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Michel Monette

Je suis né en 1953. J’ai connu la messe en latin et les années rythmées par les fêtes calendaires. À l’époque, nous achetions des petits chinois. Eh oui ! Chacun nous coûtait 25 sous canadiens. Je me rappelle aussi avoir entendu, au moins une fois, le son de la sirène qui nous avertirait quand les bombes allaient nous tomber dessus. J’avais vraiment peur des Russes. Nous avions la télévision. C’était l’époque du noir et blanc. La vue du cortège funèbre du président Kennedy m’a laissé une empreinte amère. Puis l’homme marcha sur la Lune. Je venais tout juste d’avoir 16 ans. Le temps passa. Je fus reçu maître es art en histoire. J’enseignai un temps ; quelques charges de cours universitaires. Le marxisme était à la mode. La lutte des classes expliquait tout. Le communisme s’est s’effondré. Les riches s’enrichissent désormais sans retenue, les pauvres s’appauvrissent sans espoir et nous, entre les deux, nous vivons bien. Pour ma part, j’ai fait le métier de pédagogue, puis de communicateur que je fais toujours. Au beau milieu des luttes contre une mondialisation des marchés sans répartition des richesses entre tous, l’intégrisme est venu nous rappeler que le désespoir finit toujours par trouver la plus extrême des manifestations. La réalité nous avait rattrapé. Ne lui tournons pas le dos. MM

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  • Premier article le 15/03/2005
  • Modérateur depuis le 26/03/2005
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Derniers commentaires



  • Michel Monette 30 avril 2008 13:25

    « La meilleure des solutions est de commencer par diminuer le besoin en nourriture, énergie, etc... »

    Moi, je commencerais par la France tiens. On pige au hasard un Français sur deux, on cesse de le nourrir et on donne ce qu’il mangeait à des Africains.

    Après, ça serait le tour des autres Européens. On en pige un sur deux au hasard, on cesse de le nourrir et on donne ce qu’il mangeait à des Africains.

    Déjà comme cela, il n’y aurait plus de problème de faim parce que tous les Africains actuellement mal nourris seraient bien nourris avec la moitié de ce que mangent les Européens.

    Puis on pourrait aller du côté des Américains.

    Zut, j’aurais dû commencer par eux. Avec la moitié de ce qu’ils mangent, plus toute la nourriture que gaspille cette moitié d’Américains qu’on cesserait de nourrir, il n’y en aurait plus de problème.

    Mais j’y songe. Si on cessait plutôt de nourrir la moitié des animaux domestiques avec lesquels on se goinfre...



  • Michel Monette 14 mars 2008 03:50

    Ce qui me frappe, c’est la disproportion entre le nombre de fumeurs de cannabis et le nombre de ceux qui prennent de la cocaïne ou de l’héroïne. Le fait d’être sensiblilsé au danger n’est pas un frein assez puissant en soi sans devoir faire du jeune qui cède à la tentation un criminel potentiel ?



  • Michel Monette 13 mars 2008 22:58

    Je vous suis à 100%. Il ne faudrait surtout pas laisser n’importe qui vendre n’importe quoi. Les organisations criminelles ne seront jamais assez combattues.



  • Michel Monette 13 mars 2008 22:54

    Justement, le tabac coûte une fortune en soins de santé et on ne l’a pas aboli :

    « Le tabac est la deuxième cause de mortalité dans le monde. Il est actuellement responsable du décès d’un adulte sur 10 (soit environ 5 millions de morts par an). Si le tabagisme continue sur sa lancée actuelle, il provoquera environ 10 millions de morts par an d’ici à 2020 et la moitié de ceux qui fument aujourd’hui, environ 650 millions de personnes, finiront par en mourir. » Initiative pour un monde sans tabac.

    Pourquoi criminaliser des substances qui, au bout du compte, ont des effets moindres sur la santé globale des populations. Ne vaudrait-il pas mieux mettre l’emphase sur l’intelligence pour lutter contre les drogues nocives ? 



  • Michel Monette 13 mars 2008 22:35

     « Je trouve dommage aussi que l’article ne s’attaque pas a l’enorme disparité qui existe selon que l’on soit blanc, riche et célebre ou noir et pauvre face a la justice. »

    Il y a évidemment plusieurs angle de traitement possible d’un rapport mondial de cette envergure. L’aspect que vous auriez souhaité voir aborder demanderait toutefois des recherches supplémentaires pour bien le cerner car le rapport ne l’a pas abordé. Ce qui me frappe par contre est le fait que l’ONUDC reconnaît elle-même qu’elle doit consacrer plus de ressources à la prévention pour diminuer la consommation. La répression coûte cher et elle se fait forcément au détriment de la prévention.

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