Depuis le temps quenous savons tous que l’aide au développement produit l’effet inverse : contre-développement. Plus il y a d’aide et plus il y a de corruption : alors, oui, pourquoi ces financements ? Parce que la corruption est des deux côtés : de la main qui reçoit et ... de la main qui donne !
Il y a pire dans le genre contre-aide au développement d’après ce que j’ai pu lire il y a longtemps de ça déjà : lorsque la petite agriculture locale est ruinée parce que sa production lui reste sur les bras.
Je suis loin du compte je le sais bien car tout nous est caché ici. C’est un vrai scandale qui dure depuis trop longtemps.
Alors merci pour cet article qui vient nous rappeler que les relations internationales sont souvent borderline ... dans le meilleur des cas ... carrément ignobles comme ici.
Nos problèmes ne sont pas insolubles mais ceux qui ont la solution sont précisément ceux qui nous les ont créés... Tu comprends bien que si l’on te met en cage, ce n’est pas pour te donner la clé...
En plus, après ces nouveaux attentats musulmans où la liste des victimes s’allonge de manière dramatique et inquiétante, nos élus en coeur reviennent, sans complexe, nous resservir la soupe de l’union nationale qui se résume ni plus ni moins qu’à nous maintenir en première ligne au front...
Valérie Trierwieler a dévoilé que FH appelait le peuple « les sans-dents ». Vision optimiste de l’état d’esprit général de ces messieurs-dames.
La situation de notre pays n’est pas
aussi simple que cela. La France se trouve confrontée dans une
multitude de guerres gigognes :
- le conflit financier entre nos
banques et notre Etat qu’elles
endettent de façon crapuleuse depuis les années 70 ;
- le conflit économique et
financier supra-national orchestré par les multinationales qui
s’affranchissent de la prérogative des Etats en matière de Finances
publiques et qui sont, pour beaucoup d’entre elles plus riches que
les Etats. D’où, l’effet domino entraînant :
- le conflit économique, financier,
moral entre la France et ses entreprises industrielles et
commerciales délocalisant à l’étranger. D’où :
- le conflit social entre l’Etat et
la population face à un régime d’austérité.
Conforté par :
- le conflit de l’UE aux pays
européens par son interdit de toute harmonisation sociale amorçant
le dumping social et l’augmentation du chômage. D’où
un mécontentement général mais surtout :
- l’islam radical qui est en
fait une guerre des classes larvée depuis des décennies dans
les banlieues et qui se loge à la fois dans l’islam devenu arme
confessionnelleservant de bouclier et dans le conflit
israélo-palestinien devenu justificatif de son idéologie ;
- qui
ravive, par là, le conflit de la Seconde guerre mondiale
et l’antisémitisme.
Les attentats de Paris d’ailleurs,
comme les précédents attentats ne sont que la partie immergée de
cette guerre des classes où la communauté musulmane adhère.
Parler d’union nationale est une
utopie.
Eteindre la télévision et éteindre
la radio ne vous épargnera pas. HELAS.
Qui ne l’a pas en travers de la
gorge... ? Amitiés.