On ne peut pas comparer le fait qu’un militaire soit fait prisonnier alors qu’il exerce des actions de guerre et la prise d’otage d’une personne civile pendant une campagne électorale. Cet article est ridicule dans sa conception et ne peut engendrer que des réactions qui iront à l’encontre de votre objectif. Le pb causé par l’occupation israélienne en palestine est beaucoup trop large pour être ramené à une réaction humanitaire vis à vis d’un militaire qui a fait le choix de servir l’armée colonisatrice.
Les commentateurs de ce blog n’ont pas encore compris que derrière Lerma se cachent les renseignements généraux de Sarko. Lorsqu’on viendra les chercher à l’aube, ce sera trop tard... Lerma n’est que le flic provocateur qu’on trouve dans toutes les manifs. Planquez vous...
Ce préfet mériterait tout simplement de passer quelques nuits en garde à vue ou en rétension pour prendre le temps de la réflexion. Les bavures ne font que commencer pour atteindre un objectif arbitraire débile. La dérive n’est pas loin... Mais 53 % des français ont voté pour ce régime en toute connaissance de cause. Bien entendu lorsque la frontière de l’insupportable sera dépassée, toutes ces bonnes consciences diront qu’elles ne savaient pas...
Pénurie d’eau potable, Pénurie d’air pur, Pénurie d’énergie. Ce sont les 3 défis des prochaines années. Il semble que la société de consommation avec sa croissance basée sur la production, la rentabilité et les déchets n’a pas de solution à proposer sinon l’hypocrisie de discours symboliques. Il est triste de constater que ce sont les plus pauvres qui sont les premiers exposés au dérèglement de la nature.
Il est surprenant de lire sous la plume d’un magistrat de votre rang : « j’ai envié les dangereuses certitudes des défenseurs ». Les « certitudes » de certains magistrats ne sont-elles pas elles-mêmes « dangereuses » lorsqu’elles envoient en détention provisoire des innocents ! Je me permets de rappeler qu’environ 550 à 600 innocents, « coupables d’être victimes », passent chaque année par la case prison et en ressortent avec un non-lieu ou un acquittement après plusieurs mois d’enfer (7,5 mois en moyenne). Vous me direz qu’ils n’ont pas été assassinés ! Non... Seulement broyés, écrasés et piétinés par « les dangereuses certitudes » de la machine judiciaire avec des séquelles psychologiques à vie et sans pouvoir espérer obtenir réparation de ces préjudices sinon quelques euros âprement discutés par une institution, juge et partie. Où est l’équilibre entre la défense de l’innocent et la puissance des magistrats souverains qui n’ont qu’à préciser dans le motif d’incarcération :« Risque de trouble à l’ordre public » ? Il me semble donc superficiel « d’envier » la parole de l’avocat de la défense au point de vouloir y répondre sur le champ. Votre travail sur ce dossier est fini depuis la fin du procès.