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lucille

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  • Premier article le 01/06/2013
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Derniers commentaires



  • lucille lucille 28 mai 2013 22:46

    C’est Nabum
    .
    Arrêtez-moi si je me trempe, dans la marre il reste un pavé.
    Celui-ci ici sera posté, le facteur est sonné.

    Par contre il semblerait que vous avez dis point G ?
    neige.entempsdûl’@du.gcomgbienentendu



  • lucille lucille 28 mai 2013 21:55

    La couleuvre de la chrysler

    Que la montagne est belle sur ce versant, surtout en ULM après un passage chez L’ORL. GCDO 3PO car R2D² est à l’étroit dans son HLM. Pas 2PO pour franchir le col, pas d’hooligan O3W, pas de maillot jaune a cran sur-léchant, car de là-haut tout est plus, vert. Votre histoire de Lyon capable de fâcher ? Vous haubans ? Oh non, vous mat, et m’avez offert la plus belle des leçons. Et moi petit oursons mal hiberné, valet je suis et vous valez mieux, valait mi-eux le faire à votre manière, haltère, je suis poids plume aux fois chiche (de le savoir plus que de le croire). Que vous dire de bon mon monsieur, je suis en pluche un peu coton, au pôle aire à pas grognon, je me sens quiche, attention aux langues crochues. Aujourd’hui hier n’hait plus demain j’ai pris la douche.

    Est-ce par la main qu’on fait par là même parler son cœur, quand le chœur a sa raison et quand l’ourson entend la raie son, l’art et son et aussi la ré sont aussi lard et ton, alors arrêtons (la roue pas l’art) l’art ou pas l’art ? L’art et la réponse à tri-roues sont : « l’art est-ce « on ? » L’art est son, là Reinardt Django de son pré nombre de Pi allant sur des notes improbables d’un swing sxing nous dirait : "Buvez gadgo ce faux whisky pur malt unique, mais faites gaffe aux crotale." mettez un pull aux, vers.

    Allez les gars go, le taxi va jaunir (c’est une image) et Django sourit d’une mine or swing (c’est un mirage) j’attends l’solo d’Grappelli pour reprendre la rime. Toujours prenant, sur et pourtant simplement improvisé, vécu, ressentit, livré, emballez, et c’est peu séduire que d’en parler, car avant tous mots il y a un métro, vers.

    Prince, est-ce par le mime où parla rime, qu’à pots de fleurs on lève le voile, qu’on vêle le veau qu’on lava Chris à l’ère de paille. Superbe harsard super nana (Michel Jonasz et pas jaunisse) sur l’interne étroit de l’internet roi, internez-moi, j’vais m’faire athé après un thé, vert.

    Beurk, j’ai décuvé l’reptile y’a pas d’autres mots, un cauchemard dépitant éveillé de pythons médusés. Le thé est passé mais pas la théière, mais quelle idée d’avoir amolli la cueillère. Le thé est passé les pas lattent hier, mais quelle idée ci que cette invention là, cet outil disculptant les deux pôles, les devants des après, pendant aux avances du pourquoi cet objet, ce kaléidoroscope à l’envers (pas la ville la villa). Je sais Kett j’arrête là, ca s’rait comme divulguer tes notes sans l’émo qui va avec, sans l’égo qui rit de tout, là où t’es piano et l’piano t’est tout. Dans un bar ou dans les bois, dans ta forêt sur le même fil que sur ma feuille, plume à l’épaule et voilà l’cerf parti aucun bruit, Part one, piano aqueux, vert.

    Allons dont lavez la Chrysler au senbon de bourg Gogne, allons enfin faire une virée en bons qu’on pagne sans que crisse l’air. Donc osons sans senbon, l’ourons n’est pas ninja Nive rogne, il met des basques pour rentrer au pays, sous les accords venus soudain d’un Art Tatum, sacré bonhomme qui voyait plus loin qu’l’bout d’ses mains, même sans yeux tout où, vert.

    Etendons la marge sans déborder (sur l’amer pas l’horizon) au dessus du trait, et fumons l’lard y’a qu’allumer deux pets et l’gaz part vite, et ca jamais plus je vou’l’dirait, toute la bêtise des maux des biles y est contenu et tenue pour qu’on ferme le sujet en nain-ès de l’escamatrologie. Ben y’a pas l’choix faut bien j’l’écoute, cette danse chiffon aux canards boiteux, et la neuvième se fait bémol, Ludwig, pardon.

    Dans ce registre mélodique, on va finir par un trio elliptique, la puce à l’oreille de Schubert une œuvre jardinière, un chou de chants fleurs, un vers bien penté à la Reine des merveilles, plus un chat sur la langue, seul mon petit doigt sur la bouche pour apprendre la science du silence, une musique si légère que la plume se couche. Le taxi est parti, notre ballade est à quai, notre bal est taquin, la raquette en papier les mots en filet, et la balle est atout des anneaux du serpent.

    De quelle couleur est la Chrysler d’Oz, ... ?



  • lucille lucille 28 mai 2013 21:27

    Sur le pont d’Avignon doux comme l’agno.

     

    Un seul devoir et un anneau (pas un nano) et il fut délectable affaire car à chevet à vie, précieuse chose que ceci. Comment ai-je pu ? Mais là n’est pas la question, enfin si aussi mais on n’est pas en fin, on est sous, verre. Dans cette rencontre d’un pseudo-lien épistolaire, sans pistolet aux pseudonymes loin d’être de laids, cette gente allure aux allures de gentleman, entre gens connaisseurs du « What A Man », il a fallu que J mêle défaillances, fragiles objets (les Fayence pas les dés) coups, vert...

    Si j’avais su qu’avant même d’être un petit garçon, je serais capable d’embêter, un esprit pourtant si tendre, à œuvrer pour des tâches au-delà des apparences du papier, si j’avais su que je serais mâché collé trompé, froissé serait léger, si j’avais su tout ca, l’uni, vers. stsstttss

    Punition sadique, venimeuse si on aime bien sur, because le bouton d’allumage du compiou, c’est comme l’allumette constipe, alors en son hommage (la punition pas l’allumette) bouton poussé d’un rien, après bouchon boucher, et bouche coupée pas cousue (l’allumette pas le boucher) j’ai lu les deux anneaux (pas d’âne au poteau) ni d’Anne, faudra mettre la ceinture. On va commencer par du Magma, un morceau bien dark pour que la lave s’envole quand la plume se pose, et y’s’faufile c’est per, vers.

    Dire compris serait prétentieux et plein d’orgueil, mais les mots en or ne brillent entre mes  sales mains, entre mes mentaux mal cousus (le gueilleux pas l’emmental) et pas le droit alors de jouer des mots, y’a pas d’mots jouets pour jongler en serpent juteusement, sans juxtaposer d’autre « jeu » pour faire un jus bien buvable, de ma tache bien posée sur le buvard ou plutôt, sur le boulevard d’étages de mon gros mots, à toutes les gares de mon gros « moi » où gît l’ogre J. Tiens, en v’là un bon mot « la gilogrogie » une sorte de géographe à sonnette, qui fit de moi un bon Géotrouverien, et rien d’autre pour déminer ce mot à baliser (pas à bannir) sacré pas à franchir. Cela dit j’étais affranchi, j’ai bien ch, chut c’lui là j’le dirais pas, musique de film pour continuer (pas un truc qui fasse couler) une chevauchée pour diner, et Walt qui rit, vert.

    La nuit précédente celles d’aujourd’hui, fut passée à l’encre de tous les pécher. Le courrier pourtant non posté ni affranchi, demeura de pixels en demeure du devoir, de voir l’ampleur du pique sel (même pas marin) même pas marrant de faire rouler les rr en forme de n, même pas d’enfant ce « je » rubin loin des rubis chair à saucisse (et encore c’est pas gentil pour les chipos) chat pollard, et non pas de Poe, faut pas qu’j’m’égard y’a un serpent, artiste est un mot, je suis géné pas ingénu, j’ai le gène haut du petit jnôgme  J’suis fatigué épuisé (pas des « jeux » pas des mots) c’est plus du « je » qu’il me faut, ce qu’il me faut c’est vous parler, mais là n’est pas la question. Mozart vous connaissez, mais pour Wolfgang qui s’est dévoué jusqu’au quintette pour clarinette. J’ai aiguillé mon choix sur l’requiem, rien de funeste (pardon Napoléon) trop mémorable sur l’échiquier est mon grand-père, et certains disent que l’art est mineur en musique, chœur, do,vers le raz des pâquerette, quel article, quelle claque for me, pas d’able au propos…

    L’auto description du personnage (le grand pas le petit) fut difficile (pour le petit comme pour le grand) fut d’autant plus dense d’humidité, qu’elle me rappela à l’humilité, mais là non plus, n’est pas la question, un p’tit peu quand même, alors vite fait : je ne bois pas , j’aime pas les n’avions j’préfère l’entrain, j’ai latté la télé j’ai mis M&M’s entre MMS, SMS et MSN, ca fait bien trois et demi, tout va bien je suis mot dit. Le chiffre 6 éteint l’heure mais pas la lumière, si le 3 est toujours demi, car fois 2 ca fait 7, on va écouter Money de gens plein de d’mi temps et d’idées folles, qui peignait les notes comme Jean faisait valser la couleur, et la couleuvre se fait la malle (se cache pas de cash). Juste après on’s’f’ra Shine, c’est moins plane et plus large, c’est plus multiple c’est plu di, vers, et pourtant c’est en 4 temps, mais dans leurs tête il est minuit et des poussières de Mi mageur.

    En v’là une question : Pourquoi redire ce qui déjà est écrit et franchira bien vite la boite (aux lettres où d’allumettes) ? Parce que les cris vains ou les vainceries, là n’est pas la question quand l’écrit vint sur l’écriteau de « l’écrit tout » sans égo, « mais n’écrit pas n’importe quoi. » ou le serpent…vert.

    Toute la nuit J est passé, la nuit avec n’emporta pas le propos du bobo au dodo. Cinq tours d’horloge pour l’aiguille (la petite pas la grande) ca fait combien en mots ? Au bas mot je dirais 56 heures, je fatigue. Toute la nuit s’étais mieux dit, mais dire mieux autour d’un mot si mal élévé (l’auteur pas le mot) ca ne lève pas l’en, vers.

    Histoire de voir ce qu’il en est de la vérité pensée, j’ai pensé cette nuit à une histoire à vous conter, mais là n’est pas l’histoire, si, là est la question mais je ne m’y étendrais pas, pas ce soir, et pourtant qu’elle histoire, mais là n’est pas celle que je vais vous conter...



  • lucille lucille 28 mai 2013 21:08

    Nabum

    en toute honnêteté, le taxi ne sera pas emprunté,
    allons comprendre, c’est une histoire de tableau restauré,
    et au bateau je vais à pieds, nus...



  • lucille lucille 28 mai 2013 21:07

    Nabum

    en toute honnêteté, le taxi ne sera pas emprunté,
    allons comprendre, c’est une histoire de tableau restauré,
    et au bateau je vais à pieds, nus...

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