Je n’ai pas l’intention d’ajouter aux dires ci-dessus. Ceux-ci sont parfaitement exact.
Je n’écoutais plus France Inter, me rabattant sur France Culture.
Puis je me suis rabattu sur les deux tout en déplorant pour le premier la concupiscence avec laquelle sont traités les sujets. Ce n’est plus du journalisme. C’est de la prise de position pour le service de quoi et de qui ? Je parle spécialement du traitement journalistique qui n’a rien de ce bel ouvrage. Et alors, les nanas : lamentable,surtout la 9 à 10 qui rit avant que l’intervenant ait parlé et qui par ailleurs n’a rien à dire. Le choix lamentable des gens, par ailleurs toujours les mêmes. Les leçons données : leur nombril doit en être infecté.
Et Quand m^me, la belle histoire du livre Inter avec cette année JC RUFFIN dont je ne cesse d’admirer l’orthographe et l’intérêt culturel des histoires : Merci. J’oubliais, et j’en profite, j’ai détesté et le mot n’est pas très fort le livre sur Compostelle qui m’a paru, ayant moi-même fait le parcours, avoir servi de valeur de recette pour payer les impôts.
L’unilatérale décision de l’US à poser son embargo sur certains pays. L’obligation de leur monnaie. Et surtout la façon d’agir du PDG de la BNP qui ne s’émeut pas.
A quoi rime tout cela si ce n’est à nous faire comprendre que la mainmise est bien créée et avec l’assentiment de nos dirgeants.
Adieu toutes ces facéties ; je me bâillonne et me fous de tout. Je préfère regarder et écouter les oiseaux.
Y’en a marre de cette France où la politique est le sujet principal. La mise en valeur de ces politiqueux est une insulte à la pensée. Nous avons autre chose à faire que d’écouter ces gens qui s’en mettent plein les poches en attendant d’être mis au rencart. Quans allons-nous cesser de leur donner de l’importance ?
Il y a autre chose à faire.
Messieurs les soir disant politiques : allez vous faire voir ailleurs... Le problème est qu’ils sont là et qu’ils se prennent pour des pensées uniques. Pour moi, unique pour eux seulement.