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lucille

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  • Premier article le 01/06/2013
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Derniers commentaires



  • lucille lucille 2 juin 2013 07:18

    ...et ce morceaux de diamant qu’elle réécoutais les dimanches midi, la l’adolescence la guitare en main cherchant les notes et l’essence de Davis Gilmour. C’est sur la strat’ qu’il faut se faire la main, mais ce fut une Beuscher et pas de Paul personne pour map rendre.

    Coup de bol, une approche auxiliaire des cordes comme celle des mots, où l’accord diminué dit « mi nu » diminu et puis s’en va. Ok des mille arrêts, seul s’y mit la plume à oeuvrer en patience, à corder hautement avec utilement songez à cela.

    D’ici là, si le son de la guitare enfant peut ciseler un brin d’air pour repanser, pourrait-il alors réparer votre panne aux néon et aussi votre panneau néon,
    car votre Napoléon à mine d’air pale sous la brise de votre crayon,
    sonnant plus frais au son du aiku au coucou ailé sous vos couleurs d’antan.
    Amusiquez-vous bien la symphonie est entrain, pardon mesdames ze suis sans haine.

    Lucille, servez-vous.



  • lucille lucille 2 juin 2013 06:16

    A l’aube passagère d’une valse,

    « Elle m’a fait danser, elle part donner des livres et des mots de mon coeur. »

    Nous nous relirons...



  • lucille lucille 2 juin 2013 05:47

    Bien évidemment, bonsoir Volt, ravi de votre commentaire.

    Comme vous l’avez précédemment souligné, ma présentation n’est pas toujours soignée. Je me fais donc patiente d’arpenter la voie cellulaire vers un quai au doux son loin de l’ourson, des fonds noirs des ailes courbées des fées illusoires. Répondons donc d’une autre manière :

     

    « superbes photos... »

     

    Je lui dirai, c’est un ami fantastique qui vogue entre mer et étoiles. J’ornementerai les articles à venir avec ses clichés, devinant votre œil alarmé je me surprends à croire que ces photos pourraient sortir, d’un coup de lame et entrer dans le dessin que je vous dessinerai en classe, une fois ma fuguette valsée jusqu’à quai.

     

    « … le vélo, et surtout pas la même race, ça irait jusqu’au drap peau  »

     

    Une arène contre l’art haine pour la reine des questions : « Combien mesure le tour du lac en pousse, en mètres bien évidemment avec précision à noter comme suit : « Bien évidemment » quand là est la réponse de la mesure du Lac Estion, c’est bien évidement « Lacanien » n’oubliant pas que le lac est en pousse et que mes fleurs sont un cercle qui vague en ombre, las est là la question…

    …quand on chute de vélo, il faut savoir

    …refléter dans l’onde d’un microir au miroir, à qui de droit ? Lègue à l’écho l’égal écho, atout le monde ; tout l’homme onde ; où l’ohm onde ; le mont de mon deux monte où l’homme à tout droit de citer, s’il lie humanité au pied des actes comme un écho pilier aux pieds des Alpes. Est-ce bien cela Volt ?

     

    « et ses incendies en cage, elle et cris »

     

    Etant assuré d’en avoir délibéré avec les valeurs et ma plume, je ne répéterai que ceci :

    « Je n’écrirai plus jamais à la va vite. » bien que cela soit la deuxième fois.

     

    « la grande trahison... pour venir à bout de Dionysos enfant se disent les Titans, y’a qu’un seul moyen : offrez-lui un miroir... »

     

    Miroir mon beau miroir, dis moi (qui est là + en col aire de savoir) – (le savoir qui est là additionnés des mots savants avant nous et vous avant moi) nous sommes toujours dans le bon temps ?

     

    Danserez-vous le temps d’un pas léger en des demis de la valse à 7 ans ? Donner le pas je suivrais, l’auteur est un bidet à l’ordure, un rubis cube au quatre « car » étroits mis là sur un coin d’âne au carreau. C’est tout une histoire de la parodie du « cubi arrondi à moitié pas rempli » l’histoire du « Bonnet d’Anocoinlice » art on dit pour certains.

    A nos si vous voulez, à nos quoi d’ailleurs ? Ah oui, bien évidemment à nos miroirs, au nom d’une coupe aile qui fut la noix en cage, où le moi no cabriole et vous remet à vous ce miroir, il n’est pas mien c’est le votre, seul il n’est rien et moi par foi de l’histoire je recompte, j’accommode les tiroirs. On range les playmos on oublie les anneaux alors promis, c’est donner au pied de la chute en silence je mens, Rome est à vous alors rendons à César ce qui est tôt bazar.

    Plantez une dague ? C’est une blague, c’est vagué douce heure, c’est le B âpre et après A ce n’est plus ague c’est une bague, êtes-vous à l’arrêt ?

    Douce Volt, pour ma part je me lève du banc direction la gare, n’allant pas agar au loin mais bien vers la Gare d’Oloin (communément appelé Gare d’Avue) par chance j’ai eu vent d’un quai différent, mais le chemin est double et la ligne est courbe. Par un bond vent donc la remise en question fut un coup zèle, un coup de coussin au trois ailes dérobées.

    Je quitte donc cette allée pour le deuxième temps de la valse des gouttières, la valse à 7 ans et c’est en mieux car il me faut en effet vous dire, que Carle dit que si aux nerfs tu portes le mot, il dit aussi que si haut n’erre rien un dictionnaire est atout, et là enfin c’est Eloi qui dit ça façon miroir, où…non, je ne me permettrai pas que cela ne soit faux, mais tenez compte s’il vous plait que je ne saurais m’attentionner dorénavant, aux bas cesses moins que fut-il nécessaire c’est pas faux c’est pas fourbe, c’est pas sur.

    Mais voir vos pieds allant vers d’autre endroit que ma danse, que je n’oserai citer ici, même si l’arrêt public est en marche, l’âne et son miroir aux merveilles serait une histoire à part entière, alors qu’une marche étend le lac Estion et nous avons au moins fait le tour d’une onde, merci Volt,

    Lucille tout court, servez vous.


    Parodie cubique  :

    Mon querelleur accordéon leurre apprendra à s’accorder à vos pendules, mais en l’honneur des femmes j’aurais une question aux Doctor ès-sagesse je vous repose la question :

    Combien Lucille sans trois ailes a-t-elle d’ailes ? Bien évidemment.



  • lucille lucille 1er juin 2013 21:12

    Je suis le chemin de la gare, on lèvera la coupe au lègue.



  • lucille lucille 1er juin 2013 20:52

    « Ecrire pour ne rien dire de la manière dont cet écrit est arrivé jusqu’ici, alors en effet ce serait écrire pour ne rien dire. Ecrire tout de même pour vous dire que je suis en train d’apprendre à décrire le chemin de la gare en oubliant de l’être, mais pas encore à quai pour le dernier train.
    Encore quelques mots à graver sur le banc et je reprends la marche, grâce à tous les écrivains, femme, enfant et adulte, ou grand-enfant et femme-enfant où l’adulte erre sous les yeux de nos grands-parents, sur le regard apporté sous la main de l’enfant. L’autre main femme qu’est l’avis en tout homme, en vous en moi et l’œillet derrière qui est aussi l’écran, le votre le mien soit, mais l’enfant qu’en sera-t-il de sa vie et de l’humanité, ...
    Je ne suis à dos ni adulte, je cherche une question ? Grandir est-se livrer ?
    Je laisserai la craie sur le banc, après deux où trois blancs colorés et des feuillets à délivrer d’un mauve essor, puis s’en suit que j’irais m’assoir à ma table d’écolière, pour écrire ne rien dire, ne dire rien pour écrire, rien pour ne dire écrire.
    Merci cevennevive, pour vos mots qui n’étaient pas fais pour ne pas ne pas faire écrire pour ne rien dire. »

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