Kicéça

Charasse ou Dugué ? Chacun défend ses intérêts personnels, souvent sous couvert du bien général. Là, je ne voie pas ce qu’il peut y avoir de choquant à retenir sur une succession des prestations, qu’à leur déshonneur, les héritiers ont refusé de financer. Principe de solidarité en faveur des profiteurs et des sans-coeur ? On devine un aveuglement lié à un cas personnel.

J’ai un peu honte de répondre à une telle contribution. Vous avez le mérite d’être conscient(e) de votre manque d’intelligence et de culture. Une lucidité rare à une époque caractérisée par un illetrisme triomphant, même parmi les ’élites’. Mais alors, pourquoi poster un charabia résultant d’une pensée faible, ouverte à tous les poncifs matraqués par les médias dominants ? L’inculture gagne-t-elle à être prouvée ? Un peu de bon sens vous aurait épargné ce ridicule.

Sans étude à l’appui, je parierais que l’usage du français hors de France est en chute libre, ces dernières décennies. Peut-être même en France, où les grandes entreprises insistent sur la nécessité de l’Anglais pour leurs cadres ; et où des versions innovantes de la langue sont affectées par les couches défavorisées, tentées par le communautarismes. Ceux qui veulent réussir devront se faire à l’hégémonie de l’anglais, les lois voulant préserver les cultures en voie de disparition n’y changeront rien.

elleest excusée au plus niveau aux EU. Alors pourquoi s’excuser des méthodes employées par la France en Algérie alors que la cause était déjà perdue. Bilger ne cache pas son activisme nabophile, son mépris de l’humanisme (peine indéterminé pour les déviants) Et fait peu de cas d’un quelconque devoir de réserve. Ne l’a-t-on pas vu clamer ici lors de la campagne éléctorale ’coupable, coupable, coupable’ sur un dossier vide et dont il n’avait pas la charge ? Soyons stoïque et respectons la charge même si le vase est pourri.

La première partie de vôtre contribution s’applique merveilleusement au nabot lui-même.