Pour une oreille de taureau d’élevage, combien d’ailerons de requins sauvages ? Leur agonie respective ? L’un « semble » achevé « avec respect » suivant « les règles d’un certain art » et c’est seulement occis que seront prélevés ces appendices valant trophée et apportant « la gloire » comme après tous combats « à la vie à la mort » depuis la nuit des temps. L’autre amputé sera lui dévoré par ses semblables en coulant vers les profondeurs ... Quel ratio annuel, entre les oreilles de Madrid et les ailerons de Kyoto ?
Mirbeau moqué, Mirbeau oublié, puis Mirbeau copié-collé (depuis 15 piges sur toutes les toiles alternatives), enfin Mirbeau vainqueur incontesté, fusse un bon siècle plus tard. Alors chapeau bas, Octave ! Les générations futures reconnaissantes ...