Physique théorique et d’astrophysique sont mes bases, je reste un passionné de ces sujets. Par ailleurs je parcours souvent le monde pour mes affaires, ce qui me permet de goûter et apprécier (ou non) de multiples« cultures » .
1 - l’espace que nous percevons est 3 D et nous le percevons comme infini, un peu comme arpenter une sphère (en expansion ou pas) , elle vous semblera infinie si vous ne percevez pas sa courbure et ne trouvez pas qu’il existe une dimension supplémentaire et que donc cette sphère a un centre ou une origine dans un cadre dynamique.. Ajoutez une dimension à votre problème et vous avez l’univers
2- Vous confondez vide et dimension, revoyez vos cours de physique, et semblez ignorer ce qu’est la vitesse de la umière
3- Des ensembles en interactions, n’ont pas à savoir quoi que ce soit, ce ne sont pas des « consciences », ils subissent les lois de la physique et ne connaissent par leur vitesse, nous mesurons juste les conséquences : la vitesse de la lumière, qui semble être dans cette géométrie, leur vitesse de collision ou d’interaction, H, etc ...
4 - les Ensembles ici décrits en interactions, révèlent par leur interactions (selon cette géométrie) un certain nombre de propriétés que nous essayons de comprendre, de même que si vous considérez la terre « plate » au centre de ’univers« et considérez cela comme un dogme immuable, les observations ne seront jamais conformes a vos dogmes, mais si vous changez de paradigme, terre ronde, tournant autour du soleil alors tout devient plus simple et bcp de choses deviennent évidentes, c’est ici une proposition de nouvelle géométrie qui permet d’expliquer les mesures Wmap7 et bien sur bien d’autres observations, la science a toujours progressée par de nouvelles approches, et changements de points de vue ...
5 - la vitesse de la lumière est une mesure, réelle et c’est une vitesse constante non composable et donc non relative , l’espace a une métrique, C est bien mesurable dans l’absolu
6... que vient faire votre remarque sur l’accélération ? si ce n’est que la aussi c’est faux, l’accélération est directement une interaction avec cet univers ( déformation locale de l’espace temps ) ce sont entre autre, les équations de la relativité ...
7 - tout cela a donc un sens, non seulement théorique, mais bien appliqué dans nombre de technologies (GPS par ex)... revoyez vos cours de physique visiblement incompris
8- je peux passer beaucoup de temps à pointer les non sens de vos remarques et renvois philosophiques qui finalement détruisent toute forme de »possibilité" de base de connaissance ... mais ce serait trop long
l’une des plus importantes recherches actuelles concerne, entre autres, le boson de Higgs, qui peut se décrire comme la particule/ ou l’énergie, qui permet l’existence de matiére et en fait de notre univers ... l’un des points fondamentaux derrière cette réflexion sur la nature du temps, peut aussi renvoyer à la nature ou structure du boson de Higgs... c’est à dire à la structure « énergétique » qui permet le maintient et l’existence de cet univers... la géométrie ici décrite en explique à la fois la dynamique et l’origine...
Quant à l’apéro... pourquoi pas après un bon échange sur cette structure ...
pour corriger quelques erreurs ... La vitesse de la lumière ne dépend pas de l’observateur et ne se « compose donc pas avec sa vitesse ou d’autres, c’est une constante, ce qui varie dans ce cas n’est pas la vitesse, mais la fréquence ( le fameux effet Doppler )
L’univers a un début, et effectivement ses dimensions augmentent sans cesse dans les 4 dimensions, mais le centre est le Temps Zéro, c’est à dire effectivement lorsque l’univers avait des dimensions infinitésimales ( le début de l’interaction), ce qui n’est pas contradictoire avec la structure de deux ensembles en interaction, selon l’article.
en ce qui concerne le voyage dans le vide, je vous renvoie au paradoxe des jumeaux, et le vide contient des masses avec des coordonnées entre lesquelles on voyage, quant à l’angle, revoyez la métrique relativiste et les effets des vitesses dites relativistes ... c’est justement ce changement de point de vue ( qui évite donc les infinis) mais qui respecte parfaitement l’une des notions principales de la relativité mais apporte une relation directe concernant les raisons des divers effets relativistes t liés à une géométrie »structurelle de l’espace temps et de sa déformation ... et ce qui n’est pas qu’une réalité locale ....
non, désolé , dans ce modèle la vitesse de la lumière est une barrière, car c’est par équivalence, ce qui génère notre présent ( la vitesse d’expansion ) donc on ne peut pas aller plus vite que soi même, cela comme premier point, ce modèle implique aussi que l’avenir n’existe pas autrement qu’espace de probabilités , que même des particules intriquées ne peuvent briser le principe de causalité et donne quelques pistes sur la nature du temps et quelques implications entropiques qui y sont liées , qui empêchent par exemple la notion de voyage temporel ...
enfin le temps est bien une dimension dynamique au même titre que les 3 autres dimensions d’espace, et il n’y a pas d’objets sans espace, un objet est dans l’espace 4D que nous connaissons et en subis les lois
Bravo dudule pour ce correctif nécessaire concernant l’effet tunnel, Maintenant en ce qui concerne le modéle d’univers en question ici, il n’a justement rien d’une construction mathématique, par contre il semble bien imbriquer diverses pièces du puzzle ...
Enfin, l’un des aspects de cette « géométrie », n’est pas seulement la raison ( et la raison des effets) de la vitesse de la lumière, mais bien la structure d’espace en interférences avec une structure de barrière de potentiel .... celà a quelques implications qu’il serait trop long d’expliciter ici, enfin, la structure d’univers en interférences inclus par « construction » matière et énergie « noire » c’est à dire non explicables selon les théories actuelles.
La théorie des cordes est effectivement un peu vaste , mais une « renormalisation » de cette théorie n’est pas impossible en considérant pour diverses raisons, la gravité , différemment, ce qui la aussi s’intègre bien dans ce modèle .
Enfin une publication très surprenante sur le « temps »restant« à cet univers, de la part de chercheurs européens et japonais, de l’ordre de 3.5 Milliards d’années , sur base de certains calculs théoriques, vient en quelque sorte confirmer un modèle d’univers en interférence ici présenté ( donc se terminant quand l’interférence cesse) et implique des considérations nouvelles sur la nature du temps et à nouveau sur le »front d’interférence" ( le présent) et la barrière de potentiel ....