidtracker, elles sont à la baisse aussi rapide qu’elles ont été à la hausse. Que ce soit mortalité ou contaminations et pourtant ce matin, au lieu de dire, ouf, on respire, le pire a été évité aux Antilles, Attal dit que la situation « reste extrêmement inquiétante » ! Ben oui, il ne faudrait surtout pas s’en sortir sans les vaccins, le château de cartes s’écroulerait ! Mystification incroyable, propagande éhontée !
Les Antilles, parlons-en (d’ailleurs les média dominants n’en parlent plus, ça ne va pas dans le sens de leur doxa) en observant les faits. La maladie variant Delta qui était, à la lecture des chiffres de mortalité ou de contamination montée en flèche s’écroule avec autant de radicalité. Et bien évidemment, les vaccins imposés ou l’arrivée des super docteurs n’ont pas eu le temps de faire quoi que ce soit. Ce qui est étrange, c’est que la courbe du variant Delta s’étale habituellement dans le long temps. Trois mois entre la montée, l’acmé et la descente. Ici tout est plié en deux fois trois semaines. Mais me direz vous, c’est grâce au confinement ! C’est bien la première fois qu’un confinement a cette efficacité.
Décochez l’onglet France et cochez les onglets Gadeloupe et Martinique d’abord rubrique « Décès hospitaliers », puis « taux d’incidence » et vous verrez les courbes en chute libre. Et ce qui est vrai pour les Antilles, l’est pour l’ensemble Drom-com.
Oulala Rokotoarison, tu exagères : tout en préparant l’avenir pour que les urgences d’aujourd’hui ne soient plus des urgences de demain.
Si les urgences d’aujourd’hui sont encore des urgences demain, c’est qu’aujourd’hui ce ne sont pas des urgences.
Si je dois freiner en urgence et que je ne le fais pas, je ne le ferai pas demain, il y aura des morts...
Si je vais aux urgences de l’hôpital et que je ne suis pas soigné, l’urgence du lendemain sera de préparer mes obsèques.
Si au travail, je ne rends pas ce dossier urgent et que rien ne se passe d’embêtant puisqu’il reste tranquillement urgent (oh, l’oxymore !) jusqu’à la fin des temps, c’est qu’il n’est pas urgent, mais éternel.
Tu es un vrai marrant dans tes argumentations.
Je prends les plus légères, parce que pour certaines autres, tu fais dans le lourd, le lourdaud même.
A l’occasion, j’y reviendrai, comme cette proposition que tu fais de choisir le président en fonction de celui qui dit : c’est moi qui ai la plus grosse !
Vraiment, tu es le boss !
PS : Je sais, j’ai menti, j’ai dit que je ne lisais pas... Mais en vrai je n’ai pas lu, j’ai parcouru, et ça s’est mis à clignoter de partout...
Bon, comme d’habitude, je ne lis pas, la première ligne suffit, impayable (encore que ça dépend par qui) Rokotoarison, toujours la plume alerte et référence à des penseurs : « C’est quand votre ligne est la plus droite que l’adversaire vous attend au tournant. » (Robert Sabatier, 1991).
Vous manquer d’audace mon cher, n’aurait-il pas mieux valu le dantesque : « Notre route est droite, mais la pente est forte » (du magnifique Jean Pierre Raffarin, 2002) !
Dont vous êtes une sorte de cousin.
Osez, foutre Dieu, osez, et vous nous impressionnerez.
@Spartacus Lequidam Ah, ma réponse est bien tardive. Oui, je sais bien, l’Etat, ce n’est pas nous, puisque vous vous souvenez « l’Etat, c’est moi » ! Et alors vous dites bien qu’aujourd’hui, en France, les moyens de production, de distribution et d’échange sont détenus par l’Etat ? L’Etat vient au secours de ce qui a été privatisé, certes, mais n’en prend pas le contrôle. Distribution ? Amazon est bien entendu un société étatique, ainsi que pour les échanges d’informations le sont aussi Alphabet et consorts... Vous ne pouvez pas vous empêcher d’employer le mot « imbéciles » qui qualifie les autres. J’essaie de vous répondre intelligemment, c’est à dire en croyant en mon et votre intelligence. Bien entendu, nous ne sommes pas en pays socialiste dont vous donnez vous-même quelques règles, mais nous ne sommes pas non plus, je vous l’accorde dans ce capitalisme dont on nous fait croire que c’est un monde ouvert comme le défend Karl Popper. Sauf si l’on admet qu’il y a quelque chose de naturel à s’emparer de tous les pouvoirs dès qu’on atteint une certaine puissance économique de façon à durer quand cette puissance économique, justement, devient défaillante, au lieu d’être remplacer comme le défendent certains capitalistes par meilleur.