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maxime vivas

maxime vivas

Ecrivain (prix Roger vailland 1997).
 Romans dans les genres : social, policier, historique, altermondialiste, humour.
 Essai.
Recueils de nouvelles.
Articles dans la presse.
Chroniqueur à Radio Mon Païs à Toulouse.

Tableau de bord

  • Premier article le 16/07/2007
  • Modérateur depuis le 19/03/2012
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Ses articles classés par : ordre chronologique












Derniers commentaires



  • maxime vivas maxime vivas 6 août 2007 20:47

    Vous écrivez : « Vous vous attardez tellement aux détails que vous n’y voyez plus clair sur le fond, tel un papillon nuit se ruant sur la chandelle. »

    Dur, l’usage des métaphores ! Le papillon ne voit pas les détails, justement : juste la chandelle (le fond).

    Là se mesure l’ampleur de nos divergences dans la recherche de la lumière. Notre discussion tourne en rond et je crois que nous sommes les deux seuls à nous lire. Sans plaisir.

    Comment mettre un terme ? Ah oui : vous avez raison à 100 % (à 200% si on ajoute Duquenal) et tout ce que vous avez révélé sur RCTV est vrai à, heu, 300 % (je peux négocier le chiffre, mais pas trop, ne m’humiliez pas).

    PS. Vous n’avez bien sur pas écrit que vous vous accommodiez du Bushisme. Pour cela il eut fallu un éclair de franchise. Mais tout ce que vous avez écrit nous éclaire (comme la chandelle du papillon, etc.).



  • maxime vivas maxime vivas 6 août 2007 18:03

    « Memri, c’est de la merde. » J’ai écrit ça ?

    Vous dites à propos du LA Times : « par dépit, j’ai ignoré votre source après l’avoir discréditée) ». Vous l’ignorez d’autant plus qu’elle vous contredit. Naguère vous me soupçonniez de ne me renseigner qu’à Caracas ou à La Havane.

    Vous écrivez : « J’ai donné des extraits des réflexions de Castro, vous les ignorez, parce qu’elles n’étaient pas in extenso. » Un in extenso qui ruinerait votre accusation « d’insanité ».

    Dans ces deux cas, vous vous défilez devant le défi que je vous ai lancé.

    Sur l’Iran, je ne verrais « rien de mal à ce que Ahmadinejad puisse souhaiter rayer le régime d’Israël de la carte » ? Tiens, naguère vous écriviez : « rayer Israël de la carte » ! Vous n’avez pas entendu parler des souhaits d’Israël de rayer de la carte (politique, hein !) plusieurs régimes, dont l’iranien ?

    Vous me conseillez de rester « seul, avec [mes] ouailles, dans ce monde qui ne souffre aucune critique ». Mais vous confondez encore « critiques » et « mensonges ». Vous confondez aussi arguties et arguments, soit dit en passant.

    Et de plus, je ne suis pas trop seul : la majorité de l’humanité honni le régime bushien dont vous vous accommodez si bien et que vous ne pouvez défendre par l’exposé des faits. Lesquels vous gênent comme la lumière est douloureuse aux oiseaux de nuit.

    Et tout ça, parce que Chavez rend à la nation l’argent de son pétrole !



  • maxime vivas maxime vivas 6 août 2007 08:43

    RCTV. Sur la crédibilité de nos sources.

    Résumé : Saint-Pierre m’accuse de fonder mes dires sur une source unique (gauchiste, pardi !) et ils regrette les « insanités » proférées par Castro chaque semaine.

    J’ai alors donné à lire in extenso un article documenté sur RCTV publié par un journal des Etats-Unis et je lui demande en échange de nous horrifier du texte intégral d’un article insane de Castro.

    Résultat : Saint-Pierre botte en touche (comme toujours). Pas un mot sur le contenu de l’article du Los Angeles Times et il nous offre quelques titres ou courts extraits des textes de Castro, accompagnés de commentaires saint-pierresques.

    Déballonade !

    Mon contradicteur affirme que, pour moi, « tout le monde ment », sauf moi. Erreur ! Les versions saint-pierresques de la situation du monde sont minoritaires. Les USA, le Canada, l’Europe, ne sont pas le monde. La plupart des Etats sont sur d’autres approches. Ils représentent, et de loin, la grande majorité des humains.

    Sur l’Iran où Saint-Pierre m’entraîne parce que le terrain vénézuélien lui brûle les semelles, d’un seul coup : il est clair que Ahmadinejad est un ennemi d’Israël. Je n’ai rien à voir avec ses options religieuses et je ne suis pas pro-iranien. Je m’en trouve d’autant plus à l’aise pour vous signaler que la version des propos du dirigeant iranien, présentés par la presse mondiale (celle qui a vu Chavez « fermer » RCTV) comme : « Il faut rayer Israël de la carte » sont démentis par des traducteurs professionnels, au-delà des tendances politiques. Pour ceux-là, Ahmadinejad a parlé de « la disparition du régime Israélien » ce qui ne veut pas dire la « disparition d’Israël ». Ces précédents propos incriminés étaient : « il faut rayer le régime israélien de la carte » et pas « il faut rayer Israël de la carte ».

    Le fait qu’il ait comparé son voeu avec la chute du régime du Shah en Iran plaide en faveur de ceux qui prétendent qu’il parle de changement de régime, pas de la fin physique d’Israël.

    Saint-Pierre nous cite comme source irréfutable un site juif qui est à l’origine de la version mondiale des propos de Ahmadinejad, le MEMRI, dont les traductions ont été en d’autres occasions contestées parce que participant de la propagande d’Israël.

    Puis il nous renvoie sur REUTERS. J’y suis allé. REUTERS ne parle pas de « Rayer Israël de la carte mais de « régime » (voir plus haut).

    La question que vous soulevez, monsieur, et que je traite ici est : est-ce que la traduction médiatisée et que vous citez est bonne ou pas ? Si oui, je suis d’accord avec vous pour condamner les propos. Si non, qu’est-ce qu’on fait ? Ce faisant, je ne défends pas Ahmadinejad, je cherche la vérité.

    Hélas ! depuis le début de nos échanges, je perds mon temps à vérifier chacune de vos affirmations. Elles sont toujours fausses et quand je l’ai démontré, vous fuyez en nous en sortant d’autres du même acabit. L’anguille ! Ou le dauphin ! Tout esprit cartésien se demandera comment, à propos de mensonges sur le cas RCTV, vous concluez en accusant Castro de martyriser les dauphins. Je vous signale que vos amis de Miami on aussi démontré qu’il dresse des requins à venir dévorer les baigneurs de Floride.

    Et je vous rappelle que les bolchevicks mangeaient les petits enfants.



  • maxime vivas maxime vivas 5 août 2007 21:15

    Chose promise à Saint-Pierre, chose dues à tous ...

    « Los Angeles Times. 30 mai 2007.

    HUGO CHAVEZ CONTRE RCTV, par Bart Jones.

    Le refus du président Vénézuelien, Hugo Chavez, de renouveler la licence de Radio Caracas Television pourrait justifier les craintes de voir Chavez éradiquer la liberté d’expression et éliminer les critiques. Amnesty International, Human Rights Watch, le Comité pour la Protection des Journalistes et des membres du parlement européen, le Sénat des Etats-Unis et même le Congrès du Chili ont dénoncé la fermeture de RCTV, la plus ancienne chaîne de télévision privée du Venezuela. Les détracteurs de Chavez ont reçu quelques arguments supplémentaires mardi lorsque le président a inclus une autre chaîne d’opposition, Globovision, parmi les « ennemis de la patrie ». Mais l’affaire de RCTV - comme la plupart des affaires concernant Chavez - s’est retrouvée prise dans une toile de désinformation. Tandis que les médias du monde entier titrent sur une partie de l’histoire, l’autre partie est à peine audible.

    Le sort de RCTV est un événement quelque peu regrettable pour les Vénézueliens. Fondée en 1953, elle était une institution dans le pays, ayant produit une émission politique satirique « Radio Rochela » et le feuilleton du soir étonnement réaliste « Por Estas Calles ». C’est RCTV qui diffusa au Venezuela les premières images en direct de Neil Armstrong en train de marcher sur la lune en 1969. Mais après l’élection de Chavez en 1998, RCTV s’est engagée dans une autre mission : renverser le président démocratiquement élu. Contrôlée par des membres de l’oligarchie fabuleusement riche du pays, dont le dirigeant de RCTV, Marcel Granier, elle considérait que Chavez et sa « Révolution Bolivarienne » en faveur de la majorité pauvre du pays représentait une menace. L’exemple le plus célèbre de ces efforts pour renverser Chavez eut lieu pendant la tentative de coup d’état, le 11 avril 2002. Pendant les deux jours qui ont précédé le putsch, RCTV changea sa programmation et couvrait en boucle la grève générale déclenchée pour renverser Chavez. Une armée de commentateurs déversèrent sans discontinuer des attaques au vitriol contre lui - sans accorder un droit de réponse au gouvernement.

    Puis RCTV diffusa en boucle des messages pour encourager les gens à participer à la marche du 11 avril visant à renverser Chavez et diffusa l’événement en intégralité. Lorsque la marche se dispersa dans la violence, RCTV et Globovision diffusèrent des films truqués pour accuser les partisans de Chavez d’être à l’origine des morts et des blessés.

    Après que des rebelles militaires eurent renversé Chavez et qu’il eut disparu pendant deux jours, RCTV bascula ouvertement dans le camp de la sédition. Des milliers de partisans de Chavez manifestèrent pour exiger son retour, mais aucune information ne fut diffusée par RCTV ni par aucune autre chaîne de télévision. Le Directeur de l’information de RCTV, Andres Izarra, témoigna plus tard lors d’une audition sur le coup d’état, à l’Assemblée Nationale, qu’il avait reçu des ordres de ses supérieurs. « Rien en faveur de Chavez, rien sur lui ou ses partisans... L’idée était de créer un climat de transition et de promouvoir d’une nouvelle ère pour le pays ». Tandis que les rues de Caracas s’enflammaient de rage, RCTV diffusait des dessins animés, des feuilletons et des rediffusions comme « Pretty Woman ».

    Le 13 avril 2002, Granier et d’autres barons des médias se rendirent au Palais (présidentiel) Miraflores pour jurer fidélité au tout nouveau dictateur, Pedro Carmona, qui venait d’abolir la Cour Suprême, l’Assemblée Nationale et la Constitution.

    Aux Etats-Unis, une chaîne de télévision qui aurait participé à un coup d’état contre le gouvernement serait-elle autorisée à poursuivre ses activités ? Le gouvernement US aurait probablement fait fermer la chaîne cinq minutes après l’échec du coup d’état - et aurait mis ses propriétaires en prison. Le gouvernement de Chavez a laissé la chaîne poursuivre ses activités pendant cinq ans puis refusa de renouveler sa licence d’émettre par voies hertziennes. La chaîne peut toujours émettre par câble ou satellite.

    Granier et les autres ne doivent pas être considérés comme des martyrs de la liberté d’expression. Les radios, télévisions et journaux ne sont pas censurés et ne font l’objet d’aucune pression ou menace de la part du gouvernement. La plupart des médias au Venezuela sont encore sous le contrôle de l’ancienne oligarchie qui est radicalement anti-Chavez.

    Si Granier n’avait pas pris la décision de renverser le président du pays, les Vénézueliens auraient peut-être encore la possibilité de regarder « Radio Rochela ».

    http://www.latimes.com/news/opinion/commentary/la-oe-jones30may30,1,5553603.story



  • maxime vivas maxime vivas 5 août 2007 21:12

    Je ne vous sens pas gaulliste, dites donc ! Passons.

    Vous écrivez : « Les complots que vous rapportez ne sont » prouvés" que par la presse de gauche et les conspirationnistes de toutes sortes. Unicité des sources, simplification des faits... »

    Je vous envoie par une autre courriel un article in extenso sur le sujet de départ (Chavez/RCTV) écrit par un journal US ( Los Angeles Times).

    En échange, puisque vous vous plaignez « d’un Castro qui écrit, chaque semaine, des insanités sur l’Occident) », pourriez-vous nous en envoyer un exemple, in extenso ? Chiche ! Parce que figurez-vous que je les ai lues, ces prétendues insanités. Ce sont les « Réflexions de Fidel Castro". Il y en a plus de 30. Accepteriez-vous, puisque vous les avez lues aussi, d’horrifier une fois les Internautes en nous en montrant une, in extenso, n’importe laquelle ?

    Quant à Ahmadinejad dont vous nous dites qu’il « ne cesse de menacer Israël de la rayer de la carte... », je vous dirai ceci : je n’ai jamais écrit un mot sur lui. Mais puisque la diversion vous va, pouvez-vous me dire si vous avez lu ses propos ou ce qui en est dit ? La nuance est importante parce que, selon des versions concordantes et intégrales, je crois avoir lu qu’il se propose d’éradiquer l’Etat religieux, non le pays. Qu’un Etat religieux (Israël) disparaisse, voila qui ne me chagrinerait pas si un Etat laïque (Israël) le remplaçait. Qu’un pays (Israël) soit anéantit (villes et habitants) voilà qui serait intolérable et monstrueux.

    Vous dites enfin :

    « Vous voulez que ne nous nous taisions. » Je vous invite au contraire à parler. Allez-y.

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