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m.anuel

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  • m.anuel 11 janvier 2012 10:11

    C’est un très mauvais article en ce qu’il part d’une expérience strictement personnelle pour en tirer des conclusions générales, outre qu’il se plante dans les calculs. On peut être énervé ou irrité face à l’attitude très agressive de Xavier Niel, toujours est-il que son offre se démarque incroyablement de celle de ses concurrents, qu’il était temps que quelqu’un mette les pieds dans le plat et bouscule les opérateurs en place qui font depuis trop longtemps de l’entente commerciale illicite pour maintenir leurs tarifs à un niveau frolant l’escroquerie.

    Je retiens deux choses de l’offre de Free : distinguer le forfait de l’achat du téléphone, ce qui permet une liberté que nous n’avions jamais jusqu’à lors, et nous confirmer qu’un forfait illimité n’est pas réservé aux plus riches, et qu’au contraire les tarifs qui existaient étaient sans rapport avec le coût pour les opérateurs.

    Quant à l’argument du service qu’offrirait les opérateurs historiques, il fait sourire, car on peut douter que cela fut jusqu’à présent le premier critère des consommateurs.

    On aurait pu penser à un autre titre (et un autre article bien sûr) : « il a pas encore pris Free, il a tout compris ». Car l’espoir est que maintenant les opérateurs monopolistiques fassent enfin un effort de tarifs, et arrêtent de nous prendre pour des andouilles.



  • m.anuel 16 mars 2011 14:36

    La phrase : « Les occidentaux qui embrassent la foi du Dala¨Lama savent-ils qu’ils entrent dans une école particulière du bouddhisme, et qu’il en existent d’autres ? » est fausse dans son imprécision.

    Car ceux qui embrassent la foi du Dalaï Lama embrassent la foi dans l’enseignement du bouddhisme, et pas dans un enseignement propre au Dalaï Lama. Après avoir découvert le bouddhisme, les occidentaux ou les autres peuvent approfondir près de chez eux et iront en général voir ce qui existe dans leur région : bouddhisme tibétain d’une des quatre écoles, bouddhisme zen, ou theravada. Le Dalaï Lama est ainsi à chaque fois celui qui donne envie de poursuivre le chemin sur cette voie, il ne fait pas de publicité pour une école plus qu’une autre.

    Il n’est d’ailleurs même pas le chef de la lignée dont il est issu, les guelougpas, c’est dire qu’il a une place bien à part et ne prèche pas pour une paroisse particulière du bouddhisme.

    Ainsi, lors de ses enseignements, on rencontre des disciples de toutes les écoles tibétaines, y compris les Bön, mais aussi nombre de pratiquants du zen, et quelques uns, moins nombreux en France, du theravada.

    Sans compter tous ceux qui ne sont pas du tout bouddhistes, mais viennent écouter un homme inspirant, et dont l’enseignement dépasse largement le cadre du bouddhisme.

    Après, on en droit de penser ce que l’on veut de la politique du Dalaï Lama, notamment une partie de la jeune génération tibétaine qui le trouve un peu mou. Ils devraient pourtant réaliser que grace à lui, le Tibet n’a jamais cessé d’être dans l’actualité depuis 50 ans, et qu’il a permis à ce peuple de ne pas sombrer dans l’oubli, au contraire des autres ethnies écrasées, éradiquées, rayées de la surface du globe par le pouvoir central chinois.



  • m.anuel 16 mars 2011 14:31

    C’es là une vision totalement erronée du karma envisagé selon le bouddhisme : il y est dit que pour savoir d’où l’on vient, il faut regarder ses actions passées. Et pour savoir où l’on va, il faut regarder ce que l’on fait aujourd’hui.

    C’est donc l’exact inverse du fatalisme, puisque cela revient à dire que nous avons notre destinée entre nos mains, ici et maintenant.



  • m.anuel 14 février 2011 13:32

    Derrière un titre ressortant du comique troupier, on retrouve les poncifs totalement éculés concernant le Dalaï Lama, révélant qu’en définitive, on ne doit pas avoir grand chose à lui reprocher pour ressasser les mêmes refrains.

    C’est la version actuelle du dicton « quand on veut noyer son chien, on dit qu’il a la rage ». Aujourd’hui, quand on n’aime pas quelqu’un, on l’associe aux nazis et à l’extrême-droite, ça évite de réfléchir.


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