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Michel J. Cuny

Michel J. Cuny

Je suis écrivain professionnel et indépendant depuis 1976.
Pour tout renseignement sur mes travaux antérieurs et ceux de ma compagne Françoise Petitdemange, voyez :
https://unefrancearefaire.com
Présentation des 27 ouvrages que nous avons publiés depuis 1976 :
https://livrescunypetitdemange867999967.wordpress.com/blog/
Très cordialement,
M.J.C.

Tableau de bord

  • Premier article le 11/09/2012
  • Modérateur depuis le 08/06/2013
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Derniers commentaires



  • Michel J. Cuny Michel J. Cuny 18 novembre 2024 19:56

    @Hervé Hum
    Merci de souligner certaines des contradictions présentes dans les commentaires  un peu à l’emporte-pièces  de l’apostilleur.

    Ceci dit, ces contradictions demandent à être analysées pour en comprendre la provenance, en quelque sorte nécessaire, compte tenu du monde dans lequel nous vivons. L’apostilleur garde un attachement profond avec le travail et, tout à la fois, il lui faut y ajouter autre chose... pour obtenir une certaine dynamique.

    Cette affaire est psychologiquement très compliquée, mais en nous tournant vers le travail de Thomas Piketty  dont il faut tout de même mesurer certaines limites idéologiques, elles aussi, très compréhensibles finalement -, nous devrions en trouver les origines dans les effets décalés de la lutte des classes étendue à la dimension internationale et dans la profondeur des temps passés...

    Rude travail, s’il en est.



  • Michel J. Cuny Michel J. Cuny 16 novembre 2024 20:23

    @Jason
    J’imagine que, pendant cinq ans, vous ne feriez pas qu’attendre. Ce bon vin, Il faut trouver à le stocker dans des conditions favorables, il faut bien le connaître pour savoir à quel traitement il doit être soumis tout au long de ce temps, il faut l’assurer en même temps que les bâtiments, il faut trouver à financer son maintien en dehors du marché, etc.

    Sinon, quelles surprises au moment de faire sauter joyeusement des bouchons par ailleurs adéquats à votre manoeuvre de retardement...

    Entre-temps, à votre bonne santé, quoi qu’il en soit !



  • Michel J. Cuny Michel J. Cuny 16 novembre 2024 17:57

    @perlseb
    Belle colère, et tellement justifiée !...

    Effectivement, la valeur d’échange dévore, à grandes bouchées, la si fragile valeur d’usage de nos vies...

    Serait-ce décidément irrémédiable ? Je ne le crois pas, sans quoi je ne viendrais pas essayer, ici, d’ouvrir une vraie discussion... à partir de points d’appui rendus aussi solides que le permet la réflexion humaine quand elle est partagée avec le plus grand sérieux... et parfois à la dimension de quelques siècles...



  • Michel J. Cuny Michel J. Cuny 16 novembre 2024 16:38

    @Jason
    Dès qu’une marchandise (un immeuble, si vous voulez) est produite, elle intègre une certaine quantité de travail (selon la productivité moyenne de l’activité de production concernée). À la revente, elle se place sur un marché où, sur le fondement de la quantité subsistant encore en elle, et du travail de remplacement nécessaire au maintien de son utilité, c’est la loi de l’offre et de la demande qui agit... et qui peut produire tout ou n’importe quoi. Vous le voyez actuellement avec le prix les médicaments « révolutionnaires » qui tournent autour du traitement du cancer.

    La baisse de prix due au vieillissement correspond à la disparition progressive de la quantité de travail incorporée initialement. Il est possible de la freiner en rajoutant des quantités annexes de travail (réparations, rénovations, améliorations). Dans toutes les circonstances strictement économiques, c’est la quantité de travail qui commande la valeur (économique). Ce qui n’empêche pas, dans des circonstances (politiques) diverses, de faire jouer (partiellement) le rapport entre l’offre et la demande pour atteindre des prix de cession surévalués par rapport à la quantité de travail intégrée.

    C’est à cet endroit que la lutte des classes intervient : en elle-même, elle n’est pas un phénomène économique... Mais elle influe sur les conditions de mise en oeuvre du travail de production, et donc sur l’exploitation du travail par les possesseurs des instruments de production et d’échange.

    Il en va de même, bien sûr, pour les actifs financiers : à ma connaissance, ils ne tombent jamais du ciel...

    Si vous vous penchez un peu sur les deux guerres mondiales, vous verrez les masses de sang et de mensonges qu’il leur a fallu pour atteindre ce que nous en voyons aujourd’hui...

    Or, cette affaire de quantité de travail n’est pas sortie tout armée de la tête de Ricardo et de ses différents prédécesseurs : elle vient de travaux dont le commun des mortels n’a aucune idée... Il s’en fout : il comprend tout, tout seul, et très parfaitement !...



  • Michel J. Cuny Michel J. Cuny 16 novembre 2024 13:30

    @Jason
    Bonjour,
    Eh bien, situons un peu Walras... justement. Voici ce que j’en pense...
    https://unefrancearefaire.com/2018/01/03/de-la-valeur-dechange-au-prix-ou-encore-de-la-verite-au-mensonge/

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