« notre
gouvernement actuel... ses mesures de
Gestapo... pour
une durée absolument insensée »
« La
lutte contre le terrorisme
de Daech ...qu’un
prétexte… pour
intimer la terreur à la population »
« Et
bien
sûr, les musulmans
et descendants d’immigrés dans leur ensemble sont une cible
privilégiée .. afin
de courtiser les électeurs du Front National »
« La
prétendue
lutte contre le terrorisme
est de toute évidence
une effroyable imposture,
éminemment absurde de surcroît … »
« après
la violence inouïe d’une
perquisition,
ou même dans la crainte de celle-ci, puisqu’elle cible
surtout des familles musulmanes innocentes... »
« il
serait du devoir de toute personne attachée aux valeurs
républicaines d’en
dénoncer l’arbitraire et de les combattre. »
« Si
terrible soit-elle, la
perspective d’un attentat terroriste reste
celle d’un acte criminel perpétré par des particuliers, des
forcenés, des fanatiques qui détruisent effectivement des vies
humaines de manière atroce, mais constitue une violence qui garde
le statut d’accident
au
sein d’une société »
« si
le terrorisme peut effectivement menacer nos vies, seul
l’Etat peut constituer une véritable menace pour nos libertés. »
« sacrifier
quelques libertés pour plus de sécurité...
qui pourrait même nous amener à nous
demander,en
faisant abstraction du caractère extrêmement marginal de la
Résistance française, s’il valait la peine de lutter contre
l’Occupation nazie »
« les
violations des libertés permises par l’état d’urgence...
confinant au totalitarisme.. »
« Face
à cette violence implacable de l’Etat… la dénoncer autant que
possible. »
Si la loi française et, plus précisément, si les décisions de l’Exécutif français ne vous conviennent pas, je vous engage à aller ouvrir votre grande gueule et à aller faire la loi chez vous.
Non, les attentats terroristes ne constituent pas « un accident » pour la société française. Et il faut être sacrément un fieffé salopard pour écrire un truc pareil.
Ce qui constitue un accident pour la société française c’est la communauté musulmane dont vous faites partie qui exerce des violences sur ses femmes voilées et dresse ses enfants dans la haine de la France. Alors ainsi : « La prétendue lutte contre le terrorisme est de toute évidence une effroyable imposture »... ? Encore un petit effort et ne serait-ce pas à de prétendus attentats auxquels nous aurions assistés ?
Comme je ne connais pas du tout l’histoire de la Corse, l’Ile de Beauté qui me fascine complètement et que j’adorerais connaître, j’ai continué à tirer le fil et j’ai fini par arriver à :
BARBARESQUE
« Le terme Barbaresque a trois sens distincts : géographique, historique et démographique. Sur le plan géographique, il correspond approximativement à l’aire du Maghreb actuel, connue sous le nom de côte des Barbaresques ; sur le plan historique, les siècles barbaresques recouvrent la période ottomane qui, pour l’Algérie par exemple, court de 1516, année de l’arrivée des frères Barberousse à Alger, à 1830 ; sur le plan démographique, le barbaresque désigne aussi bien les corsaires et marins originaires de cette aire géographique que les habitants du Maghreb. »
La traite des esclaves de Barbarie est le commerce des blancsqui a fleuri principalement entre les xvie et xixe siècles dans les marchés d’esclaves d’Afrique du Nord sur la côte des Barbaresques,
Et puis il y a ceux des politiques qui ont avancent la bonne excuse de la crainte (.. sans blague) de voir se créer des « citoyens » à deux vitesses en votant cette déchéance de la nationalité française étendue aux binationaux :raison de plus pour la voter car nous sommes exactement dans une configuration à deux vitesses.
Car il y a désormais deux statuts juridiques différents dans la population :
celui de ceux qui ont toute latitude pour assassiner les autres quand l’envie leur en prend ;
et celui de ceux qui regardent sans pouvoir rien faire et, extrêmement révoltant,convoqués à la boucler devant le bouclier islamophobe aussitôt brandi !
Ceux qui se « positionnent » contre la
déchéance de la nationalité étendue aux binationaux le font en
prenant pour prétexte l’erreur historique de la votation des pleins
pouvoirs à Pétain en 1940 après une révision constitutionnelle.
Alors nouvelle erreur historique ou pur
clientèlisme de nos politiques ?
Il apparaît, en effet, que Pétain ne
s’est jamais battu contre l’ennemi mais qu’il a, en plus, fraternisé
et collaboré avec les assassins de ses compatriotes.
Lorsqu’on nous déclare une guerre, il
ne s’agit pas de savoir si l’on veut ou non la faire : il faut
la faire et soutenir, surtout, nos troupes engagées.
Lorsque j’ai écrit il y a quelques
posts que la classe politique est liguée dans le crime c’est parce
qu’elle sait parfaitement comment fonctionne le Renseignement
puisqu’ils en sont les premiers concernés quasiment et qu’elle
n’ignore pas que les attentats sur notre sol ont vraissemblablement
été pilotés... par qui.. qui a laissé passer ces terroristes ???
Je parle donc de pur clientèlisme de
cette classe politique professionnalisée, positionnée contre cette
déchéance de la nationalité étendue aux binationaux et à l’état
d’urgnece inscrits dans notre Constitution sur la base donc de ces
informations.
C’est très grave car il s’agit bien
d’une trahison des victimes et de tous ceux qui veulent rester debout
en menant cette guerre qui nous est faite par un ennemi né sur notre
sol.
Comme la majorité des français, je
souhaite que cette déchéance de nationalité puisse ramener l’ordre
public en en évacuant du troupeau les brebis galeurses qui ne sont
plus des citoyens français pour cause de rupture du pacte
républicain (et c’est un euphémisme).
Je souhaite comme la majorité des
français que nous puissions reprendre la main sur notre souveraineté
nationale et affirmer que nous sommes seuls maîtres à bord du
bateau France car brandir continuellement le bouclier islamophe,
xénophobe, raciste est une lâcheté, un désengagement fait à
l’Intérêt de l’Etat.
Se positionner contre la déchéance de
la nationalité française de ces barbares revient à balancer son
pied dans le dos de nos très jeunes engagés en leur disant, ni plus
ni moins : « va crever, qu’on rigole. »