Malheureusement pour vous et vos arguments fallacieux, je ne fais pas partie de l’éducation nationale
mais vos attaques directes relevant d’un comportement anarcho pseudo contestataire sont fatigantes.
Vous ne cherchez pas à analyser, vous condamnez. Moi non. J’aimerais simplement connaître la totalité des faits depuis l’arrivée du chef d’établissement afin de pouvoir porter un jugement serein.
Je répète : je ne valide pas la lettre, je ne cherche pas à excuser. Ce comportement est particulièrement tendancieux. Mais des attaques directes en direction d’un responsable hiérarchique lors d’une réunion doivent avoir des causes autres.
On a trop assisté à des attaques violentes en direction de supérieurs hiérarchiques (fonctionnaires fusibles) uniquement pour détruire pour simplement solliciter la pleine connaissance du dossier.
Bon courage dans votre survie au sein de notre société qui apparemment ne vous convient pas.
Vous comprendrez maintenant comment peuvent se dérouler des CA avec des réactions comme la votre !
Je n’ai pas justifié la lettre du chef d’établissement. J’ai écrit que ce type de courrier ne pouvait se faire (éventuellement) que dans un cadre réglementaire strict.
Je maintiens que si le conflit en est arrivé à ce point sur un fait précis, c’est que le fonctionnement global de l’établissement devait être analysé. rien de plus. Que s’est-il passé avant qui puisse justifier une telle animosité en direction du chef d’établissement et de telles réactions de sa part ?
Il y a des règles de fonctionnement qui doivent être respectées des deux côtés. Cela s’appelle aussi l’éducation, même pour des adultes. Je n’analyse plus le fond, mais la forme. Si falsifications, il y a eu, elles doivent être prises en compte, mais cela relève aussi de la hiérarchie, pas seulement de la justice.
En fonction de la décision du TA de supprimer le blame envers l’enseignnant, la hiérarchie aurait du suivre .... !
Le problème est qu’on a le sentiment que tout est organisé pour modifier à court terme le statut de l’école et celui des enseignants.
En premier, il me semble qu’il ne faut pas généraliser. Le problème des comportements est variable d’une école à l’autre, d’un individu à un autre.
En second, c’est le fonctionnement administratif de l’école primaire qui est à revoir. Comment justifier une absence d’autorité au sein des écoles ? Comment continuer à justifier le rôle des IEN (inspecteurs du primaire) ? Leur fonctionnement est archaïque. Le directeur d’une école doit absolument récupérer l’autorité administrative. Il est à noter qu’un projet lancé dans les années 90 a été refusé par les syndicats enseignants.
En tierce, il faut comparer le fonctionnement des collèges et des lycées avec une réelle autorité aux écoles. Pourquoi ne pas vouloir faire confiance à un directeur alors qu’on le fait en direction d’un principal ou d’un proviseur. La formation universitaire initiale est maintenant la même (Bac +3 minimum). La formation professionnelle initiale est identique (IUFM) pour un professeur des écoles et un professeur de collège. Les chefs d’établissement (collèges et lycée, chefs et adjoints) sont recrutés par concours parmi les enseignants. Les directeurs d’école également.
Pourquoi une telle différence de fonctionnement administratif sinon pour les IEN la volonté de conserver un pouvoir , de contrôler, de sanctionner ?
L’analyse amène beaucoup plus de points à traiter que le simple acte d’envoyer un courrier.
- problème français de la contestation de la chose jugée (ici 3 fois).
- problème français de l’absence d’évaluation ou de la non-utilisation d’une évaluation
- problème français de l’irrespect d’une hiérarchie
sur le fond :
Il est clair que dans ce cas, ce n’est pas le courrier qui aurait du être analysé par la hiérarchie, mais l’ambiance générale dans l’établissement. Un dossier voyage se prépare et doit retenir l’assentiment de tous avant d’être présenté en CA.
Le fonctionnement d’un CA n’est pas simple surtout lorsque s’y ajouttent des problèmes relationnels. Toute question traitée amènera de toute évidence les mêmes réactions, les mêmes conséquences.
sur la forme :
l’envoi d’un écrit mettant en cause un individu placé sous l’autorité d’un chef d’établissement ne peut s’adresser qu’à la hiérarchie dans un cadre réglementaire strict. le chef d’établissement aurait pu envoyer un courrier aux représentants sans citer de nom ; Les conséquences auraient été les mêmes sans possibilité juridique même si tout le monde savait qui, quoi....
y a t-il eu en préalable un recours hiérarchique, un recours devant le tribunal administratif ?
Je me répète. Il aurait fallu connaître precisement l’ambiance de l’établissement et le relationnel au moment du déroulement du CA. Dans une affaire comme celle-ci, il n’y a pas 100% d’un côté et 0% de l’autre.