Je préfère, et de loin, de très loin,les diatribes conférées par Mr VERGES aux absurbes imbécilités des politiques et avocats actuels.
Il joue l’énorme, le gros. Mais quelle différence entre ce marché et celui d’une vente de matières grossières applaudies par la populace ? J’en prends pour cibles les véreux avocats que je nomme « les bistrotiers » qui se la jouent pour des billets de quatre sous avec l’aval de notre justice où siègent des fénéants invétérés.
Au moins lui, ilallait à la casse et ce face à derigolards avocats imbéciles, inutiles et falacieux.
Hommage, Mr VERGES. Et en déplaise à tous ces vilipendaires, qu’ils aillent au diable quand à contrario ils se délectent de dires en les désapprouvant pour une minable intellectualité.
Quelle différence y-a-t-il entre la Société Cubaine et la nôtre : aucune. Que les vols viennent des gens ou del’Etat sont du pareil au même.
Mais le problème n’est pas dans ces constats dont nos bien pensants, de droite ou de gauche, se font gorge chaude. Le problème doit consister dans la trouille momnumentale que doit avoir le Raoul dans ce que va être ’avenir. Il parle de la monnaie. Mais quoi dire d’une monnaie avec laquelle les gens sont règlées et qu’ils ne peuvenet utiliser que dans les magasins appropriés et pour couvrir les frais civiques. Qu’ils veuillent les convertir en CUC... impossiblité leur est faite. Le passage au CUC serait une catastrophe, un fléau, un facteur d’nflation qui mettrait à la rue tant et tant de gens.
Pendant ce temps, tous phénomènes touchant au tourisme prennent les directions du Capitalisme.
A contrario, et je parle pas des fonctionnaires qui sont des tares, les débrouillards brouillent les données.
Et aussi, pendant ce temps, le Gouvernement, à part déblatérer, ne fait rien, rien, rien...
Le peut-il ? Non. Il faudrait foutre en taule tous les affidés... et ce serait la castagne.
Mais la castagne approche à moins que les successeurs procèdent aux aménagements qui feraient dans ce mon de merde que Cuba devienne la nouvelle intelligence que bon nombre d’entre nous attende.