Ce n’est pas tout à fait pareil.
Dans Indiana Jones, ce n’est que l’artifice comique du contrepied : on nous présente un adversaire comme redoutable. Notre conscience collective nous laisse supposer un long et périlleux affontement entre le héros et son ennemi. Contrepied : malgré toute la valeur au combat, l’ennemi est expédié en une seconde.
Drôle. Point barre.
300 laissait sacrément plus transpirer une certaine sympathie pour la NRA et une vision de l’Amérique. 300, outre le fait que je l’ai trouvé très mauvais, m’a mis mal à l’aise. Indiana Jones, jamais.
D’où certaines interrogations partagées avec de nombreux autres spectateurs quant aux intentions de Zack Snyder.
Ce que vous oubliez de dire, c’est que ceux qui se font dégager ont été mis en place par piston politique. C’est la règle du jeu.
A Strasbourg, le "directeur artistique"du service communication était le fils du président de la Cus. Cela peut donc sembler logique qu’il ne s’occupe pas de la communication du rival à papa (je parle d’un point de vue logique, même pas d’un point de vue de compétences).
Les chargés de com’ sans couleur politique survivent très bien aux changements de couleurs des mairies, si cela peut vous rassurer.
J’ai entendu tellement de louianges sur des films récents soi-disant "flippants"... Je n’ai absolument pas mordu au Projet Blairwitch.
Et puis je me méfie de Paco Plaza, qui avait été encensé par certaines critiques pour son Romasanta (aka l’Enfer des Loups en VF), et qui était selon moi une belle merde.