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Lisbeth Ker Carradec

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  • Premier article le 12/11/2010
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Derniers commentaires



  • Lisbeth Ker Carradec Lisbeth Ker Carradec 12 mars 2012 14:35

    Les races existent, pourquoi le nier.....
    Le probleme ne vient pas du vocabulaire, il vient de la hierarchisation desdites races....ce n’est pas en appauvrissant une langue qu’on combattra la betise.



  • Lisbeth Ker Carradec Lisbeth Ker Carradec 8 mars 2012 14:44

    Il est vrai que l’on trouve peu d’élèves issus de milieux véritablement pauvres dans ces écoles. Mais n’est ce pas parce que les parents des milieux pauvres sont, pour un grand nombre, mauvais dans l’art d’éduquer leur enfants ? Les écoles sont avant tous des trieuses qui enseignent peu (parce que la véritable formation, celle utile au métier, se fera directement en entreprise, les besoin étant trop spécifiques pour être enseigner en cursus éducatif, sauf à faire une école par entreprise) mais valident avant tout un potentiel. De ce fait, elles ne peuvent pas accepter en leur sein un individus dépourvue de potentiel. Or, comment donner ledit potentiel à son enfant quand on a soit même des difficulté dans des domaines élémentaires. Quand on peine à maitriser les bases de la démonstration, on ne peut pas expliquer les maths à son enfant. Et l’éducation national, durant l’enfance puis l’adolescence, ne peut pas complétement se suppléer à l’environnement familial (sauf à mettre les enfants en centre fermés, isolés de leur parents, 24h/24 sous le contrôle rigoureux des enseignants). Elle ne peut pas compenser l’incapacité éducationnel des parents.

    Vous confondez l’éducation « sociale » (dispensée par les parents effectivement : Dis bonjour à la dame, lave toi les mains en sortant des toilettes, tiens la porte au monsieur et embrasse tata Suzanne) avec l’éducation « culturelle » (dispensée par l’école : 3x3=9, Je et Tu n’aiment pas le T, Maitre Corbeau sur un arbre perché et Marignan 1515).
    L’Education Nationale prévoit d’ailleurs en théorie l’inégalité des enfants induite par les différences d’accès à la culture de leur famille en interdisant par une circulaire de 1994, les devoirs à la maison : elle pretend placer ainsi, en theorie, tous les enfants sur un meme pied d’égalité en faisant dispenser le savoir par l’enseignant, sans qu’il soit possible que l’élève patisse par effet collatéral des lacunes de sa famille.
    Votre raisonnement, en plus d’être d’un élitisme odieux, est donc caduc.



  • Lisbeth Ker Carradec Lisbeth Ker Carradec 7 mars 2012 11:32

    A aucun moment je n’ai été agressive, et sans doute aurais je dû mettre des lol pour vous montrer que j’avais de l’humour....

    Je pense que vous n’avez pas compris, malheureusement, le fond de ma pensée, quand moi j’ai bien saisi la vôtre.
    Je voulais simplement vous dire que vous vous trompiez de constat en imputant le phénomène de repli sur soi de l’individu à une addiction quelconque (ne parlons plus d’internet, alors, lol), quand ce phénomène là est beaucoup plus généralement induit par l’industrialisation, et ce, depuis bien plus longtemps que vous ne le décrivez (re-lol).



  • Lisbeth Ker Carradec Lisbeth Ker Carradec 7 mars 2012 11:04

    Exactement.....Internet a bon dos pour expliquer un processus de repli sur soi qui existe depuis bien plus longtemps que lui......



  • Lisbeth Ker Carradec Lisbeth Ker Carradec 7 mars 2012 10:59

    J’ai bien peur de ne pas comprendre le fond de cet article-fiction bourré de poncifs et d’idées reçues.......

    L’anonymat n’est pas l’apanage d’internet et des réseaux que vous fustigez.

    L’anonymat, il est quotidien et est une partie réelle et intégrante de la vie de chacun....quand je prends les transports en commun pour aller travailler, je suis anonyme, je ne parle avec personne. Quand je suis au travail, je suis également anonyme, pire : je revêts soigneusement le costume social qui sied à ma fonction et à mon entourage professionnel, je me glisse dans le rôle que je dois jouer pour être payée (et ne me dites pas que c’est mal, c’est juste la vie.)
    Vous émettez un jugement qualitatif sur le dialogue virtuel, en pensant ab initio que puisqu’il est justement virtuel, il est faux et indigne.....et ben nan. Un dialogue, de la communication, que ce soit via internet, via le téléphone ou en direct live, ça reste de la communication. Je suis d’ailleurs en train de vous parler la gueule planquée au frais derriere mon clavier et mon pseudo, et pas un seul instant je ne doute d’avoir une réelle conversation avec vous, et cela ne réduit en aucun cas la qualité de ce dialogue.

    En considérant le cas précis de votre personnage, il semble que vous preniez le problème à l’envers....imaginez votre Marco se retrancher le soir avec un bouquin ou devant sa télé sans plus s’occuper de sa famille et de ses voisins, la probabilité pour que le résultat (la femme se barre) soit le même est immense, la probabilité pour que vous trouviez son comportement rédhibitoire et émettiez un jugement est infime...parce que le véritable vecteur d’enfermement n’est pas internet, mais simplement un manque de communication au sein d’une famille (ou autre cercle social), problème qui a toujours existé et que l’on nommait autrefois « la routine » mais qu’il est devenu à la mode d’imputer aujourd’hui aux nouvelles technologies....

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