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Un jour, j'irai à la pêche... ! 

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  • MdeP MdeP 29 décembre 2015 20:48

    MdeP @Passage

    On ne peut être plus explicite et vous avez parfaitement compris l’argumentaire.




  • MdeP MdeP 29 décembre 2015 18:55

    MdeP @bluerage

    Proposez simplement à Guylain Chevrier de lui envoyer une douzaine d’oeufs car pour un prof d’Histoire, ne pas connaître la simple histoire dOn ne fait pas d’omelette sans casser d’oeufs" me semble absolument incroyable.
    Désolant.


  • MdeP MdeP 29 décembre 2015 18:35

    MdeP @ guylain chevrier

    Je vous reprends dans le texte :

    « Le clivage droite-gauche ne cesse de se brouiller » : il y a au moins 15 ans que le paysage politique français est considéré comme des plus confus.


    « une grave crise d’identité marque une gauche de plus en plus désemparée et absente de tout projet politique de transformation sociale. »  : une plaisanterie sans doute ; auriez-vous manqué quelques épisodes décomplexés du « détricotage des acquis sociaux ».


    « Concernant cet élargissement de la déchéance de la nationalité aux binationaux, sur ce sujet comme sur d’autres, il est précisément affaire de principe... elle a des échos de préférence nationale.. »  : des ennemis et traîtres à la Nation se livrant à des actes de guerre sur le sol qui les a vus naître, en violation des conventions régissant la guerre, en massacrant de façon barbare des civils, leurs compatriotes, peuvent-ils pour leur défense se prévaloir d’un quelconque principe ou, mieux, d’avoir agi dans une quelconque préférence nationale ?


    « Un droit du sol »  : quel droit du sol pour nos ennemis, en guerre contre nous, si ce n’est, justement, de les en chasser !?


    « Un droit qui fut inscrit dès la 1 ère Constitution du 3 septembre 1791... On ne se rend pas compte de ce que l’on abandonne là et à qui ! »  : première Constitution, effectivment, mais qui ne fut jamais appliquée pour cause de Terreur ! Les Révolutionnaires savaient parfaitement ce qu’ils abandonnaient et pourquoi.


    « ..qui sans ambiguïté décrit comment, si la condition sociale des individus peut avoir son importance dans ce processus sectaire de la radicalisation... »  : il y a des millions de français dont la condition sociale est loin d’être au zénith et qui, pour autant, ne se livrent pas à des actes de barbarie sur leurs concitoyens...


    « On empêche ainsi de poser les questions essentielles qui permettraient à la République et sa laïcité d’être comprise par tous... »  : que tous ceux quuir prétendent réinventer l’eau chaude chez nous et qui ne veulent pas « comprendre » la République passent la porte de la France définitivement car celui qui est venu chercher une autre qualité de vie chez nous, savait parfaitement ce qu’il faisait. Ce n’est pas qu’ils ne peuvent pas s’intégrer mais bien, qu’ils ne le veulent pas.


    « Pourtant, la liberté du peuple réside bien dans sa souveraineté, celle de ses choix politiques, là où se tient le véritable pouvoir pour tout Etat de droit qui se respecte !Le désordre des principes et des valeurs confine à l’absurde avec cette proposition, au regard de quoi on se trompe aussi d’époque  ! »  : je reprends mon post de ce jour dans un autre article pour répondre à vos confusions :

    Nous sommes dans une configuration de guerre. Quelque soit le bras qui l’ait armée.

    Un ennemi sur notre sol nous mène une guerre en violation de toutes les conventions puisque des civils en sont les victimes. Nous en comptons désormais plusieurs centaines.

    En prononçant la déchéance de nationalité  :

    1 – parce que les guerres sont toujours sales, nous pouvons désarmer cette guerre, sans haine, sans violence, sans arme (ce « slogan » a servi à des faits peu glorieux, c’est vrai) ;

    2 – chasser l’ennemi de notre sol car c’est le but à atteindre dans une guerre ;

    3 – reprendre la main sur notre souveraineté nationale et déclarer que le Peuple français est seul maître chez lui !

    En d’autre temps, la loi martiale se serait appliquée pour ces individus convaicus d’être :

    • des ennemis de la France et, de surcroît,

    • traîtres à la Nation puisque nés sur le sol français.

    Faudrait-il donc que nous les fusillions au poteau, dans le petit matin ?

    Car refuser la déchéance de nationalité revient, finalement, à agiter le drapeau blanc et à se rendre à l’ennemi sans se protéger et se défendre ? Et sans réfléchir, non ?


    Vous concluez @ guylain chevrier, dans une envolée puérile :

    « La nationalité, voilà un beau sujet à propos duquel la pédagogie aurait gagné...Voilà le chemin pour redonner l’envie de devenir français à de nouveaux venus et à ces jeunes de nos quartiers qui ont souvent obtenue la nationalité française par le droit du sol, de s’en emparer, à laquelle la République doit tendre ses bras, mais des bras forts et sûrs dans ce qu’elle a de meilleur à faire partager. » :

    @ guylain chevrier, avec tant d’angélisme, ce sont des tombes que nous partagerons.



  • MdeP MdeP 29 décembre 2015 14:18

    Deux gros détails non relevés par l’auteur : 

    art. 23-7 du code civil : « par décret après avis conforme du Conseil d’Etat... » et surtout ...
    art. 25 -1 du code civil : « La déchéance n’est encourue que si les faits reprochés à l’intéressé et visés à l’article 25 se sont produits dans le délai de dix ans à compter de la date de l’acquisition de la nationalité française.
    Elle ne peut être prononcée que dans le délai de dix ans à compter de la perpétration desdits faits. »

    Pour ce qui me concerne : la déchéance doit être automatique dès que liée à des faits énoncés à l’article 25 du code civil, immédiate et imprescriptible. 



  • MdeP MdeP 29 décembre 2015 12:26

    Nous sommes dans une configuration de guerre. Quelque soit le bras qui l’ait armée.

    Un ennemi sur notre sol nous mène une guerre en violation de toutes les conventions puisque des civils en sont les victimes. Nous en comptons désormais plusieurs centaines.

    En prononçant la déchéance de nationalité  :

    1 – parce que les guerres sont toujours sales, nous pouvons désarmer cette guerre, sans haine, sans violence, sans arme (ce « slogan » a servi à des faits peu glorieux, c’est vrai) ;

    2 – chasser l’ennemi de notre sol car c’est le but à atteindre dans une guerre ;

    3 – reprendre la main sur notre souveraineté nationale et déclarer que le Peuple français est seul maître chez lui !


    En d’autre temps, la loi martiale se serait appliquée pour ces individus convaicus d’être :

    • des ennemis de la France et, de surcroît,

    • traîtres à la Nation puisque nés sur le sol français.

    Faudrait-il donc que nous les fusillions au poteau, dans le petit matin ?


    Car refuser la déchéance de nationalité revient, finalement, à agiter le drapeau blanc et à se rendre à l’ennemi sans se protéger et se défendre ? Et sans réfléchir, non ?

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