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  • Premier article le 01/06/2013
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Derniers commentaires



  • lucille lucille 28 mai 2013 13:30

    Ma chère amie,

    lustrer de belles histoires en une tirade, où se ment la princesse de son donjon,

    de son prince, du royaume, des lettres d’amour et de toi, m’est nouveau.

    Le rond en semble portant sans trou, passons ce cours.

    L’émotion peut révéler, tant le vrai conte pour sauver la Princesse, tant le compteur.



  • lucille lucille 27 mai 2013 16:16

    Bernard Dugué
    .
    « succomber ou bien lutter »

    Et pourquoi pas « succombler » en un mot, dans un monde où nous surévaluons, surexposons, sur sur sur tout et n’importe quoi.

    Bonjour Monsieur Dugué j’ai bu votre article, étant intiment concernée par les questions que vous posez. Certains mots m’étaient inconnus, c’est chose affranchie.
    Qu’il est bon d’entendre le mot « lien » à chacune de vos virgules.
    Je ne sais comment pouvoir converser avec vous, je pense souffrir d’un manque de vocabulaire pour ce sujet pointilleux, pourtant je m’y sens concernée, de part ce sentiment ambigu qui me parcoure du corps à l’esprit, comme une discussion qui ne cesse entre deux poids deux mesures, une balance subtil, une quête de d’équilibre en demi, tel un funambule dessinant son fil à chaque pas.

    « déréliction » voilà un mot qui me manquait, pour définir ce quelque chose, enfin l’approcher.
    Rien que pour ce mot qui va occuper une grande partie de ma journée, je vous remercie, Monsieur Dugué. Lucille.

    J’espère enrichir mon vocable et la maitrise du sujet, et pourquoi pas essayer de vous faire partager quelques idées sur la question le temps venu.



  • lucille lucille 27 mai 2013 15:33

    A l’auteur et aux lectrices, pardon messieurs honneur aux dames, je suis outrée, je suis colère des mots de ce monsieur. Ce ne sont pas les mots que je blâme, ni même votre appel lancé à l’anti-nanti, c’est la dérision de notre époque et le rappel à l’ordre de l’auteur, sur ce fait simple : LA LIBERTE D’EXPRESSION NE SE MENDIE PAS, ELLE SE PREND, et la mendicité est expressément exponentielle en rapport aux pertes de liberté.

    Je suis toute rouge ce matin, moi qui ne crie jamais me voilà écrivaine éphémère, le temps d’un papillon retourné à sa lumière. Le mot « tract » n’est-il pas suffisant de sens, tractons tractons nos idéaux, aux pelles aux bennes jusqu’à l’eau belle, il y a aubaine. Des papiers à en pleuvoir (mais recyclés, la nature parle à la nature) comme les hommes parlent aux hommes, et les femmes bercent le monde, et moi Lucille avec 3 ailes, je suis bancale et fragile, comme les plumes sont effeuillées sur mon dos, me clouantes au sol par le poids de la différence. La voix d’Agora me manque, les articles ne cessent d’apologier l’eschatologie, le monde est une faim en soif de bruits bipèdes et de l’ombre du bruit.

    Monsieur CHALOT, c’est bien peu que ceci au vue des nombreux articles que j’ai pu lire de vous, votre intégrité me donne foi, mais il y a des jours où l’on perd pied face aux combats que vous menez. Merci Monsieur, Lucille.



  • lucille lucille 27 mai 2013 14:48

    A l’auteur et aux lecteurs hérissés,

    je suis outrée, je suis toute colère des mots de ce monsieur, oh non pas que je ne partage pas le fond, mille fois je suis d’accord avec lui. Je suis outrée du monde face à cet homme, qui cri son silence, son impuissance à notre rapport aux médias, l’intérêt réel des cases quotidiennes remplies de futilité. Pourquoi des papiers comme celui-ci, tellement plus vrai que les papeoples de pacotilles, doivent métaphorer le véritable appel lancé par l’auteur, en symboles pourtant justement adaptés, comme si la vérité devait se maquiller, comme si les gens ne pouvait plus la lire autrement, comme ci ces mots d’appel au réveil, devaient sonner aphone. Qui suis-je après tout pour tout dire tout ça ? Moi les médias je regarde du coin, d’un oeil avisé.

    L’agoravoax c’est ma vie si vous saviez, j’y noie mes peines j’y rêve des plaines, où vos mots m’emportent au loin, aux confins curieux, aux conflits maudits, aux détours intimes des billets commentaires. Oh je regarde mais je ne fais rien, je suis trop seule et pas comme vous, enfin si enfin non, enfin là n’est pas la question. Vous les auteurs (trices) de cette forme non plate qu’est ce carrefour de l’information, je vous mets en demeure de me refaire vibrer, de vos plumes humanistes, censées, être, debout, aux côtés de ce monsieur.

    Je suis outrée je suis toute colère, et je larme verse pour cet auteur, qui secrètement depuis longtemps me fait sourire me fait légère, moi qui vient vers vous en cet instance vous le dire, ce monsieur m’a giflé ce matin, alors aujourd’hui je mets une claque sur le papier, ma première et c’est peut dire si vous saviez.

     

    Ecrit de soutient scolaire, et cri surtout.

     

    Jamais les voix de l’Agora n’auront alimenté de « lui » le vrai de l’être, l’œuvre et toute sa gesse de la pensée, jamais autant les causes ne furent remise en questions, non vaines parfois mondaines, mais la pédence mondaine appartient aux complices, eux là, ceux-là même qui porte le fouet sur le chemin des passants, passant chemin sous d’autres fouets, et ça l’auteur le sait. Des sujets vagues sur une mer triste, le délire à tout étage de l’information primordiale, regardez dont la télé, dit l’auteur. Parodie dites-vous aussi, et vous dites bien car le schéma des renvois est proportionnel au manque de capacité, à entrevoir comment dépasser les frontières, d’une nécessité exemplaire démontrée par vous, à faire avancer tout simplement, l’Humanité, et ca l’auteur le fait. Il les regarde les saints posters, même qu’ils nous volent nos épices, qu’ils nous mettent à l’hospice. Faute piste, ici sous les pieds de l’auteur, le cri d’humanisme est chemin anti-haine, en mains propres il est remis en tienne, à toi l’auteur. Mais la saleté de la salle t’est offerte en spectacle, balaye un bon coup les poussières mon prince. Où sont passés l’article, le seul article sans fin aux raisons de l’humanisme.

    Appuyez le propos de la folie demande un avis folié, un navire en craie et leur avis s’use, c’est la ruse des ravisseurs de l’esprit des gruyères neuronaux. Appuyer le bouton d’un appui « A est rien » semblait exigeable, je puis demander à trois copines un peu malléables :

    Vous savez c’qui dit d’son épopée le copain Iggy, y dit qu’c’est sympa une ballade en taxi.

    Y dit qu’c’est comme ça que son pote Morison l’as jamais quité.

    Y dit qu’c’est à cause d’une chanson qui parle d’elle, la passagère.

    Ici y’en a trois entre passages aire. Car le monde est conspirant de bonheur, de beauté, une œuvre en renouvelance, en transe, un bijou. Mais l’homme, bâtit un mont de cons, sur un monde de cons, spirale de guerres, amère, la mer et l’air salivent à l’encre nuclée, et ça l’auteur le sait. L’auteur vous l’imaginez un peu, ce gars ce puits de rêves s’épuise en trêves, à recadrer le tableau, le restaurer le rapiécer, mais pour qui le raccrocher, et l’auteur s’accroche.

     Au dessus est un cri, au dessous est à cran, et ça l’auteur le sait, et moi je suis taillée dans le rêve, dans le rêve de l’auteur. Les mots ont un pouvoir, et nous avons un devoir, et c’est l’auteur qui dit ça.

    J’ai finit, la colère est passée, la larmes à séché, c’est si bon de dire, merci Monsieur.

    Lucille, avec 3 ailes, c’est une longue histoire, mais là n’est pas la question.

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