Proposez simplement à Guylain Chevrier de lui envoyer une douzaine d’oeufs car pour un prof d’Histoire, ne pas connaître la simple histoire d’On ne fait pas d’omelette sans casser d’oeufs" me semble absolument incroyable.
« Le
clivage droite-gauche ne cesse de se brouiller » : il y a au
moins 15 ans que le paysage
politique français est considéré comme des plus confus.
« une
grave crise d’identité marque une gauche
de plus en plus désemparée et absente
de toutprojet politique de
transformation sociale. »
: une plaisanterie sans doute ; auriez-vous
manqué quelques épisodes décomplexés du « détricotage des acquis
sociaux ».
« Concernant
cet élargissement de la déchéance de la nationalité aux
binationaux,
sur ce sujet comme sur d’autres, il
est
précisément affaire
de principe... elle a des échos de préférence nationale.. »
:
des
ennemis et traîtres à la Nation se livrant à des actes de guerre
sur le sol qui les a vus naître, en violation des conventions
régissant la guerre, en massacrant de façon barbare des civils,
leurs compatriotes, peuvent-ils pour leur défense se prévaloir d’un
quelconque principe ou, mieux, d’avoir agi dans une quelconque
préférence nationale ?
« Un
droit du sol »
: quel
droit du sol pour nos ennemis, en guerre contre nous, si ce n’est,
justement, de les en chasser !?
« Un
droit qui fut inscrit dès la 1 ère Constitution du 3 septembre
1791...
On ne se rend pas
compte de ce que l’on abandonne là et à qui ! »
: première Constitution, effectivment, mais qui ne fut jamais
appliquée pour cause de Terreur ! Les Révolutionnaires savaient
parfaitement ce qu’ils abandonnaient et pourquoi.
« ..qui
sans ambiguïté décrit comment, si la condition sociale des
individus peut avoir son importance dans ce processus sectaire de la
radicalisation... » :
il y a des millions de français dont la condition sociale est loin
d’être au zénith et qui, pour autant, ne se livrent pas à des
actes de barbarie sur leurs concitoyens...
« On
empêche ainsi de poser les questions essentielles qui permettraient
à la République et sa laïcité d’être comprise par tous... » :
que
tous ceux quuir prétendent réinventer l’eau chaude chez nous et qui
ne veulent pas « comprendre » la République passent la porte de la
France définitivement car celui qui est venu chercher une autre
qualité de vie chez nous, savait parfaitement ce qu’il faisait. Ce
n’est pas qu’ils ne peuvent pas s’intégrer mais bien, qu’ils ne le
veulent pas.
« Pourtant,
la liberté du peuple
réside bien dans sa souveraineté, celle de ses choix politiques,
là où se tient le véritable pouvoir pour tout Etat de droit qui se
respecte ! … Le
désordre des principes et des valeurs confine à l’absurde avec
cette proposition,
au regard de quoi on se
trompe aussi d’époque
! » :
je reprends mon post de ce jour dans un autre article pour répondre
à vos confusions :
Nous
sommes dans une configuration de guerre.
Quelque soit le bras qui l’ait armée.
Un
ennemi sur notre sol nous mène une guerre en violation de toutes les
conventions puisque des civils en sont les victimes. Nous en comptons
désormais plusieurs centaines.
En
prononçant la déchéance de nationalité :
1
– parce que les guerres
sont toujours sales, nous pouvons désarmer cette guerre,
sans haine, sans violence, sans arme (ce « slogan » a servi à
des faits peu glorieux, c’est vrai) ;
2
– chasser l’ennemi de notre sol car c’est le but à atteindre
dans une guerre ;
3
– reprendre la main sur notre souveraineté nationale et
déclarer que le Peuple français est seul maître chez lui !
En
d’autre temps, la loi martiale se serait appliquée pour ces
individus convaicus d’être :
des
ennemis de la France et, de surcroît,
traîtres
à la Nation puisque nés sur le sol français.
Faudrait-il
donc que nous les fusillions au poteau, dans le petit matin ?
Car
refuser la déchéance de nationalitérevient,
finalement, à agiter le drapeau blanc et à se rendre à l’ennemi
sans se protéger et se défendre ? Et sans réfléchir,
non ?
Vous
concluez @ guylain chevrier, dans une envolée puérile :
« La
nationalité, voilà un beau sujet à propos duquel la pédagogie
aurait gagné...Voilà le chemin pour redonner l’envie de devenir
français à de nouveaux venus et à ces jeunes de nos quartiers qui
ont souvent obtenue la nationalité française par le droit du sol,
de s’en emparer, à laquelle
la République doit tendre ses bras, mais des bras forts et sûrs
dans ce qu’elle a de meilleur à faire partager. » :
@
guylain chevrier, avec
tant d’angélisme, ce sont des tombes que nous partagerons.
art. 23-7 du code civil : « par décret après avis conforme du Conseil d’Etat... » et surtout ...
art. 25 -1 du code civil : « La déchéance n’est encourue que si les faits reprochés à l’intéressé et visés à l’article 25 se sont produits dans le délai de dix ans à compter de la date de l’acquisition de la nationalité française.
Elle ne peut être prononcée que dans le délai de dix ans à compter de la perpétration desdits faits. »
Pour ce qui me concerne : la déchéance doit être automatique dès que liée à des faits énoncés à l’article 25 du code civil, immédiate et imprescriptible.
Nous sommes dans une configuration de
guerre. Quelque soit le bras qui l’ait armée.
Un ennemi sur notre sol nous mène une
guerre en violation de toutes les conventions puisque des civils en
sont les victimes. Nous en comptons désormais plusieurs centaines.
En prononçant la déchéance de
nationalité :
1 – parce
que les guerres sont toujours sales, nous pouvons désarmer
cette guerre, sans haine, sans violence, sans arme (ce
« slogan » a servi à des faits peu glorieux, c’est vrai) ;
2 – chasser l’ennemi de notre sol
car c’est le but à atteindre dans une guerre ;
3 – reprendre la main sur notre
souveraineté nationale et déclarer que le Peuple français est seul
maître chez lui !
En d’autre temps, la loi martiale
se serait appliquée pour ces individus convaicus d’être :
des ennemis de la France et, de
surcroît,
traîtres à la Nation puisque
nés sur le sol français.
Faudrait-il donc que nous les
fusillions au poteau, dans le petit matin ?
Car refuser la déchéance de
nationalitérevient, finalement, à agiter le drapeau blanc
et à se rendre à l’ennemi sans se protéger et se défendre ? Et
sans réfléchir, non ?