Par définition, les courtisans sont rémunérés aux détriment de l’état. Donc ils sont toujours gagnant. Quitte à parodier Brel, voilà mon chant des courtisans :
Quand on n’a que l’argent A s’offrir en partage Quand on n’a que l’argent Pour vivre nos promesses Quand on n’a que l’argent Pour couvrir de soleil La laideur des faubourgs Quand on n’a que l’argent Pour unique raison Pour unique chanson Et unique secours Alors sans avoir rien Nous aurons dans nos mains, Amis le monde entier.
-’On sait très bien que le népotisme peut être contenu par le professionnalisme et l’intégrité des décideurs habilités à écarter un « fils de » non pas pour son nom mais parce qu’il est avéré qu’il ne convient pas à la fonction’ Le népotisme ne peut pas être con-tenu par le confessionanilisme et l’avidité des décideurs désignés, quelles que soit la con-venance relative du sujet et de la fonction en question. Car ils ont rien à y gagner et trop à y perdre.
-En deuxième, je note qu’il ne peux y avoir aucune commune mesure entre 1 : un notre Président (malheureusement) élu , qui du haut de son autotité, impose son fils (rétif aux études) à une fonction très hautement rémunérée... et 2 : José Bové, le guignol qui tire sa ’légitimité’ d’actes de violences envers les proprios de Macdo et de champs de maïs, et qui recommande sa fille pour une élection perdue d’avance.
-Enfin, plus généralement sur le népotisme, je dirais que la banalité d’une pratique condamnable est une circonstance aggravante plutôt qu’une excuse. La noblesse est morte d’avoir préféré le pédigré au mérite.
D’où venaient les Peuples de la Mer ?De la mer. D’où leur nom. CQFD. Une question plus contemporaine et importante serait : d’où viennent les canards sauvages ?
A travers le filtre meurtrier imposé par les majors, peu de créations non-mainstream parviennent au public. Est-ce une bonne chose, faut-il encourager ce fait et instruire des procès en lèse-banalité ? Vous l’avez deviné d’après ma question, je ne le pense pas. Accumuler, même avec brio, des formules inspirées mais subjectives, celà ne vous vaudra jamais qu’une image de cabotin et de censeur impuissant ; en aucun cas de critique objectif ou de créateur. Merci pour votre intéressant article. Sans rancune ?
Toujours et encore des revanches.
Et un président( à talonette) à vie en perspective.
Amha, le Poulailler ’Socialiste’ n’a plus lieu d’être.
L’espoir d’un nouveau mouvemement social passe par un divorce entre ces gens qui ne pensent plus qu’à se tirer dessus ; alors même que la vie devient de plus en plus difficile pour pout tant des notres.