"L’étape suivante qui devait être la création d’une fédération, d’une confédération, d’une union d’États paraît impossible car les nations européennes ne sont pas prêtes à abandonner ce qui fait leur identité nationale : politique étrangère, défense nationale, impôts, droits sociaux, etc." Je ne me souviens pas, en tant que citoyen, avoir été consulté à ce sujet. Je ne me souviens pas non plus d’un débat à l’Assemblée Nationale. L’étape suivante est pourtant suffisamment importante pour que la population soit consultée. Pour ma part, je considère qu’un accroissement des pouvoirs de l’ Europe doit aller de pair avec un renforcement des pouvoirs régionaux. On cède des pouvoirs à l’Europe (ceux pour lesquels la marge de manoeuvre est quasi nulle sur le plan national), mais on accorde aux régions le soin de s’occuper (de plus près, sans empilements de structures, donc mieux, a priori), du quotidien des français.
Mon analyse est que le personnel politique (droite - gauche : le moule est le même) y est opposé. Le personnel politique veut garder son casse croûte français, car il n’aurait que quelques miettes dans le casse croûte européen. Et puis.... perdre des pouvoirs au profit de l’Europe, et au profit des Régions, c’est dur à avaler. Et pourtant, pourquoi pas ? Si c’est ce que souhaite la population. Mais il faut d’abord en débattre, et la consulter avant de parler en son nom sur ce sujet.
Vous ne le dites pas par pudeur, mais je suis sûr que le soir de cette fameuse journée, vous avez dit a votre fils qu’il avait appris le sens du mot FRATERNITE. Maîtriser et appliquer cette notion envers son voisin de classe vaut bien un mauvais sandwich !
Concernant l’exposé sur la LICRA.
Demander à faire un exposé sur la LICRA n’est pas condamnable, ce qui l’est, c’est de ne pas demander à en faire d’autres sur des sujets voisins.
Je suis tout étonné, qu’un article sur un sujet si important ne suscite que si peu de réactions.
Sommes nous endormis ?
Savons nous déjà que les dés sont jetés ?
Il est vrai de toutes façons, que l’élite gauchi-droitière ou droiti-gauchière qui nous dirige n’a que faire de notre souhait d’être associés aux décisions qui nous concernent.
Hélas.