Et pourquoi pas « succombler » en un mot, dans un monde où nous
surévaluons, surexposons, sur sur sur tout et n’importe quoi.
Bonjour Monsieur Dugué j’ai bu votre article, étant intiment concernée par les
questions que vous posez. Certains mots m’étaient inconnus, c’est chose
affranchie.
Qu’il est bon d’entendre le mot « lien » à chacune de vos virgules.
Je ne sais comment pouvoir converser avec vous, je pense souffrir d’un manque
de vocabulaire pour ce sujet pointilleux, pourtant je m’y sens concernée, de
part ce sentiment ambigu qui me parcoure du corps à l’esprit, comme une
discussion qui ne cesse entre deux poids deux mesures, une balance subtil, une
quête de d’équilibre en demi, tel un funambule dessinant son fil à chaque pas.
« déréliction » voilà un mot qui me manquait, pour définir ce quelque
chose, enfin l’approcher.
Rien que pour ce mot qui va occuper une grande partie de ma journée, je vous
remercie, Monsieur Dugué. Lucille.
J’espère enrichir mon vocable et la maitrise du sujet, et pourquoi pas essayer de vous faire partager quelques idées sur la question le temps venu.
A
l’auteur et aux lectrices, pardon messieurs honneur aux dames, je suis
outrée, je suis colère des mots de ce monsieur. Ce ne sont pas les mots que je
blâme, ni même votre appel lancé à l’anti-nanti, c’est la dérision de notre
époque et le rappel à l’ordre de l’auteur, sur ce fait simple : LA LIBERTE D’EXPRESSION
NE SE MENDIE PAS, ELLE SE PREND, et la mendicité est expressément exponentielle
en rapport aux pertes de liberté.
Je
suis toute rouge ce matin, moi qui ne crie jamais me voilà écrivaine éphémère,
le temps d’un papillon retourné à sa lumière. Le mot « tract » n’est-il
pas suffisant de sens, tractons tractons nos idéaux, aux pelles aux bennes
jusqu’à l’eau belle, il y a aubaine. Des papiers à en pleuvoir (mais recyclés, la nature parle
à la nature) comme les hommes parlent aux hommes, et les femmes bercent le
monde, et moi Lucille avec 3 ailes, je suis bancale et fragile, comme
les plumes sont effeuillées sur mon dos, me clouantes au sol par le poids de la
différence. La voix d’Agora me manque, les articles ne cessent d’apologier
l’eschatologie, le monde est une faim en soif de bruits bipèdes et de l’ombre
du bruit.
MonsieurCHALOT,
c’est bien peu que ceci au vue des nombreux articles que j’ai pu lire de vous,
votre intégrité me donne foi, mais il y a des jours où l’on perd pied face aux
combats que vous menez. Merci Monsieur, Lucille.
je suis outrée, je suis toute colère des mots de ce
monsieur, oh non pas que je ne partage pas le fond, mille fois je suis d’accord
avec lui. Je suis outrée du monde face à cet homme, qui cri son silence, son impuissance à notre rapport
aux médias, l’intérêt réel des cases quotidiennes remplies de futilité.
Pourquoi des papiers comme celui-ci, tellement plus vrai que les papeoples de
pacotilles, doivent métaphorer le véritable appel lancé par l’auteur, en
symboles pourtant justement adaptés, comme si la vérité devait se maquiller,
comme si les gens ne pouvait plus la lire autrement, comme ci ces mots d’appel
au réveil, devaient sonner aphone. Qui suis-je après tout pour tout dire tout
ça ? Moi les médias je regarde du coin, d’un oeil avisé.
L’agoravoax c’est ma vie si vous saviez, j’y noie mes peines
j’y rêve des plaines, où vos mots m’emportent au loin,aux confins curieux, aux conflits maudits,
aux détours intimes des billets commentaires. Oh je regarde mais je ne fais
rien, je suis trop seule et pas comme vous, enfin si enfin non, enfin là n’est
pas la question. Vous les auteurs (trices) de cette forme non plate qu’est ce carrefour
de l’information, je vous mets en demeure de me refaire vibrer, de vos plumes
humanistes, censées, être, debout, aux côtés de ce monsieur.
Je suis outrée je suis toute colère, et je larme verse pour
cet auteur, qui secrètement depuis longtemps me fait sourire me fait légère,
moi qui vient vers vous en cet instance vous le dire, ce monsieur m’a giflé ce
matin, alors aujourd’hui je mets une claque sur le papier, ma première et c’est
peut dire si vous saviez.
Ecrit de soutient scolaire, et cri surtout.
Jamais les voix de l’Agora n’auront alimenté de
« lui » le vrai de l’être, l’œuvre et toute sa gesse de la pensée, jamais autant les causes ne
furent remise en questions, non vaines parfois mondaines, mais la pédence mondaine
appartient aux complices, eux là, ceux-là même qui porte le fouet sur le chemin
des passants, passant chemin sous d’autres fouets, et ça l’auteur le sait. Des
sujets vagues sur une mer triste, le délire à tout étage de l’information
primordiale, regardez dont la télé, dit l’auteur. Parodie dites-vous aussi, et
vous dites bien car le schéma des renvois est proportionnel au manque de
capacité, à entrevoir comment dépasser les frontières, d’une nécessité exemplaire
démontrée par vous, à faire avancer tout simplement, l’Humanité, et ca l’auteur
le fait. Il les regarde les saints posters, même qu’ils nous volent nos épices,
qu’ils nous mettent à l’hospice. Faute piste, ici sous les pieds de l’auteur, le
cri d’humanisme est chemin anti-haine, en mains propres il est remis en tienne,
à toi l’auteur. Mais la saleté de la salle t’est offerte en spectacle, balaye
un bon coup les poussières mon prince. Où sont passés l’article, le seul article sans
fin aux raisons de l’humanisme.
Appuyez le propos de la folie demande un avis
folié, un navire en craie et leur avis s’use, c’est la ruse des ravisseurs de
l’esprit des gruyères neuronaux. Appuyer le bouton d’un appui « A est
rien » semblait exigeable, je puis demander à trois copines un peu
malléables :
Vous savez c’qui dit d’son épopée le copain Iggy, y dit
qu’c’est sympa une ballade en taxi.
Y dit qu’c’est comme ça que son pote Morison l’as jamais
quité.
Y dit qu’c’est à cause d’une chanson qui parle d’elle, la
passagère.
Ici y’en a trois entre passages aire. Car le monde est
conspirant de bonheur, de beauté, une œuvre en renouvelance, en transe, un
bijou. Mais l’homme, bâtit un mont de cons, sur un monde de cons, spirale de
guerres, amère, la mer et l’air salivent à l’encre nuclée, et ça l’auteur le
sait. L’auteur vous l’imaginez un peu, ce gars ce puits de rêves s’épuise en
trêves, à recadrer le tableau, le restaurer le rapiécer, mais pour qui le raccrocher,
et l’auteur s’accroche.
Au dessus est un cri, au dessous est à cran, et ça l’auteur le
sait, et moi je suis taillée dans le rêve, dans le rêve de l’auteur. Les mots ont
un pouvoir, et nous avons un devoir, et c’est l’auteur qui dit ça.
J’ai finit, la colère est passée, la larmes à séché, c’est si bon de dire, merci Monsieur.
Lucille, avec 3 ailes, c’est une longue histoire, mais là n’est pas la question.