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Marc-Antoine JEULLIAU

Marc-Antoine JEULLIAU

 
La synthèse PSI qui sera ici proposée — PSI pour Principe Structuant de l'Intéraction — est un nouveau paradigme intéressant première instance la connaissance dite fondamentale et la physique DE NATURE* en particulier. Dans l'esprit scientique ledit paradime me semble s'imposer comme mettant un point d'orgue à toutes les interprétations dissonantes, révoltantes et meurtrières naissant, sur cette planète, des interprétations non conformes à une "réalité sousjascente'' à CE QUI EST à ce jour reconnu comme expérimentalement observable et interprétable dans les langages de la science.
enet d'étant est d'une simplicité extrême, si ce n'est ultime.
Il est né voilà une bonne quarantaine d'années d'un concours de circonstances, de celles qui font qu'une vie humaine peut finir par devenir , mérite d'être a bien 
Elle peut en effet être explicitée associée au langage "de NATURE" le plus simple qui soit, autrement dit en étant virtuellement illustrée par les images obtenue lors d'une simulation réaliste effectuée sur ordinateur —une animation d'images de synthèse 3D — et être ainsi sinon profondément comprise et intégrée par tout être humain doué de raison et d'intelligence qu'elle-que soit le modèle parental généré à l'image d'une langue maternelle qui aura "structuré" la base cognitive du son "cône-naissant-propre"* de son, du moins admise et reconnue figurant une sorte de sommet assymptitique du cône naissant de la nature et érigé par la communauté internationale de la connaissance scientifique.
*SANS mahs ... !
 
**autreme dit du vécu conscient ou inconscient s'enregistrant et agissant sans interuption du début à la fin d'une vie dans tout "cerveau" d'organisme vivant.
@

 

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  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 3 juillet 2015 13:42

    Du Photon-Anneau-Soliton.


    Au 19ième siècle, dans les expériences fondatrices de Faraday et d’Œrsted il avait été observé l’orientation particulière que prend l’aiguille aimantée d’une boussole lorsqu’elle est approchée d’un fil métallique conducteur dans lequel circule un courant électrique.


    Ainsi, dans le repère terrestre, si l’on maintient horizontalement une feuille cartonnée saupoudrée de limaille de fer et traversée en son centre par un fil conducteur dans lequel circule un courant électrique intense, cette limaille s’organise en ronds concentriques qui de ce fait matérialisent des lignes perçues comme émergeant de l’espace.


    Faraday avait interprété ces ronds concentriques comme étant des lignes rendant observable un champ qu’il qualifia de magnétique et qui devait emplir tout l’espace, autrement dit comme les manifestations ridées d’un substratum spatial préexistant qui ne se manifeste ainsi que lorsqu’une charge électrique se déplace en lui.


    Au 19ième siècle, les courants électriques avaient encore des aspects inconnus et n’étaient produits et observés que dans des fils conducteurs servant de ’’guides’’ autour desquels les lignes magnétiques étaient observables.


    Faraday ne l’étant pas ( à l’instar de l’auteur de ces lignes …) ce fut le mathématicien J.C Maxwell qui trouva le modèle permettant de formaliser le phénomène observé. Un modèle dit synthétique unifiant magnétisme et électricité et qui, depuis, a reçu le nom de théorie de l’électromagnétisme. Modèle éminemment concis il est vrai, parce que établi dans un langage utilisant des symboles n’admettant ni les synonymes, ni les jeux de mots, ni l’esprit véhiculé par l’humour. Mais modèle qui, nous le verrons, avait ses limites. Très loin de décrire la réalité qui se fait jour, ce modèle mathématique idéale … et qui marche … est à la physique ce que le contenu d’un livre peut être au livre, avec ou sans majuscule : un cul de sac invraisemblable.


    Aujourd’hui nous pouvons enfiler des scaphandres de spationautes et nous projeter idéalement très loin, hors de tout champ de force. Là nous allons construire un accélérateur d’électrons à moindre prix, celui de l’imagination souvent reconnue comme ... n’ayant pas de prix. Le canon à électrons de cet accélérateur pointe hors du vaisseau spatial. Il se trouve à l’extrémité d’une ligne de lumière matérialisée dans l’espace par un rayon laser émis de l’astronef. À quelques encablures de ce vaisseau une anode accélératrice est alignée sur le canon à l’aide du rayon laser. Comme dans tout type de semblable montage la vitesse des électrons sera fonction de la tension électrique produite à discrétion entre le canon cathodique et la cible anode accélératrice qui elle servira aussi de cible au flux d’électrons.


    Expérience(s) 1 : La charge positive de l’anode est au maximum de ce qui peut être obtenu du dispositif. Un flux d’électrons de très grande intensité et hyper-focalisé est produit. Ce flux d’électrons est un courant électrique circulant dans le vide. Sur son trajet pour atteindre la cible, ce flux traverse un nuage de limaille de fer. Tout du long du flux électronique, de même qu’il le ferait le long d’un fil conducteur, le nuage de limaille se structure instantanément en les anneaux dits de champ ’’magnétique’’, donc en boucles ’’magnétiques’’ concentriques.


    Observation faite et photos calibrées prises, l’expérience est reproduite à l’identique, en baissant toutefois la tension accélératrice. L’observation physique et les photos calibrées peuvent témoigner que les anneaux ’’magnétiques’’ matérialisés par la limaille sont de moindre ’’grosseur’’ que lors de la première expérience. Des expériences renouvelées en utilisant des tensions accélératrices de plus en plus faibles confirment bien que les anneaux observés diminuent de ’’volume’’ en fonctions de la baisse de la tension accélératrice. Ce que pouvait d’ailleurs parfaitement prédire la théorie électromagnétique académique. Mais bon !


    Expérience(s) 2 : Même schéma, même scénario. Cette fois nous n’allons plus diminuer la tension accélératrice à chaque réitération de l’expérience, mais faire varier l’intensité du courant électrique, autrement dit diminuer le nombre d’électrons que le canon émet dans le flux et qui sont toujours accélérés sous la tension maximum permise par le dispositif, c’est à dire toujours à la même vitesse. De même que précédemment nous avions pu voir diminuer la grosseur des anneaux matérialisés par la limaille de fer à mesure que la vitesse des électrons diminuait elle aussi, de même nous observerons que la grosseur de ces anneaux diminue ici en fonction de l’intensité du flux, donc du nombre d’électrons en mouvement dans ce flux.


    Et quand il n’en restera qu’un … il pourra être suivi tout du long de son trajet et son observation pourra être soutenue par une logique irréprochable, non probabiliste et assise sur un calcul mathématique des plus simples : une soustraction. Cet électron solitaire devra en effet être accompagné d’une boucle magnétique individuelle initialement contenue dans la boucle magnétique totalisante observée lorsqu’il se déplace en groupe parmi les milliers d’autres électrons d’un courant électrique et qui boucle (dit la théorie contemporaine des champs) comme ’’émerge’’ d’un champ mis ainsi en évidence, champ dit magnétique et qui emplirait tout l’espace.


    Maintenant, si cet électron solitaire change de direction ou est stoppé localement avant que d’atteindre l’anode accélératrice, alors cette anode sera observée recevant un photon quasi pointilliste émis par l’électron tangentiellement à sa trajectoire et qui peut être observé sous une nature ondulatoire ou corpusculaire parce que anneau-soliton quasi pointilliste. Anneau-soliton se propageant transversalement en ayant un spin droit ou gauche donné par l’électron émetteur, spin qui ici est l’équivalent de la polarisation dite de la lumière. Ainsi, en permettant l’unification (texte à venir) de tout CE QUI EST, en toute logique le modèle de ce Photon-Anneau-Soliton ne peut être que ce qui a été observé tout du long du trajet de l’électron sous l’aspect d’une boucle dite magnétique. Et cette boucle elle-même ne peut être, comme c’est le cas pour un sous-marin en déplacement dans les profondeurs d’un océan, que la ’’vague d’étrave’’ en forme d’anneau-soliton produite par l’électron en mouvement dans un substrat emplissant tout l’espace, substrat quantifié analogue à un liquide et qui peut expérimentalement être admis comme étant le repère absolu rejeté par la relativité.


    Il va aussi sans dire qu’ainsi modélisé le Photon-Anneau-Soliton se propage comme une vague solitaire se propage dans l’eau, et que de ce fait il ne peut plus obéir au modèle de Maxwell : sa propagation solitaire ne se fait pas dans un champ dit magnétique et ne produit pas une onde sinusoïdale se propageant transversalement à lui dans un autre champ dit électrique. Autrement dit, ce modèle du PAS montre que toute la physique idéalisée en l’interprétation mathématique est à revoir à l’aune d’une réalité unificatrice. Enfin ? Enfin.

    @ + ; M-A J.








  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 2 juillet 2015 01:43

    Ce n’est pas ce genre de basses critiques à la méchanceté gratuite à peine cachée que j’attends. Contacté voilà bien des mois, l’auteur du programme ayant servi à faire les illustrations de la théorie de G. Lafrenière m’avait donné l’adresse où pouvoir me procurer son outil sur le net. Mais ce programme n’est d’aucune utilité pour ce que j’ai à représenter et son auteur, d’un âge certain et probablement échaudé … n’a pas tenu à remettre ses lunettes pour le revoir à ma convenance.

    Il doit en effet être entendu que je ne cherche pas à faire des ronds dans l’eau qui se propageraient continûment, mais des ronds solitons en forme de ’’bouées’’ qui, dans l’eau, se propageraient ’’comme’’ les ronds de fumée le font dans l’atmosphère, de front mais en profondeur et sans se déformer. Ronds qui, et ce n’est pas compliqué à expérimenter, se comportent soit comme des ’’objets’’ ondulatoires, soit comme des objets ’’corpusculaires’’ . Et cela selon les conditions et la façon de se présenter de ’’l’objet’’ avec lequel ces solitons interagissent. Autrement dit, en les termes d’une MQ finalement mal fagotée et incomplète, selon l’appareil de mesure utilisé pour les observer.

    Mais bon ! « cría cuervos y te sacarán los ojos ... »

    M-A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 1er juillet 2015 19:35

    @ JC Lavau.


    C’est qu’effectivement, né et ayant passé sa jeunesse dans la haute patate (70 …), l’auteur ici moqué – et sachant le faire de lui-même et mieux que quiconque – aurait beaucoup à dire sur ce sujet. Mais déjà, ce qui ci-dessus a inspiré le fond de son intervention c’est que ce qu’il est parvenu à mettre ’’en lumière’’ en ses petits PAS, les Photons-Anneaux-Solitons- a bien été ’’cerné’’ par les langages outils inventés par la pensée humaine, mais que ces langages ont mis l’humanité dans une PURÉE ni spirituellement, ni intellectuellement, ni matériellement comestible et que seule une visualisation virtuelle de CE QUI EST, virtualisation qui SEULE arrive à faire la synthèse de tous les langages l’ayant permise, donnerait aux esprits s’échauffant au moindre souffle les moyens de retrouver … la frite.

    Maintenant, imaginez que, amateur éclairé parce que sorti de sa caverne, vous ayez trouvé ’’ça’’ dont il est débattu ci-dessus et que vous ayez l’audace d’en parler pour tenter d’éclairer de sombres contemporains ... comment est-ce que vous vous y prendriez pour que votre façon de faire ne finisse pas par être jugée impertinente, prétentieuse et hors des rails.

    Si donc il y a parmi vous un(e) infographiste spécialiste de l’animation d’images de synthèse qui s’ennuie et soit prêt(e) à DONNER de son temps pour représenter en animation – et en vidéo – le phénomène que ce modèle du photon petit PAS permet de faire, cette offre ne pourrait qu’être la bienvenue en permettant, dans le seul mode d’expression compréhensible en ce monde et sans espérer décrocher la Lune, le grand pas espéré par la Terre entière vu que les mots – comme aussi les chiffres – finissent toujours par irriter les sens, tous les sens.

    @+, si vous le voulez bien ! M-A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 30 juin 2015 21:27

    Bonsoir,

    Il est indéniable que l’outil mathématique ’’fonctionne’’ et qu’il est le plus approprié pour ’’dégrossir’’ les lois de l’Univers. Mais en toute logique – s’il en est ainsi – c’est qu’il permet d’atteindre ’’comme’’ une copie conforme de ce que nous dit d’elle la Nature, comme une transposition, une tentative de traduction, donc une trahison ... Et si ce langage mathématique ’’colle’’ au plus près à ce que nous expérimentons, c’est que l’Univers, la Nature, ses éléments, ses particules et l’énergie dont ce tout émerge, ce tout apparaît comme quantifié et que les parties observées peuvent ainsi être combinées en morceaux (du ♫... => ...) dans les langages inventés par l’humanité ... Mais, de même que ces langages humains sont incomplets et ne peuvent ainsi que dire vaguement CE QUI EN SOI EST (fondamentalement donc …), de même, sans les mots et les schémas ( sans le verbe, dessins … et l’esprit qui rime avec humour ...) les symboles utilisés par la mathématique n’auraient aucuns sens. En effet in fine cette symbolique ne permet de préciser ’’que’’ les mots des langages quotidiens et donc les définitions puis les descriptions d’expériences qu’ils permettent en les domaines où ’’mesurer’’ s’impose.


    Dans la quête de ses origines, c’est en espérant maintenant atteindre la source fondamentale de son Univers – puis du Cosmos – que l’humanité a inventé tous ces langages. Mais jusqu’ici elle n’a pu que ’’cerner’’ ( à Genève … et ailleurs) cette source qui s’annonce comme l’origine de tous nos repères (langagiers, spirituels, mathématiques – cf. cartésiens et autres – ), au seuil de cette source qui à priori ne pourrait plus être comparée à quoi que ce soit qui lui ’’ressemblerait’’ (donc serait à son image ...), et à fortiori aux symboles inventés par la pensée humaine, lesdits symboles n’ont plus aucun sens et par conséquent ne peuvent plus rien ’’exprimer’’.


    C’est dire que ce qui émergerait alors de cette source ne pourrait plus être appréhendé que par un « trink », par une THÉORIE PHÉNOMÉNOLOGIQUE VIRTUELLE VISUELLEment appréhendable qui permettrait de faire LA SYNTHÈSE de tous les points de vue humainement exprimés sur cette Terre, et exprimés nous le constatons par des langages fondamentalement incompréhensibles donc trompeurs. C’est qu’en ces langages et langues l’hanté dit lu vient encore et de plus en plus, l est indéniable que l’outil mathématique ’’fonctionne’’ et qu’il est le plus approprié pour ’’dégrossir’’ les lois de l’Univers. Mais en toute logique – s’il en est ainsi – c’est qu’il permet d’atteindre ’’comme’’ une copie conforme de ce que nous dit d’elle la Nature, comme une transposition, une tentative de traduction, donc une trahison ... Et si ce langage mathématique ’’colle’’ au plus près à ce que nous expérimentons, c’est que l’Univers, la Nature, ses éléments, ses particules et l’énergie dont ce tout émerge, ce tout apparaît comme quantifié et que les parties observées peuvent ainsi être combinées en morceaux (♫... => ...) dans les langages inventés par l’humanité ... Mais, de même que ces langages humains sont incomplets et ne peuvent ainsi que dire vaguement CE QUI EN SOI EST (fondamentalement donc …), de même, sans les mots et les schémas ( sans le verbe, dessins … et l’esprit qui rime avec humour ...) les symboles utilisés par la mathématique n’auraient aucuns sens. En effet in fine cette symbolique ne permet de préciser ’’que’’ les mots des langages quotidiens et donc les définitions puis les descriptions d’expériences qu’ils permettent en les domaines où ’’mesurer’’ s’impose.


    Dans la quête de ses origines, c’est en espérant maintenant atteindre la source fondamentale de son Univers – puis du Cosmos – que l’humanité a inventé tous ces langages. Mais jusqu’ici elle n’a pu que ’’cerner’’ ( à Genève … et ailleurs) cette source qui s’annonce comme l’origine de tous nos repères (langagiers, spirituels, mathématiques – cf. cartésiens et autres – ), au seuil de cette source qui à priori ne pourrait plus être comparée à quoi que ce soit qui lui ’’ressemblerait’’ (donc serait à son image ...), et à fortiori aux symboles inventés par la pensée humaine, lesdits symboles n’ont plus aucun sens et par conséquent ne peuvent plus rien ’’exprimer’’.


    C’est dire que ce qui émergerait alors de cette source ne pourrait plus être appréhendé que par un « trink », une THÉORIE PHÉNOMÉNOLOGIQUE VIRTUELLE VISUELLE qui ferait LA SYNTHÈSE de tous les points de vue humainement exprimés sur cette Terre par des langages fondamentalement incompréhensibles donc trompeurs, langages et langues où l’hanté dit lu vient faire qu’encore et de plus en plus semble-t-il, au fond des cours des habitations et constructions en forme de tour le bât bêle … 

    M-A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 29 juin 2015 02:40

    @JC_Lavau

    Si j’ai bien compris Mr Lavau, ça va être grâce à vous que la théorie dite du PSI COQ logique (pour Principe Structurant de l’Interaction en Champ-Onde-Quantum ... et ce depuis la fin des années 1980) va pouvoir recevoir une première ’’vraie’’ critique scientifique. Si c’est bien le cas j’en serais ravi.

    Habitant en région Rhône-Alpes je pense qu’en cette occasion nous ne tarderions pas trop à nous rencontrer vu que mon état de santé ne peut maintenant que rapidement décliner et qu’il serait pour le moins absurde de rater le rendez-vous arrivant en toute coïncidence et proposé par l’ONU. Cette organisation a en effet proclamé 2015 ANNÉE Internationale DE LA LUMIÈRE.

    Aussi, vu que le PSI COQ est français avant que d’être scientifique, il ne faudrait pas, si sur ce lumineux sujet la MAJ de MA J. est la bonne, qu’elle rate cette fête où l’humour ne peut pas être en reste. En effet ce COQ entre dans une triade où en se concoctant l’esprit y est tout imprégné du ’’trink’’ rabelaisien et ne peut rester, se dire en y faisant illusion et allusions, à la queue … Il semblerait en effet que ce ne soit ni l’œuf, ni la poule qui en leur matière puissent être ’’premiers’’, mais bien le COQ dont il est ici question...

    Et si son inventeur désire rester sous pseudonyme sans avoir à subir les projecteurs de cette société, c’est qu’ayant fait seul le chemin menant à ce PSI COQ logique avec des bouquins pour tout barda, il compte bien boucler cette boucle magnétique dans des conditions analogues. Autrement dit sans basse cour.

    En attendant, jouer du clavier à une seule main parce que la ’’bonne’’ ne t’obéit plus … pour qui y est obligé c’est assez galère. Mais bon, j’arrive ! Mais faut pas pousser quoi … ! Enfin si, si, j’oubliais ! J’oubliais encore qu’en 4 roues libres ... ça finit par être hyper espéré ... d’être poussé.

    @+ ; M-A J.

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