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Marc-Antoine JEULLIAU

Marc-Antoine JEULLIAU

 
La synthèse PSI qui sera ici proposée — PSI pour Principe Structuant de l'Intéraction — est un nouveau paradigme intéressant première instance la connaissance dite fondamentale et la physique DE NATURE* en particulier. Dans l'esprit scientique ledit paradime me semble s'imposer comme mettant un point d'orgue à toutes les interprétations dissonantes, révoltantes et meurtrières naissant, sur cette planète, des interprétations non conformes à une "réalité sousjascente'' à CE QUI EST à ce jour reconnu comme expérimentalement observable et interprétable dans les langages de la science.
enet d'étant est d'une simplicité extrême, si ce n'est ultime.
Il est né voilà une bonne quarantaine d'années d'un concours de circonstances, de celles qui font qu'une vie humaine peut finir par devenir , mérite d'être a bien 
Elle peut en effet être explicitée associée au langage "de NATURE" le plus simple qui soit, autrement dit en étant virtuellement illustrée par les images obtenue lors d'une simulation réaliste effectuée sur ordinateur —une animation d'images de synthèse 3D — et être ainsi sinon profondément comprise et intégrée par tout être humain doué de raison et d'intelligence qu'elle-que soit le modèle parental généré à l'image d'une langue maternelle qui aura "structuré" la base cognitive du son "cône-naissant-propre"* de son, du moins admise et reconnue figurant une sorte de sommet assymptitique du cône naissant de la nature et érigé par la communauté internationale de la connaissance scientifique.
*SANS mahs ... !
 
**autreme dit du vécu conscient ou inconscient s'enregistrant et agissant sans interuption du début à la fin d'une vie dans tout "cerveau" d'organisme vivant.
@

 

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Derniers commentaires



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 10 juillet 2015 06:07

    BonTout.

    Bingo … !

    J. Gréa m’avait prévenu, lui qui m’avait proposé gracieusement la formation mathématique par lui jugée nécessaire si je voulais ’’discuter’’ de mon modèle avec le monde dit savant : « Sans formalisme mathématique pour exposer un tel modèle, vous allez être traité de fou par ceux qui ne voient le monde qu’à travers ça … » D’où l’avatar que je me suis choisi pour couper court aux supputations … et qui ne manque pas d’inspirer et solliciter les ’’mЀmes’’ ./

    Lors de nos 2 rencontres, je n’avais pas eu le temps, ni à l’époque les arguments (fin 198*... ) pour le convaincre que si les maths avaient permis de ’’cerner’’ ce modèle et de l’approcher au plus près, je ne voyais alors pas comment ces maths pourraient expliquer-formaliser l’origine d’un repère, quel qu’il soit … ? Je ne vois toujours pas … De l’origine de notre Univers en passant par le zéro origine des nombres, puis par l’origine d’un repère cartésien ou d’espace-temps, si quelqu’un à une idée c’est le lieu ici d’en faire profiter la galerie.

    M-A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 5 juillet 2015 08:31

    BonTout.

    Qui lit ce forum aura sans doute compris que celui qui m’a pris pour un virus de la grippe, voire de la ch-asse ou de la moins prosaïque colique, (cf. le : persiste à nous faire ch-aque ...) est un farouche adversaire de la Mécanique Quantique, et qu’il ne se pose plus la question de savoir, puisque ses réussites sont nombreuses, si en allant vers plus de réalité elle ne pourrait pas être améliorée. Non, voulant avoir raison à tous prix, le quidam nous refait ici le coup déjà fait par lui à Wikipédia vu qu’il ne faut surtout pas le corriger ou contredire. Aussi laissons là ce genre d’affamé de triomphes dialectiques en tous genres retourner à son cure-dents et au grattages de gencives crocodiliennes, vu que cela semble lui apporter de quoi se repaître de restes non encore digérés. Ping Hong Chun … Tout krank qu’il puisse être il peut encore apprendre, la preuve ./


    L’expérience d’Afshar est une expérience de MQ visant à montrer qu’on peut outrepasser le principe de complémentarité de Niels Bohr, en permettant d’observer, simultanément, l’aspect corpusculaire et ondulatoire de la lumière. Et cet aspect ondulatoire et corpusculaire de la lumière est précisément ce que la théorie que je propose permet d’illustrer et qui, soutenue par l’expérience, permet d’expliquer d’une façon ’’réaliste’’ les explications alambiquées de l’interprétation copenhaguienne de la MQ. Ainsi cette expérience d’Afshar soutient la théorie que j’émets, et cela d’autant plus qu’elle est faite avec des trous circulaires et non plus avec des fentes de Young. Par conséquent, vu qu’il est au faîte de certaines connaissances, je ne vois pas pourquoi l’intervenant précédent cite ladite expérience comme une contradiction rédhibitoire de ma théorie. Mais bon ! Trop estomaqué peut être ? C’est alors possiblement une question de PH. Ding dong … passing-shot … dur dur !


    Le photon ondulatoire-corpusculaire de ma théorie, le Photon-Anneau-Soliton, peut être représenté par l’animation visible à l’adresse suivante et trouvée sur le net il y a plusieurs années déjà alors que j’y cherchais des infographistes ’’amateurs’’ qui pourraient m’aider à faire – gracieusement – les animations dont ma théorie a besoin.

    C’est à l’adresse suivante et encore un grand merci à qui, au bout du monde, a imaginé et produit ça : http://tumblr.shockblast.net/post/49253138859


    Cette anime est en effet idéale pour illustrer le Photon-Anneau-Soliton ou ’’objet’’ ondulatoire-corpusculaire de ma théorie qui, sans se déformer, viendrait de face vers l’observateur en se ’’propageant-déplaçant’’ dans un substrat emplissant tout l’espace.


    Dans cette animation les avants-bras qui spiralent sont représentatifs des molécules constitutives du substrat spatial nécessaire à cette propagation ondulatoire. Ces molécules sont en mouvement spiral – donc vibratoire – dans le ’’corps’’ du Photon-Anneau-Soliton. Et ce Photon est aussi ’’corpusculaire’’ puisque localement observable comme un anneau, et ’’ondulatoire’’ puisque perturbation vibratoire en forme d’anneau soliton de l’espace. Ainsi, ce que nous observons ici est la propagation transversale d’un soliton en anneau, propagation polarisée produite par les ’’mouvements internes’’ en spirales de ses constituants’’. Et ces ’’attributs’’ du Photon-Anneau-Soliton sont finalement causés par la propagation-mouvement de l’électron qui l’a émis. C’est que cet électron en mouvement dans l’espace aurait pu être observé possédant un spin tout en se déplaçant sur sa trajectoire … comme cela a déjà été longuement explicité dans les interventions précédentes de l’auteur.


    Maintenant, lorsque plusieurs de ces Photons-Anneaux-Solitons sont émis à des intervalles de temps identiques, ils forment un train ’’ondulatoire-corpusculaire’’ pouvant être interprété et observé comme une onde dite électromagnétique, voire comme le train d’onde de la MQ. Et c’est probablement pour cela que les recettes mathématiques de Maxwell et de Schrödinger fonctionnent lorsqu’ils sont utilisés en électromagnétisme et en Mécanique Quantique.

    En relativité générale, la gravitation est formalisée en un modèle de la géométrie laissant entendre quelle est due à une courbure de l’espace ; courbure qui y serait produite dans tous les plans par les masses qui y baignent et qui sont, nous a démontré Einstein, constituées d’énergie. La lumière étant maintenant couramment observée comme déviée par la courbure spatiale produite par une masse importante, nous sommes amenés à penser – malgré le fait que cette lumière est reconnue comme ne possédant pas de masse – que l’énergie dite ’’pure’’ comme le serait un Photon-Anneau-Soliton est aussi à l’origine d’une courbure de l’espace dans lequel il se propage-déplaçe. Ainsi cette courbure est symptomatique de la gravitation produite par toute énergie-matière, autrement dit par toute particules ondulatoire-corpusculaire. Et cette courbure se propage dans l’espace et en disparaît à la vitesse de la lumière lorsque de la matière-corpuscules y est désintégrée.


    Si donc nous voulions observer la courbure produite dans cet espace par un Photon-Anneau-Soliton que l’on ne peut arrêter au risque de le faire ’’ondulatoirement’’ disparaître, nous serions contraints de tenter de suivre son ’’éternel’’ propagation-mouvement à la vitesse « c » et cela en nous asseyant dessus comme l’avait, dit l’histoire, rêvé Einstein dans sa jeunesse.


    Ainsi, vu que cette courbure ’’gravifique’’ doit se propager et disparaître à la vitesse « c » de la lumière, en toute logique CETTE COURBURE NE PEUT ÊTRE MANIFESTE QU’À L’INTÉRIEUR D’UN PHOTON se déplaçant déjà à cette vitesse, autrement dit cette courbure ne pourrait être localement QUE CELLE DE L’ESPACE EN VIBRATION LOCALE DONNANT L’ÊTRE à UN PHOTON-ANNEAU-SOLITON … ou à tout quantum d’énergie se propageant-déplaçant lui-même à la vitesse « c », autrement dit À LA MATIÈRE qui se structure lors des interactions de ces quanta.


    C’est dire que, sous cette lumière aveuglante à laquelle l’auteur de ces lignes s’est accoutumé lors d’une quarantaine studieuse, réflexive et solitaire, tout est à revoir. Ainsi ce modèle du Photon-Anneau-Soliton permet de prédire et de virtuellement pouvoir assister par la simulation sur ordinateur à ce qui ’’réellement’’ doit se passer lors de la rencontre de deux Photons-Anneaux-Solitons gamma. Cette interaction, où la gravitation n’est pas absente, donne en effet naissance à deux particules pondérables, un électron et un positron. C’est dire que ce modèle permet d’assister virtuellement à la matérialisation de l’énergie des deux « g » en 2 charges électriques dont on pourra ’’voir’’ battre les cœurs, donc en 2 particules pondérables, donc à la matière qui nous compose. L’unification de ce qui a été appelé forces et matière est alors consommée … N’oublions pas en effet que lorsque nous touchons quelque objet que ce soit, de même que l’être vivant que nous saluons, nous entrons en contact avec les électrons périphériques des atomes qui les constituent, c’est-à-dire avec des charges analogues, voire identiques à celles que la physique décrit comme composant les nucléons.


    Ce qui s’impose alors, Ici et maintenant, c’est que TOUT CE QUI EST est manifestations vibratoires stationnaires et composites pouvant être réduites en solitons-anneaux locaux, autrement dit en vibrations se propageant en l’intérieur d’un espace-temps-éther. C’est dire, avec de nombreuses philosophies voire religions, que TOUT est en UN puisque TOUT émerge de ce substratum spatial unique, de ce champ unique, de cet éther des terres.


    Et puisqu’il faudra bien le dire, il n’y a pas là de BEH qui tienne.


    @+ … M-A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 4 juillet 2015 21:53

    Les équations de Maxwell font partie d’une ’’recette’’ mathématique dont se régalent ses amateurs et qui en ce sens ’’fonctionne’’. Recette ’’idéelle’’ qui ne décrit pas ce qu’une ’’réalité’’ observable de visu pourrait être ou EST.

    Mais ce modèle est la transcription-traduction, dans le langage des maths, du modèle prôné par Faraday qui au 19ièm s. ne pouvait savoir qu’un électron solitaire pouvait être observé en mouvement dans un substrat spatial du genre éther. Déplacement qui produit, nous l’observons expérimentalement tout autour de l’électron, une ligne observable comme ’’un anneau et dite magnétique parce que l’aiguille d’une boussole s’y oriente’’. S’il avait pu se douter de cela, il est évident que la théorie du champ qu’il nous a laissée n’aurait pas pu voir le jour en les termes qu’il a utilisés, et qu’en voulant transposer cette vision en son mode d’expression préféré Maxwell n’aurait pas composer le morceau chiffré qui met encore toute sa troupe au pas cadencé calculé … et non encore aux PAS, autrement dit en la Propagation en Anneau Spatiale très spéciale du Photon-Anneau-Soliton.

    Encore une fois, le Photon-Anneau-Soliton dont il s’agit ici est une visualisation objective, autrement dit un ’’objet’’ pouvant être comparé à un rond dans l’eau, rond qui s’y propage non plus en surface mais dans les profondeurs et cela sans se déformer (d’où l’aspect soliton) tout en ayant un SPIN OBSERVABLE qui est ’’comme’’ un ’’mouvement’’ de giration effectué autour d’un axe ? Ceci parce que les molécules d’eau qui ’’matérialisent’’ cet anneau-onde-’’corpuscule’’ ne tournent plus en ronds sur des plans pouvant être dits transversaux à la propagation de la perturbation ondulatoire (à l’anneau donc) mais en décrivant, à l’intérieur et tout du long de la circonférence de cet anneau, des trajectoires en spirales. Pour ’’voir ça’’ il suffit d’imaginer qu’une grosse pierre tombe en tournant comme une toupie en touchant la surface d’un plan d’eau, pierre dont on peut suivre la trajectoire dans les profondeurs tout en pouvant y observer ’’en soi’’ la vague d’étrave qu’elle y produit …

    Mais bon ! Dans la vie chacun commence à avancer comme il le ’’sent’’, autrement dit comme il a été lancé … Et c’est bien connu. Et quand ça ne tourne pas rond … c’est très très, mais très carré. Ou dans le désordre complet.

    Toupie hors note … ! ? TOUPIE ./

    Maintenant serait-ce trop demander que de solliciter le soutien – sans parti pris – de celles et ceux qui lisent ce forum. Leur présence et nombre conditionnera la suite de mes interventions. Pour cela il suffit de cliquer sur le ’’bouton’’ prévu afin de se manifester sur une de mes interventions par un vote comptabilisé par un compteur … Mais rebond !

    @ + ? … M-A J.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 4 juillet 2015 02:02

    Pour qui n’aurait pas suivi l’histoire du Photon-Anneau-Soliton

    Par la pensée se rendre dans l’espace, en apesanteur, avec un ballon de basket dans une main. Se dire que ce ballon est un électron au repos dans cet espace.

    Toujours par la pensée, faire tourner rapidement ce ballon comme une planète possédant un champ magnétique et le pousser pôle nord ou sud en avant à grande vitesse sur une trajectoire rectiligne.

    Dès lors imaginer qu’une bouée en anneau s’est matérialisée sur l’avant, autrement dit sur l’étrave du ballon et s’y maintient collée pendant tout son déplacement. Comprendre que de même que la vague d’étrave produite par un navire en mouvement sur une étendue d’eau ’’comme roule’’ sur cette étrave, de même notre bouée ’’comme roule’’ sur elle-même comme on le ferait d’un crayon entre ses doigts, et plus précisément comme une bague en caoutchouc mou que nous retirerions difficilement de notre doigt en la faisant tourner transversalement comme ladite vague, mais aussi et en même temps en la faisant tourner comme une chambre à air fixée à une roue tournant sur son axe. Le mouvement de ’’roulement transversal’’ de cette bouée fictive étant donné par le déplacement du ballon-électron dans le substrat emplissant tout l’espace, et sa giration de toupie lui étant donnée par celle du ballon illustrant le spin reconnu possédé par un électron.

    La bouée étant la matérialisation de la vague d’étrave que le ballon-électron produit dans l’espace lors de son déplacement, cette vague d’étrave se détachera et poursuivra son chemin en ligne droite lorsque le ballon sera brutalement stoppé (ou changera de direction).

    Dans la théorie non rendue publique que ce modèle introduit depuis plus de 40 ans, la bouée et ses deux ’’rotations’’ imbriquées modélisent ce que la physique contemporaine et l’optique ondulatoire appellent un PHOTON ou grain de lumière, quantum observé soit comme un ’’truc’’corpusculaire possédant un spin lui conférant une polarisation, soit comme une onde transversale. Ce qui est parfaitement rendu par le modèle réaliste proposé qui n’est probablement pas traduisible dans le langage mathématique, autrement dit formalisable.

    Et c’est en gros ce que le long texte ci-dessus tentait d’expliquer en essayant d’être le plus près possible du phénomène, donc le plus précis possible. Mais bon ! Si cela semble encore tiré par les … je veux, c’est qu’en … minimum vieillesse et minimum santé, ne pouvant faire plus que ce que je peux, il semblerait qu’ici aussi cela irrite un Bohr né.



  • Marc-Antoine JEULLIAU Marc-Antoine JEULLIAU 3 juillet 2015 22:18

    @JC_Lavau

    Il me semble que nous ne sommes pas ici dans une grande école en train d’assister à un cours de physique-mathématique ... !

    Ce qui ci-dessus a été rappelé en début de mon intervention et ce qui a suivi de mon cru (et ce qui va suivre ...) n’aurait pas pu être traduit et donc ’’condensé’’ dans le langage mathématique puisque c’est cette façon d’exprimer, soutenir et simplifier la physique dite fondamentale – et à fortiori les modèles maxwellien – qui y est ici et en premier lieu remis en cause.

    La seule ’’simplification’’ possible à apporter à mon laïus serait de pouvoir assister visuellement à une manifestation du phénomène décrit, représentation soutenue par ce qui se sait aujourd’hui et est expérimentalement admis sur le sujet. Mais manifestation-représentation pouvant maintenant être faite sans qu’aucun mot, ni qu’aucune formule mathématique dite savante ne soient utilisés et que, malgré cela, quel que soit la langue dans laquelle il s’exprime (maternelle ou non) tout individu né sur notre Terre serait en mesure de comprendre.

    Et puisque le phénomène dont il est question se déroule dans des dimensions infinitésimales auxquelles nos sens n’ont pas accès, il ne reste que l’analogie permise par le virtuel, autrement dit par l’animation d’images de synthèse.

    En attendant qu’une âme charitable se présente, il ne vous reste qu’à prendre une feuille et un crayon et, si ça vous chante, à tenter le dessin en suivant mon explication phénoménologique : J. Gréa aurait pu confirmer le dit-on, un bon dessin vaut mieux qu’un long discours. Mais CE QUI EST n’étant qu’énergie-matière en propagation-mouvement l’invention de l’image animée a aujourd’hui dépassé le bon vieux dessin.

    Mais bon ! Ici et maintenant ce sera bien comme vous voudrez vu que j’aurai fait tout ce que me permettaient mes ’’art’’ et compétences … ./

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