L’enfoiré

Dommage que le jeu de chaises musicales ne touche jamais le teneur de baguette. « Good snapshot ». A+

L’originalité est de vouloir faire aimer la philosophie à n’importe qui. Philosophie qui sans cette version très accessible, pour les « Nuls », n’aurait jamais été sous les yeux de la plupart des lecteurs. Je lis actuellement le livre sans hâte, avec un maximum de réflexions et un intérêt grandissant.

Cher Monsieur, Je suis tout à fait d’accord avec vous sur le fond du problème. Le droit de réponse doit toujours être de mise dans TOUS débats démocratiques. J’aime la controverse n’ayez crainte. Je dois malgré tout vous faire part d’un vécu qui va vous mettre au parfum de la difficulté de vouloir aller jusqu’au bout de ce raisonnement. Depuis quelques mois, je prépare un article sur mon site, article intitulé : « Le ciel pour horizon ». 2 parties du triptyque sont déjà lancé sur mon site. Je dois avouer que je ne me sens pas du même côté que vous dans cette approche de reconnaissance. Si vous allez le lire, vous verrez que j’ai pris assez de précaution en préambule avant d’expliquer mon sentiment sur la question. Mais je crois que parfois, il faut prendre position et lancer quelques idées contraires au courant habituel. Le nombre de mois pour l’écriture expliquera le besoin de prendre le plus de recul possible et le maximum de conciliations avec les gens des 2 côtés de la barrière. Avec certains, cela a été facile, avec d’autres je me suis senti face à un mur. L’un demandant ce qu’il pensait sur une réflexion, l’autre qui répondait par une leçon apprise qui n’apportait rien de significatif au schmilblick. Donc, c’est souvent, « viva » les dialogues de sourds. J’ai cherché dans la littérature d’aujourd’hui et j’ai trouvé le livre qui contait la conversation de Begbeider, le « mécréant » et de son professeur devenu évêque Jean-Michel di Falco intitulé « Je crois, moi non plus ». Original. Sans partager toutes les idées, du tout, cela m’a permis d’avoir enfin un dialogue avec la volonté d’aboutir à des conclusions moins aléatoires. Quand à la réponse dont vous faite allusion par de Beukelaer, je dois dire que j’ai été choqué par la dernière phrase. Les masques tombent quand l’argent prend place et la menace à peine voilée de diminution de budget pour la RTBF m’est resté....

Bonjour, J’ai également écrit un petit message de solidarité sur mon site sous le titre « Jusqu’où aller trop loin » (URL). Comme complément, j’ai trouvé que les paroles du professeur de Philosophie de Namur apportaient un éclaircissement dans le domaine plus fondamental de la vie en commun. Les amis et les ennemis ne sont pas toujours ce qu’ils devraient être. La surprise est totale quand on le découvre.

Bonjour Demian, Ah, toujours ce « politiquement correct ». On croit que l’on connait notre présent grâce à une débauche d’informations qui nous parviennent par l’intermédiaire des médias. Pourtant, il faut se rappeler que l’on ne connait souvent que le sommet d’un iceberg bien tenu au frais. J’ai été étonné de voir un film juste avant les élections du 2ème tour (si je me souviens appelé « Le monde selon Bush ») contenant une foule d’interviews qui allaient à contre courant des idées de notre « maitre du monde ». Pour élargir. A la signature de n’importe quel contrat (pas uniquement à l’armée), il est écrit que l’on ne peut divulguer aucun secret de fabrication (même si cela provient de la petite tête de celui qui signe le contrat) et de ... « How it’s working inside » sous peine de sanction et de se retrouver devant une cours de justice. Combien d’informations sont arrêtée pour cause de « pas dans la ligne de parti ». Le journaliste doit préserver ses sources mais aussi préserver sa « santé » dans le journal. Les mouvements citoyens, tel qu’ici, ont peut-être plus de chance car plus libres, plus subjectifs (avec des réactions plus personnelles). Les Bloggeurs doivent en plus, pour être crédibles, révéler leurs sources. Voilà peut-être d’où vient la grogne de la presse officielle vis-à-vis d’une soi-disant concurrence. A+