@Hervé Hum Et c’est vous l’idiot utile du monde de Koudenhove-Kalergi, le bac à sable consumériste mondialisé des métis indiférenciés libidineux chers au libéralisme, c’est vous qui détruisez l’état, c’est vous qui purinez les collectifs, c’est vous qui défendez l’UE, le mondialisme, le sans-frontièrisme. Et Koudenhove Kalergi le montre bien. Le monde de l’oligarchie capitaliste mondiale c’est vous qui le préparez. Et les faits actuels sont là pour le prouver. L’individu est dorénavant seul devant le Capital, car le gôôôchiste a faire son oeuvre de purinement libéral-libertaire. I
@Hervé Hum Je décris le martxisme, je n’ai jamais dit que j’étais « marxiste » .... je réponds car vous me demandez maintenant mon opinion, qui n’a rien à voir avec l’article ..., j’aime dans MArx sa critique de la philosophie de Hegel, sa phénoménologie infrastructure _ structure - superstructure, sa critique de l’aliénation du fétichisme de l’argent etc ...
ce qu’on appelle le transhumanisme.
Le transhumanisme n’existe pas encore. Mais il apparaît clairement comme une téléologie, qui peut être multi-forme.
Sauf que cet homme supérieur, ce surhomme comme il paraît que Nietzsche
parle, se fout totalement des peuples et de leur cultures, car tout est
centré sur sa personne à lui.
Oui Nietzsche est LE théoricien du libéralisme. Par contre la culture est son noyau. Lucas l’a très bien décrit (son Nietzsche la destruction de la raison). Il va plus loin que Stirner, car il résout le pb de la décadence, à sa façon. Pour le capitalisme oui. Mais je ne suis pas capitaliste ... où alors pour les capitalistes convertis.
Pour le reste je ne crois pas que ça soit du rêve, sinon il n’y aurait pas tous les Seigneurs Capitaliste GAFA et autres à faire leurs fondations transhumanistes. De plus ce que vous ne voyez pas est que ce transhumaniste est un potentiel réveil du Léviathan.
Quand au libéral que vous défendez, Koudenhove-Kalergi (père de l’UE) a fort bien décrit son objectif (et son bouquin a été censuré) « L’humain noble du futur ne sera ni féodal, ni juif, ni bourgeois, ni prolétaire : il sera synthétique […] Ce n’est qu’à travers l’alliance avec le meilleur sang bourgeois que les éléments les plus capables du développement de la noblesse féodale d’antan s’élèveront vers une nouvelle apogée ; ce n’est qu’à travers l’union avec les sommets de l’européanité non juive que l’élément juif de la noblesse du futur parviendra à son plein épanouissement […] notre âge démocratique est un pitoyable interlude entre deux grandes époques aristocratiques [...] Dès qu’une nouvelle et véritable noblesse se sera constituée, la démocratie disparaîtra d’elle-même [...] L’humain du lointain futur sera un métis […]. La race du future, négroïdo-eurasienne (eurasisch-negroide Zukunftsrasse), d’apparence semblable à celle de l’Égypte antique, remplacera la multiplicité des peuples par une multiplicité de personnalités » ’Praktischer Idealismus’ 1925 Richard de Coudenhove-Kalergi, Le père théoricien fondateur de l’UE, (très très inspiré par Nietzsche ....)
dilue la dette, ronge la valeur de l’argent, mais rabougrit le porte-monnaie du citoyen rigoureux. NON Elle dilue la dette de l’État vis à vis du hors Nation. Pour le citoyen nationale il suffit de lui assurer un LIVRET A sans plafond = INFLATION + 2% par ex
Le gôôôchiste vu par Marx :
« La DETTE publique, en d’autre termes l’ALIENATION DE L’ETAT, [...] marque de son empreinte l’ère capitaliste. La seule partie de la soi-disant richesse nationale qui entre réellement dans la possession collective des peuples modernes, c’est leur dette publique [...] La perte de confiance dans la dette publique, péché impardonnable, prend la place du péché contre le Saint Esprit. » Le Capital Livre I
Au début du XXe siècle, le Capital a utilisé les mouvements féministes pour pousser les femmes à fumer, les « libérer », contre la morale de l’époque qui voyait une femme fumer comme « contre nature » et « indécent ». Le libéral-libertaire des « ONG » de l’époque jouait déjà très bien son rôle de valet du Capital. La Société de l’Indécence. Stuart Owen décrit très bien son ingénierie sociale.