J’ajoute que lorsqu’on nous déclare la guerre, il ne s’agit pas de savoir si l’on veut ou non la faire : il faut la faire et, surtout, soutenir nos troupes engagées.
Pétain ne s’est jamais battu contre l’ennemi ; pire il a fraternisé avec les assassins de ses compatriotes. Et c’est exactement ce que font les « Aubry, Dray , Hidalgo, Joxe, ..., les députés frondeurs, les associations du mouvement social qui se dressent contre le projet de loi constitutionnel sur la déchéance de la nationalité » : ils refusent de se battre comme l’a fait Pétain... par pur clientélisme.
Et c’est très grave car c’est une trahison de toutes les victimes et de tous ceux qui veulent rester debout.
Quand j’ai écrit, il y a quelques posts de cela, « classe politique liguée dans le crime », vous voyez bien que j’ai doublement raison (car ils savent de plus parfaitement comment fonctionne le Renseignement - puisqu’ils en sont quasiment les premières « cibles » - et qu’ils se doutent bien que les attentats ont certainement été pilotés... par qui ??).
Les français qui veulent la déchéance de nationalité étendue aux binationaux ainsi que l’état d’urgence inscrits dans la Constitution comprennent parfaitement que l’ennemi né sur notre sol n’est plus un citoyen français puisque le pacte républicain est rompu (et c’est un euphémisme), qu’il convient de rétablir l’ordre public et que pour cela il en faut chasser les brebis galeuses du troupeau.
Que nous voulons affirmer que nous sommes les seuls maîtres à bord, que la souveraineté nationale nous appartient et que nous la défendrons.
Bonjour. Vous êtes un homme de raison et j’apprécie vos articles.
La République a, effectivement, gravement manqué sur la laïcité par son laxisme, sa permissivité et on en voit aujourd’hui les terribles conséquences.
Il apparaît cependant que les « sauvageons » tels que décrits par Monsieur le Ministre Jean-Pierre Chevènement étaient effectivement bien profilés.
Cependant, on ne peut plus évaluer la situation aujourd’hui sur les mêmes bases que celles d’hier.Ces jeunes de banlieue n’ont plus rien à voir avec ceux de maintenant. Ce sont des barbares.
On ne peut pas passer à côté et refuser cette réalité pour aussi pénible qu’elle soit.
Nous avons changé d’époque. Voici ce que je viens de lire dans La Dépêche du Midi :
De Syrie, les Djihadistes français
adressent leurs mots de haine à la France Publié
le 30/12/2015 à 18:00, Mis
à jour le 30/12/2015 à 18:57
Je préfère, pour ma part, partir
du mot « ennemi » et je me réfère pour cela à l’âge des petites
victimes de Toulouse car il faut vraiment avoir une haine féroce
pour perpétrer de pareilles atrocités et, là, je retiens aussi
les circonstances du déroulement de ces faits.
Et qui ose dire que la communauté
musulmane n’est pas derrière ? Les filles sont voilées très jeunes
et les droits des femmes mis à mal dans la violence d’un dressage et
non d’une éducation. D’un dressage infligé par les hommes
de la famille – le père et les frères – alors quand
j’entends sur France Info : « jeunes en révolte », « le religieux
pris pour prétexte », « au moins deux à trois frères dans ces
groupuscules radicalisés », « d’ailleurs la communauté musulmane
n’existe pas » je me dis que ceux qui débattent des mesures à
adopter sont inconscients ou de mauvaise foi ou carrément à côté
de la plaque.
Tous ces attentats - authentiques
faits de guerre – sont le résultat d’un dressage des enfants dans
la famille musulmane contre la France. Ce sont nos ennemis.
La déchéance de la nationalité
française étendue aux binationaux ne peut être une mesure inutile,
inefficace ou dangereuse.
Il apparaît que ceux qui sont contre l’extension de la déchéance de la nationalité aux binationaux décentrent le problème et donc le débat : ils partent du mot « citoyen » concernant des individus dangereux pour finalement terminer leur crispation sur un danger potentiel global pour toute la population à propos de ce projet de loi constitutionnel.
Alors qu’il faut partir du mot « terroriste » pour exposer et adopter une loi spécifique à une situation d’exception.