J’ajoute juste mon commentaire concernant la technicité de la chose...
La plupart des méthodes de votes électroniques sont contreversées car étant centralisées et opaques pour le citoyen (boitiers de fabrication privée dont les mécanismes sont secrets, serveurs de vote étant sous responsabilité indéterminable, méthodes de sécurité non divulguées)
Le propre même de la sécurité informatique est que la publication des principes de sécurité ne porte pas atteinte au mécanisme !
Typiquement les mécanismes d’authentifications et de transferts sécurisés utilisés par les paiements en ligne sont publics (SSL, HTTPS, AES, RSA, SHA), on peut même dire qu’ils sont d’avantage sécurisés que les terminaux de carte bancaire des commerçants car vous utilisez votre propre terminal lors d’un paiement en ligne (alors que celui d’un commerçant pourrait être trafiqué, et il est opaque...)
Ces méthodes de sécurisations, accessibles à tous, ne servent pas qu’à authentifier et sécuriser un échange de données, elles peuvent également permettre de signer, et de garantir l’intégrité d’un message.
Les fonctions mathématiques utilisées dans ces méthodes, pour les plus abouties, ne permettent pas d’attaquer les données à moins d’avoir des dizaines d’années à disposition et des puissances de calcul énormes ! (sachant que dans le cas d’un vote, la sécurité exigée nécessite de résister quelques jours tout au plus puis les données sont obsolète)
Le mécanisme pratique de ce vote serait donc d’avoir des serveurs de vote locaux pour éviter une attaque centralisée, que chaque votant possède une clé de chiffrage qui lui est propre, signe son vote, le serveur signant la liste électorale pour le « a voté » et remettant un certificat au votant, lors de la fermeture du vote les bases de données sont figées, une clé d’intégrité est générée et signé par le serveur ce que tout votant pourra vérifier avec le certificat qu’il a reçu en retour de son vote, puis la base de données statique est diffusée sur internet pour la transparence (via Peer To Peer, et autre média citoyens comme les blogs etc...)
chacun peut vérifier que les données sont issues du serveur sur lequel il a voté, chacun peut vérifier son propre vote qu’il a signé, demander à ses connaissance de vérifier leur propre vote et le certificat du serveur, chacun pourra faire son propre décompte des voix, et à la moindre irrégularité c’est mathématiquement prouvable !
Quant à l’unicité du vote, on déterre encore aujourd’hui des histoires de morts-vivants arrivant à glisser leur bulletin dans l’urne avec toute la sécurité qu’il doit soi-disant y avoir avec le bulletin de vote... A ma connaissance il n’y a pas de fichier national autorisé pour lister la population mais de façon locale les fichiers du trésor public ou de la sécurité sociale doivent permettre d’avoir une base précise des personnes en état de voter !
Je pense qu’il y a méprise sur le type d’ampoule éco décrites...
Une ampoule éco 125W (réelle) fait la taille d’une bouteille d’eau de grand capacité (du style grosse bouteille de 3L)
C’est utilisé pour de l’éclairage industriel (douille E40), c’est tellement éblouissant que c’est inutilisable en éclairage intérieur et surement pas au plafonnier...
Les équivalentes 100W/120W incandescentes sont en général étiquetées pour 23W ou 26W réelle...
Il ne faut pas hésiter à prendre de très fortes ampoules éco, vu qu’elles consomment moins, et utiliser un luminaire qui diffuse la lumière pour éviter les éblouissement ! (type boule chinoise dans les premiers prix)
Je ne suis pas vraiment d’accord avec l’argument éculé de la simplicité de Windows comparé à Linux...
Je vais prendre un exemple mielleux de mon expérience personnelle pendant les fêtes qui sont encore proches :
Chez ma belle famille, j’offre à ma belle soeur un PC rafistolé avec du matériel que j’avais stocké et choisi d’installer rapidement une Ubuntu récente (pour éviter les problèmes de licences, ne pas avoir à chercher les drivers de matériel de plus 5 ans, permettre à une machine peu performante de fonctionner correctement, esquiver le SAV pour les Virus et les Mises à Jour...) en me disant que si ma belle soeur n’apprécie pas ce système elle pourra toujours le plus « simplement » du monde installer un Windows...
A coté de ça ma belle mère reçoit en cadeau de son mari un portable tout neuf équipé de Windows 7 avec tout les « pourriciels » livrés (Anti-Virus, Microsoft Office à durée limitée, Internet Explorer blindé de plugin publicitaire, et même pas Java ou Flash d’installé !!)
Au bout d’une heure la belle mère valide encore les licences d’utilisation et s’enregistre à tour de bras sur chaque garantie qui accompagne les logiciels et le matériel, harcelée de pop-up de plugin du constructeur ou des sharewares installés par défaut, incapable d’ouvrir un power point car la suite office castrée impose des mises à jours... (Je n’ai même pas réussi à la dépanner dans ce bordel !)
Alors que la belle soeur, pour qui je m’inquiétait de la prise en main d’un Linux, a déjà installé un Chromium par ce qu’elle n’est pas fan de Firefox, sélectionne des widgets dans la logithèque Ubuntu, tout en regardant des vidéo en Flash en arrière plan avec son Pidgin (Client de messagerie) configuré sur son compte Facebook !
Windows m’a encore filé plus de boulot que Linux !! La seule raison de préférer le logiciel de Microsoft plutôt que le libre c’est que ça permet de bosser pour remplir le frigo !
ah ah ah il ose ; le noyau est du Free BSD, et c’est tout... domaine public ça s’appelle
Avant d’écrire ce genre de conneries on se renseigne sur les Licences !
les *BSD utilisent donc une Licence (pour du domain public c’est mal barré !) dont voici le premier paragraphe :
* Copyright (c) 1998, Regents of the University of California
* All rights reserved.
* Redistribution and use in source and binary forms, with or without
* modification, are permitted provided that the following conditions are met :Pour la lire en entier rien de plus simple puisque le texte de la licence est du domaine public...
Et je pense que le plus grand pillage de l’open-source dont on peut faire référence en parlant d’Apple est celui de KHTML (lui sous Licence GNU/GPL moins permissif que la BSD) qui a servi de base pour WebKit et donc le navigateur phare d’Apple : Safari
Même si la situation s’est aujourd’hui arrangée, il y a eu une longue confrontation entre les développeurs de KHTML et WebKit dont la licence de redistribution n’était pas compatible avec la GPL à cause de brevets qui y étaient attachés suite au passage dans les mains d’Apple...
Apple had demanded developers to sign nondisclosure agreements before
looking at Apple’s source code and even then they were unable to access
Apple’s bug database
Les Français qui veulent travailler pour vivre ont du souci à se
faire.
Source ?
Quelles sont les proportions de français qui souhaitent voir leur subsistance, corrélé à leur capacité productive, subordonnée au salariat ?
Les Français qui croient aux développements technologiques ont
intérêt à aller voir ailleurs.
Quel postulat permet de relier les développements technologiques au salariat ou à l’entrepreneuriat ?
Il est beau le petit patron de PME qui croit que sans « élites » (dont il se considère) le monde ne fonctionnerait pas, que le seul modèle fonctionnel est le salariat !