@titi On peut très bien garder par affection un prénom du pays d’origine qui peut en plus être le prénom d’un grand père ou d’une grand mère sans que ça nuise à une quelconque intégration. C’est curieux ça de demander ce genre de chose, demander aux gens d’abandonner tout souvenir de leurs origines pour prouver qu’ils sont bien intégrés, non mais quel est le rapport ? Et ça au nom de la valeur et de la force de l’identité ! Bien joué ! Il est vrai que c’est une position des Chinois qui ont une sorte de fable qui dit que quand on a traversé, on brûle l’embarcation, il n’y a pas de retour. Et grâce effectivement aux enfants chinoises de France, on a un retour des Sylvie, Cécile, Michel bien inusités par ailleurs. Mais, puisqu’il faut soupçonner, ne serait-ce pas une façon retorse de se fondre pour mieux submerger le peuple d’accueil ? (Coluche : l’omelette, les blancs, les jaunes, tu mélanges, qu’est-ce qui reste ?) Doivent-ils de surcroit s’appeler Yan, s’ils s’installent en Bretagne, Katel en Alsace, Fanny ou Marius à Marseille, Bixente en Pays Basque et George en Berry ?
@Mélusine ou la Robe de Saphir. Pour ce qui est des numéros, il faut lire Armand Gatti qui se désigne*, suivant ses différents parcours d’auteur par des matricules : 272 dép 13 poste de travail aux lampes du centaure, triton 17 du club des jeunes nageurs de Monaco, woopsie 122 l’américain, 771/088/A de l’état civil, parachutiste 4734, 00 l’anarchiste, 9001 coq, cinéaste à la Havane... * La parole errante
@Clocel Donner une élévation... La spiritualité peut-être, la religion ? pas sûr. La religion est plutôt une forme d’encasernement de la spiritualité. Là où le combattant devient soldat. L’inspiration vient du haut, jamais du bas... ??? Et de quel « haut » s’agit-il ? Du ciel ou est le père ? Du jour qui se lève ? Aucune inspiration au soleil couchant ? Le monde de la spiritualité comme celui du travail appartient donc à ceux qui se lèvent tôt !
@pipiou2 Amalgame, quand tu nous tient ! Non, tout n’est pas équivalent et qui vole un oeuf ne vole pas un boeuf ! Sauf dans une moraline de propriétaire anxieux. Et Bref, il vaut mieux une sorte de décohérence qui réduit les virtualités à une action ! Et enfin, je ne crois pas que le baffeur voulait débattre (peut-être se souvient-il justement d’un « grand débat » totalement instrumentalisé par le baffé), il voulait seulement sans doute exprimer sa colère...