machiavelle
"Ce n'est jamais l'Homme qui prend le pouvoir, mais c'est toujours le pouvoir qui finit par posséder l'Homme en le soumettant aux conditions qu'impose son exercice, et plus cette exercice dépend d'une économie hautement industrialisé, et plus le pouvoir réduit la marge de manoeuvre de son détenteur qui dès lors n'a pas d'autre choix que de se soumettre, de partir, ou d'être elliminé"
La politique est une impasse tout comme la Cité dont elle gère les affaires.
Tout ce que la politique touche, elle le transforme inlassablement en guerre et en division. Que ce soit au travers du détournement politique de l'identité culturelle des peuples ayant engendré le Nationalisme facteur de guerre entre les peuples, ou au travers du détournement politique du refus de la guerre par les peuples, désormais instrumentalisé dans Un Nouvel Ordre Mondiale qui ne sera rien d'autre qu'une guerre d'asservissement technologique totale de la Cité contre l'ensemble du vivant dans sa globalité.
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Abstentioniste ne jugeant pas les individus en fonction de leur appartenance à une classe sociale, ni en fonction de leurs appartenance à un parti politique de droite comme de gauche.
il n'y a pas de solutions politiques, car l'existence de la politique et de la Cité dont elle gère les affaires, est LE probléme ... (Jacques Ellul)
La Cité est le symbole d'une lointaine révolte humaine contre les lois de la Nature régissant la vie et la mort, et la politique n'est que la gestion de cette révolte contre Nature cherchant à défier techniquement la mort en soumettant la vie, et l'economie aujourd'hui industrialisé son moyen d'action.
La Cité c'est Babylone la grande prostitué qui finira par dévorer ses propres enfants, mais jamais n'abandonnera sa révolte contre Nature envers la mort pourtant indispensable au renouvellement de la vie.
La politique demeure une impasse, tant que la Cité ne demeure pas entravé par des lois qui la transcende et dépasse sa seule petite réalité politique régit par la quéte d'un bonheur immanent historiquement illusoire et facteur de guerre sans fins.
La politique qui gère les affaires des sociétés établis sur le modéle de la Cité est un echec et une impasse historique qui inlassablement se répétera jusqu'à l'enfermement des populations dans des cités soutteraines à l'abri du chaos planétaire que les sociétés établis sur le modéle de la Cité auront elles mêmes engendrés.
Mais l'espoir réside cependant dans le fait que les sociétés établis sur le modéle de la Cité ne sont pas une fatalité "naturelle" et inhérente à l'existence humaine.