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Mathias Delfe

Mathias Delfe

Jean-Michel Guillaume alias Quentin Sax, alias Mathias Delfe.
Ancien ! Ancien étudiant en philo, ancien éducateur spécialisé, ancien artisan plasticien, ancien BTS audiovisuel, ancien auteur de polars (Quentin Sax - Fleuve Noir), ancien de France 3, ancien des forums du Net.
Toujours polygraphe et photographe.

En matière d’information, l’objectivité n’est qu’affaire de prisme.

Tableau de bord

  • Premier article le 28/11/2006
  • Modérateur depuis le 17/04/2008
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Derniers commentaires



  • Mathias Delfe Mathias Delfe 11 octobre 2008 10:17
    Picasso s’est approprié Velasquez et Paul Villach Bouvard et Pécuchet. Dans un cas on assiste à une évolution de l’art pictural, laquelle évolution deviendra bien plus radicale avec l’abstraction, dans l’autre à une révolution dans la pensée critique qu’on espère indépassable : parler avec une inébranlable assurance de ce à quoi on ne pige rien, comme par exemple l’exigence de l’artiste à créer du neuf à partir de l’existant.
    Du même auteur, on attendra avec impatience la mise au pilori de la Nouvelle Vague, du nouveau roman, de toute l’architecture depuis le style Art déco, de la musique savante post-Wagner enfin, et la réhabilitation de Jean Girault (le réalisateur du Gendarme de St-Tropez), du regretté Guy des Cars (Guy des gares comme disaient les jaloux de son immense talent), du baron Haussmann et de Sambre et Meuse jouée par l’orphéon municipal.


  • Mathias Delfe Mathias Delfe 9 octobre 2008 19:23

    Bernard, mon sac de poil à gratter s’appelle reviens !
    Le pire -ou le meilleur- est que tu as probablement raison smiley



  • Mathias Delfe Mathias Delfe 3 octobre 2008 15:40

    La belle affaire ! Avec en bouche les mots de leurs conseillers, Royal ou Sarkozy ne sont pas si mauvais non plus.
    Personnellement, Sarah, je la préfère au naturel, entourée de sorciers et de dinoféroces.



  • Mathias Delfe Mathias Delfe 2 octobre 2008 14:37

    Prenez une pincée d’ « auteurs » très majoritairement issus de la bourgeoisie bécébégé, qui ont connu des jeunesses sans aspérités, loin des drames intimes et plus encore des bouleversements historiques (et ça va empirer à l’avenir avec les gosses de trois ans qu’on affuble de casques et de genouillères dès qu’ils avancent sur leur tricycle au pas de leurs parents dans les rues piétonnes), ajoutez une énorme poignée de ce financement télévisuel qui exige pour les diffuser des produits accessibles et reconnaissables par tous, saupoudrez avec l’éternel trio épouse-mari-amant(e) légèrement épicé par une liberté de choix très tendance supermarché (l’amant de madame peut être une femme et la maîtresse de monsieur un homme), secouez, nappez enfin avec le système réseau-copinage, et vous obtenez l’essentiel du cinoche français, hors des polars qui, à de rares exceptions près (« Le petit lieutenant  », par exemple ou le déjà ancien « J’irai au paradis car l’enfer est ici  » du beaucoup trop rare Xavier Durringer*, et surtout pas la soupe Olivier Marchal), copient péniblement les productions américaines, elles-mêmes de plus en plus « déjà vu ».

    Même la biographie filmée des « grandes figures » – très appréciée des télés- ne marche pas à tous les coups : Piaf, ça passe, Sartre/Beauvoir aussi, Sagan, à mon avis, ça coince, pas à cause de Diane Kurys, certes pas surprenante mais qui filme proprement, pas à cause de Sylvie Testud, qui s’applique à « être » Sagan dans une performance de composition qui, paradoxalement, aurait fait hurler une Nouvelle Vague qui préférait la « vérité » de l’acteur à celle du personnage, mais à cause du sujet lui-même : ce que ses romans laissaient supposer, son existence le confirme, Françoise, pauvre petite fille riche, n’avait vraiment rien de passionnant.
    Rien de passionnant, ça définit bien le cinéma français de grande diffusion, comme d’ailleurs la littérature dont il s’inspire souvent. Malheureusement, dans l’un et l’autre cas, l’alternative est aussi rare qu’il est périlleux de s’y inscrire.

     

    *pas assez consensuel, bien sûr.



  • Mathias Delfe Mathias Delfe 1er octobre 2008 17:54

    A un moment, faut se décider à passer au stade oral, mon cher Sandro.

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